Une visite éclair et discrète que celle effectuée, mercredi, par Adel Bentoumi, président directeur général du groupe Algérie-télécom à Tiaret.
Bien qu’il y ait une convergence en points de vue et d’approches, voire une certaine symbiose entre l’administration et son chef d’exécutif d’avec l’APW, les élus et presque toutes les institutions républicaines, le wali de Tiaret, Ali Bouguerra trouve qu’«il existe des personnes qui sont enclines à bloquer toute action en faveur du développement».
«Sur les 2115 demandes de raccordement au branchement électrique par des exploitants du secteur agricole, 939 ont été transférées vers Sonelgaz alors que 1167 autres demandes ont été annulées», a expliqué le chef de l’exécutif, Ali Bouguerra, à l’adresse de la mission parlementaire qui a séjourné dernièrement à Tiaret.
Située à 116 kilomètres à l’extrême est de la wilaya de Tiaret, Ksar Chellala et ses habitants éprouvaient, jusque-là, des difficultés à accéder au chef-lieu de wilaya à au moins une heure trente de route non sans contourner, paradoxe de l’ancien découpage de 1984, une autre wilaya limitrophe, Djelfa.
A l’issue de la cinquième édition, le Festival national du sport communicationnel fait cahin-caha son bonhomme de chemin. Ce n’est pas encore du grand professionnalisme mais ça promet à voir des jeunes, garçons et filles débordant d’énergie et d’enthousiasme.
Bengriba Mohamed Abdelwahab, directeur de l’environnement à Tiaret, est décédé avant-hier à l’âge de 46 ans des suites d’une longue maladie chronique et inhumé dimanche auprès des siens au cimetière de Oued Fodha dans la wilaya de Chlef.
Une mission de parlementaires, constituée d’une dizaine d’élus de la nation, a atterri mardi à Tiaret pour s’imprégner sur le terrain de la donne en matière d’agriculture.
La direction locale de Tiaret de la Caisse nationale des assurances sociales a instigué, ces jours-ci, une rencontre où ont prit part les praticiens, pharmaciens et autres cadres pour débattre et trouver des solutions quant aux problèmes, notamment ceux liés à la fraude que cette institution connait.
La cité Belhadj Hachemi ex-Volani dans la ZHUN sud de la ville de Tiaret reste un territoire qui se singularise par une donne socioéconomique sous-tendue par cette tentaculaire emprise des marchands de l’informel sur la population nombreuse qui y réside, non sans dommage collatéraux sur l’environnement, l’hygiène et la sécurité publique, voire sur de potentielles plus-values fiscales que le fisc aurait dû générer par ce commerce pourtant florissant.
Une année, jour pour jour, après le premier coup de manivelle donné par Ali Bouguera, wali de Tiaret, à la série filmique enfantine Hikma Wa Ibra, de l’entreprise de production culturelle et cinématographique des frères Zerrouki, marque le pas.
La célébration à titre officielle par les hautes autorités du pays du 63e anniversaire des manifestations populaires du 11 Décembre 1960 à Tiaret a été une occasion d’honorer trois combattants et une moudjahida.
A l’heure où les autorités locales et mouvement associatif local accordent leurs violons pour tenter d’atténuer les effets ravageurs sur le cadre de vie, de plus en plus dégradé, en lançant une grande opération de réhabilitation d’espaces verts, équipements publics et établissements éducatifs voire de grands boulevards, voilà que l’APC lance à son tour une grande autre opération d’appoint.
Les 268 habitants du douar Aïn El Beïda relevant de la commune de Sidi Bakhti, 45 km à l’ouest de Tiaret, un des 622 douars et mechtas affublés du qualificatif de zone d’ombre dans la wilaya ont poussé un grand ouf de soulagement alors que le chef de l’exécutif, Ali Bouguera accompagné par le P/APW et des élus procédèrent, sur fonds d’explications détaillées à la mise en service du gaz de ville.
Une opération pour la réalisation, en urgence, de quatre forages va être entreprise au champ captant de la Mina situé en amont de la station de pompage de Sidi Ouadah relevant de la commune de Mellakou, à Tiaret. L’objectif est «de renforcer l’alimentation en eau potable de 19 quartiers de la ville», dont les populations ont connu de grandes difficultés d’approvisionnement durant l’été 2023.
Certaines communes de la localité nord de la wilaya de Tiaret accusent un terrible retard quant aux projets de développement l L’alimentation en eau potable au compte-goutte ou encore la rareté, voire l’inexistence d’infrastructures sanitaires, sont parmi les points noirs que les habitants aimeraient voir disparaître au plus tôt.
Les agents des brigades opérationnelles des Douanes, relevant des services régionaux de Chlef, ont effectué deux saisies importantes.
Les personnels de trois lycées à Tiaret sont sur le qui-vive depuis que des cas de tuberculose ont été détectés sur au moins cinq personnes, dont un enseignant.
Le service oncologique relevant de l’EPH Youssef Damerdji de Tiaret connaît une intense activité. «2700 malades sont passés par ce service durant l’année écoulée, dont 419 nouveaux cas», est-il noté en marge de la visite du chef de l’exécutif, Ali Bouguerra, samedi dernier.
Poser les jalons d’un grand pôle sanitaire au profit des populations d’une wilaya qui a dépassé le million d’habitants et, au-delà pour toute la région des Hauts-Plateaux de l’Ouest qui englobe plusieurs wilayas et plus de 4 millions passe par la création d’un centre hospitalo-universitaire.
Un autre pari pour redorer le blason d’une cité millénaire a été lancé par Ali Bouguerra, wali de Tiaret le 1er novembre, à travers une opération de grande envergure, en marge des festivités de notre glorieuse révolution. Objectif recherché : Rendre son lustre à une ville, Tiaret qui a sombré sous la décrépitude et les vicissitudes du temps.