l Pour la deuxième année de suite, la célébration de Yennayer, le Nouvel An amazigh, s’est caractérisée par la tenue, dix jours durant, du souk de Yennayer en plein cœur de la capitale qui s’est mise aux couleurs chatoyantes de cette fête ancestrale.
La structure chargée des travaux de reconstruction du monument historique «Porte du caravansérail», situé dans le parc «Abdelhamid Ben Badis» du vieux quartier «Sidi El Houari» à Oran, a été récemment désignée.
Le Palais de la culture abrite une exposition de Meryem Ghellai, une jeune artiste-peintre prometteuse qui ambitionne de se frayer un chemin dans cet univers avec des idées novatrices qui méritent qu’on s’y attarde. Pour la majorité d’entre eux, ses travaux n’ont été montrés pour la première fois au public que lors du vernissage qui a eu lieu dans l’après-midi du dimanche 19 janvier.
Après avoir mis la clé sous le paillasson, depuis la disparition de l’artiste peintre Mustapha Benkahla, la société des beaux-arts d’Alger, qui dispensait un apprentissage artistique, dont le dessin, les arts plastiques et abritait des classes de musique andalouse, ne saura tarder à rouvrir ses portes, et ce, au grand bonheur des enfants et adolescents qui, faut-il dire, manquent d’espace culturel leur permettant de s’y exprimer et s’y épanouir.
La nouvelle du décès hier de Samia Zennadi, éditrice, est tombée tel un couperet. Cofondatrice avec son mari, Karim Chikh, des éditions Apic (2003), elle était très estimée dans le monde de l’édition.
Le caftan constantinois, avec sa beauté, son charme et son histoire millénaire, continue de diffuser les délicieux effluves de l’histoire de l’Algérie en matière d’habits féminins de fête.
Dans son recueil, le poète, natif de la ville de Tizi Ouzou, nous replonge dans une actualité traumatisante : celle des incendies de Kabylie d’août 2021.
Acteur dans la scène culturelle oranaise, Mohamed Benziane a animé plusieurs conférences autour des questions en lien avec l’histoire, la critique littéraire, le cinéma, la musique (raï, notamment) et le théâtre. Il a des projets plein la tête, notamment la mise sur pied de la géologique de l’histoire culturelle et religieuse de l’Algérie.
Les Assises nationales du cinéma s’ouvriront demain au Centre de conférences (CIC), Abdelatif Rahal. Placées sous le patronage du président Abdelmadjid Tebboune, ces assises devront permettre de préparer une «feuille de route opérationnelle» du secteur du cinéma en Algérie, précise dans un communiqué le ministère de la Culture, organisateur de cet événement de deux jours.
David Lynch est considéré comme un maître du cinéma qui a révolutionné l’image et marqué cet art avec l’ambiance inquiétante et obsédante de ces films.
Tôt le matin, j’ai parcouru les rues de la grande ville, les magasins étaient fermés et les gens pressés sous la pluie. Puis, trouvant une boutique d’artisan torréfacteur, qui servait du café préparé, je m’y suis arrêté pour en prendre une tasse.
La soirée était particulièrement festive, mettant en avant les morceaux les plus dansants d’un vaste répertoire qui reste encore à explorer et à redécouvrir.
El Zindjia» (La Négresse) est le cinquième roman en arabe de l'écrivaine algérienne Aïcha Bennour, paru récemment dans sa version française. Elle nous narre dans un style limpide et aiguisé les affres endurées par les migrants subsahariens dans leur quête d’un hypothétique eldorado septentrional, un havre de paix et de pain caressé depuis le point de départ, avant le désenchantement engendré par des passeurs véreux qui exploitent la faiblesse des âmes accablées pour s’enrichir sans aucun gage de réussite de l’aventure clandestine. La romancière s’est focalisée sur la gent féminine à la peau noire qui porte le lourd fardeau de la paupérisation et du déracinement.
Le récit est inspiré de faits réels se rapportant à l’histoire d’une femme au hasard d’une rencontre, découvre que les parents à qui elle doit tout ne sont pas en réalité ses parents biologique.
l Certains graffitis puisent du patrimoine musical et s’identifient aux figures emblématiques et au patrimoine du chaâbi, tandis que d’autres flirtent avec le moins soft, d’où une certaine animosité que tentent d’immortaliser des tifosis sur des supports de l’espace urbain : le mur. Focus.
L’aspect culturel de cet événement a été la particularité de cette manifestation où toute la diversité du patrimoine national a été présentée aux visiteurs dans un cadre festif.
l «Daouia et Hmida, interprétés respectivement par les comédiens Houria Zaouch et Ahmed El Aouni, forment un jeune couple qui habite dans une cave exigüe et attend désespérément que «les gars du recensement» se pointent pour les gratifier d’un logement social.
Le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a effectué, samedi soir, une visite d’inspection et de travail pour s’enquérir de l’état d’avancement des projets de restauration de six monuments de la cité de La Casbah d’Alger.
l La presse nationale avait pourtant déjà signalé, à maintes reprises, les dégradations des arts rupestres du magique Sahara. Visiblement sans convaincre. Taghit était jadis un ksar oasis, source cristalline où se désaltéraient les caravaniers, et est réputée pour son site de gravures rupestres, datant entre 4000 et 5000 ans avant notre ère.
Six pieds sur terre est le premier long métrage que signe Karim Bensallah, ce cinéaste à l’identité multiple, tant il est tout à la fois Algérien, Brésilien et Français. Loin d’avoir ennuyé les spectateurs, rassemblés, mercredi dernier, dans la salle des spectacles de l’Institut français d’Oran, Six pieds sur terre en a scotché plus d’un, tant personne, dans la salle, pendant les 90 minutes que durait le film, n’a eu l’impolitesse de jeter un coup d’œil à sa montre, et cela en dépit du thème abordé, en l’occurrence la mort, qui n’est pas «vendeur», loin s’en faut.