Mehdi Brahimi du parti TAJ a été élu samedi nouveau sénateur pour la wilaya d’Oran à l’issue du scrutin entrant dans le cadre du renouvellement partiel des membres du Conseil de la nation (les mandats sont de 6 ans mais les renouvellements, par moitié, se font une fois tous les trois ans).
Il y a quelques temps, au soir de la victoire de l’équipe nationale de la coupe arabe des nations, des milliers de fans ont convergé vers la place des Martyrs (ex-place Carnot), au coeur de la ville de Tiaret, pour célébrer le sacre des Verts.
Une première dans les annales des rapports médias - pouvoirs publics locaux que cette rencontre tenue au siège de la daïra, jeudi dernier. Rencontre devant permettre au chef de daïra, M. Saïd Mansouri, au tout nouveau maire de Tiaret, M. Ouadhahi Larbi et aux représentants de diverses directions concernées dans le processus de conduite des projets d’équipements de situer la donne.
En foulant, ces derniers jours, les dédales de la nouvelle zone industrielle Mimouni Mansour (ex-Zaaroura) à Tiaret, Zeghdar Ahmed, ministre de l’Industrie, accompagné des représentants des autorités locales, dont le chef de l’exécutif, Mohamed Amine Deramchi, s’est dit «réjoui de constater que 18 jeunes patrons de PME se sont pris en charge pour être dotés en énergie électrique pour un coût total de 28 millions de dinars».
Le branle-bas de combat a été déclenché depuis vendredi quand des agents sécuritaires ont été alertés sur cette découverte mystérieuse de carcasses d’animaux désossées au niveau de la route Aïn Guesma à la sortie sud de la ville.
Il n’y a pas une discussion dans les cafés, rues, espaces publics ou privés et surtout dans les transports publics où l’on n’évoque pas l’état du réseau routier à Tiaret.
Première séance inaugurale houleuse dans la salle des délibérations de l’assemblée populaire de wilaya mercredi à l’aube de ce que devrait être l’approbation du règlement intérieur, de la désignation des vice-présidents et des huit commissions.
Le sacre d’Imène Khelif, une fille du village de Biban Mesbah, à quelque six bornes de Tiaret, n’a pu se concrétiser que parce que cette dernière s’était échinée, seule, pour se distinguer après avoir intégré la section sportive de la Protection civile.