Les Fallas de Valence, l’une des fêtes les plus emblématiques d’Espagne, attirent chaque année des milliers de visiteurs venus admirer ses monuments colorés, ses événements et ses spectacles l Cependant, derrière la joie apparente et la grandeur de cette célébration se cachent des controverses et des critiques qui remettent en question son impact culturel, social et environnemental.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, a présenté, lundi devant la commission de la culture, de l’information, de la jeunesse et du tourisme, le texte de loi sur la cinématographie adopté le 4 mars par les membres de l’Assemblée populaire nationale (APN).
Fontaines, fugues musicales, soufisme, coutumes et traditions ancestrales jalousement conservés, réminiscences et souvenirs dépoussiérés : des tableaux de vie dans l’espace d’une société qui a su garder son authenticité…
Plusieurs projets relevant du secteur de l’habitat et de la culture et des arts dans la wilaya de Aïn Defla ont été lancés par les autorités locales.
Une convention de partenariat a été signée entre la direction de la culture et des arts de Médéa, le rectorat de l’université Yahia Fares et la direction des œuvres universitaires pour l’encadrement, l’accompagnement et la collaboration en matière d’organisation et d’animation d’activités culturelles, a-t-on appris auprès de la direction locale de la culture et des arts.
Algérie libre et indépendante… mon rêve d’enfance est l’intitulé de l’ouvrage paru chez les éditions Houma de l’auteur Abdenour Damardji.
Le monodrame Moins cinq a été présenté dans la soirée de dimanche au Théâtre régional Malek Bouguermouh de Béjaïa, et ce, pour la 5e fois depuis sa production.
Réalisée par le dramaturge Rachid Koutama et produite par le Théâtre régional de Béjaïa, (TRB), la pièce théâtrale intitulée Les années oueds traitant d’une période de la colonisation et de la résistance algérienne, a été présentée, samedi soir à Bouira. En effet, le public était nombreux à la salle des spectacles du théâtre régional Amar Laskri.
L’Ecole supérieure des beaux-arts d’Alger a accueilli, dernièrement, dans le cadre de ses rendez-vous hebdomadaires, une rencontre intéressante portant sur l’art contemporain, animée par deux valeurs sûres de la peinture algérienne, à savoir Zoubir Hellal et Mustapha Nedjai.
Fateh Boumahdi appartient à une nouvelle génération de jeunes romanciers algériens post-décennie noire. Né en 1998, cette période traumatisante pour le peuple algérien n’en est pas moins présente.
Depuis le début du mois de Ramadhan, les chaînes TV rivalisent entre séries et feuilletons, avec du bon et du moins bon. Du cinéma ? Pour certaines séries, on s’en approche, pour d’autres, c’est encore de la télévision, mais devant le vide pédagogique, le Ramadhan restera l’école de formation pour tous les métiers du cinéma.
Quelle fabuleuse manière que de célébrer, la semaine dernière, la Journée nationale des personnes aux besoins spécifiques, que de faire monter sur les planches du Théâtre régional d’Oran des comédiens talentueux, non-voyants et malentendants, pour interpréter une pièce de haute facture, en l’occurrence l’Antigone de Sophocle.
Dans le cadre des Nuits du Ramadhan, l’ambassade d’Espagne en Algérie et l’Institut Cervantès d’Alger ont élaboré un riche programme culturel et artistique pour célébrer le mois sacré du Ramadhan.
l Ce Ramadhan 2024 à Oran, pareillement à ceux des années précédentes, réserve une place de choix à la culuture.
Nous nous verrons en août», grâce à Internet j’ai lu quelques pages du roman inédit de Gabriel Garcia Marquez publié à titre posthume, dix ans après sa mort.
La poésie de Mohamed Amokrane dénonce l’injustice, la violence, la bêtise humaine, l’ignorance et l’hypocrisie sociale, pour ne citer que ceux-là. Le poète, à ce titre, est un témoin gênant d’une société qui a tourné le dos à son histoire, ses traditions et ses valeurs…», dit Fayçal Medjahed, auteur et journaliste, à propos de Mélodie de l’espoir.
l La 13e édition du Festival culturel national de la chanson chaâbie aura lieu du 28 au 31, au palais de la culture Moufdi Zakaria (Alger), a-t-on appris mardi auprès du commissaire du festival, Abdelkader Bendaamache.
L’interprète de musique andalouse Lila Borsali donne rendez-vous à ses mélomanes, le 15 mars à 22h, à la salle Ibn Khaldoun, à Alger, où elle présentera son nouveau spectacle Madyan.
L’infatigable artiste peintre et plasticienne Djahida Houadef à l’Institut Cervantès à Alger avec une nouvelle collection de peinture très colorée.
Un constat s’impose : les traductions d’œuvres algériennes sont rares. Il y a eu certes les traducteurs «historiques» (Marcel Bois, Said Boutadjine, Mohamed Sari, Merzak Begtach), mais ces expériences n’ont guère suscité un véritable mouvement, comparable à celui enclenché dans le monde arabe (Liban, Egypte…)