Mustapha Zerhouni, responsable local de l’Office d’alphabétisation et d’enseignement des adultes, a affirmé qu’une stratégie implacable est actuellement menée pour maximaliser le pourcentage d’alphabétisation, notamment dans les régions les plus reculées de Tiaret.
Les habitants de la ville de Hamadia (ex-Victor Hugo), 58 km à l’est de Tiaret, et principalement les résidents de la cité des 200 Logements, route de Mahdia, ont vu débarquer, samedi, tout le staff technique et administratif de l’UOT d’Algérie Télécom, dirigé par son nouveau responsable, Abdelkader Henini, et cela afin de promouvoir une nouvelle offre pour le FTTH.
Longtemps arrimé sur les grands pôles sanitaires de l’ouest, principalement le CHU d’Oran, voire ceux de Blida et d’Alger, non sans pertes humaines, le secteur sanitaire à Tiaret s’étoffe et ses responsables tentent d’asseoir relativement une certaine autonomie et soustraire ses populations des contraintes liées à l’éloignement en attendant bien sûr l’édification du CHU de Tiaret.
D’importants points ont été inscrits lundi au programme de visite du chef de l’exécutif à Ain Kermès. Intervenant la veille des fêtes de la journée nationale du moudjahid, Ali Bouguerra a été témoin de la mise en service d’un réservoir tampon de 2500m3 à proximité de la station SP3 d’Aïn Kermès et le lancement de la phase 2 du projet d’adduction d’eau à partir deChott Echergui.
La grande salle des conférences de l’université Abderrahmane Ibn Khaldoun, pôle Zaaroura de Tiaret, a abrité ces derniers jours la cérémonie de sortie officielle de pas moins de 8090 étudiants pour les deux systèmes, licence et LMD.
Après la wilaya voisine, en l’occurrence Tissemsilt, Soraya Mouloudji, la ministre de la Culture et des Arts, a effectué, dimanche dernier en fin d’après-midi, une visite à Tiaret qui a été interrompue alors qu’elle devait visiter, lundi, plusieurs infrastructures culturelles.
Classée comme 13e wilaya du point de vue démographique en Algérie, la région de Tiaret a vu son principal pourvoyeur en eau superficielle du barrage Bekhadda tomber à moins un (- 1%) de ses capacités théoriques d’où des stratégies à élaborer, à court et à moyen termes.
Le projet d’un parc de loisirs dans la ville de Tiaret, qui a longtemps fait rêver les Tiarétis, est confronté à des retards pour l’heure inexpliqués, en dépit de nos tentatives de démêler l’écheveau d’un investissement pourtant fort bien accompagné par l’actuel chef de l’exécutif. L’investissement tarde à se concrétiser, laissant planer un doute sur l’avenir du projet.
A l’issue de sa visite de deux jours dans la wilaya de Tiaret, le ministre de la Jeunesse et des Sports, Abderrahmane Hammad est reparti certainement avec beaucoup d’appréhensions même si l’enthousiasme avait pris le dessus sur le pessimisme que cultivaient certains acteurs de ce secteur stratégique.
Une grande campagne de lutte contre les fuites d’eau à travers quatre grandes localités de la wilaya de Tiaret (chef-lieu de la wilaya de Tiaret, Rahouia, Mahdia et Ksar Chellala) a valu, jeudi dernier, une mobilisation à la mesure des attentes que nourrissent le ministère des Ressources en eau et l’Algérienne des eaux, représentés pour la circonstance par l’inspecteur général Mohcine Ghrib Dia et le P-DG Mustapha Reguig.
La gestion de l’éclairage public et subsidiairement celle des marchés qu’elle sous-tend soulève des vagues dans l’assemblée populaire de Tiaret et, au-delà, il faut le dire, dans presque toutes les discussions tant la ville de Tiaret, et cela en dépit «des efforts» que les différentes assemblées disent avoir fournis en la matière, reste mal éclairée.
La ville de Tiaret et quatre localités environnantes (Rahouia, Djillali Benamar et Mechraa-sfa) vivent une situation critique en matière d’alimentation en eau potable.
Rencontre animée par des élus locaux, les représentants de médias-publics, le P/APW, chef de daïra de Tiaret, le directeur des PTIC, celui d’Algérie télécoms et quelques acteurs locaux en prévision d’une session prochaine de l’assemblée de wilaya qui sera consacrée au dossier des TIC.
La direction locale de Tiaret de la Caisse nationale des assurances sociales a instigué, ces jours-ci, une rencontre où ont prit part les praticiens, pharmaciens et autres cadres pour débattre et trouver des solutions quant aux problèmes, notamment ceux liés à la fraude que cette institution connait.
«Nous ne disposons ni de gaz de ville ni d’électricité encore moins de gardiennage alors que notre environnement immédiat n’offre pas un éclairage public suffisant nonobstant les horaires d’ouverture calqués sur ceux de l’administration qui ne nous arrange pas» a déclaré une représentante du mouvement associatif local, artisane de son état, au niveau du centre commercial des 97 locaux à Sonatiba, à l’adresse du wali de Tiaret.
A l’heure où les autorités locales et mouvement associatif local accordent leurs violons pour tenter d’atténuer les effets ravageurs sur le cadre de vie, de plus en plus dégradé, en lançant une grande opération de réhabilitation d’espaces verts, équipements publics et établissements éducatifs voire de grands boulevards, voilà que l’APC lance à son tour une grande autre opération d’appoint.
Les réseaux sociaux ne sont pas que fake-news, déluge de feu et de mensonges à l’aune des guerres imposées aux peuples via les technologies de pointe, l’IA et tutti quanti, mais aussi des espaces de rencontres conviviales, mémorielles et de souvenirs enfouis de plusieurs générations.
Deux jeunes enfants en très bas âge, M. F., une jeune fillette de 4 ans et M. I., un garçon de 18 mois, ont été les dernières victimes d’une série macabre qui a pour théâtre la nouvelle ville appelé cité El Attrak.
Le chef de l’exécutif, lors d’une visite de travail samedi dernier, a clairement signifié sa «désapprobation face aux pratiques bureaucratiques occultes» qui «freinent les activités économiques», selon un investisseur local qui échangeait une discussion franche au niveau de la zone industrielle Zaaroura 2.
Le chef-lieu de wilaya, Tiaret, qui compte près de 400 000 habitants, dispose, officiellement, de 180 cafés ou autres établissements du genre. Des commerces qui obéissent à une règlementation stricte car impliquant la santé, la sécurité et la salubrité publiques nonobstant les impacts sur le voisinage et sur l’environnement.