L’artiste peintre Aghilès Issiakhem et l’artiste américain Will Berry se sont retrouvés, lundi en fin de journée, au niveau de l’espace Artissimo Hub à Alger, pour parler de leurs propres parcours artistiques et se prêter au jeu du commentaire de l’œuvre de l’autre sous la modération de Michel Blancsubé, commissaire de l’exposition de Will Berry.
A travers un communiqué qui nous a été adressé, le Palestine Film Institute (PFI), sis à Ramallah en Palestine occupée, annonce sa participation au principal Festival de documentaires du Royaume-Uni qui se tient du 12 au 17 juin à Sheffield, ville située au nord de l’Angleterre.
Le miniaturiste, artiste peintre, décorateur, graphiste et designer algérien Morsli Zakaria est décédé le 8 juin 2024, à l’âge de 60 ans, suite à un arrêt cardiaque. Il a été enterré le lendemain au cimetière de Bouhmam à Bouzaréah.
La Journée nationale de l’artiste a été célébrée de façon originale, cette année à Aïn Témouchent, en ce sens qu’il s’était agi d’une «lemma» (retrouvailles) à l’occasion de laquelle des artistes de différents bords et disciplines se sont retrouvés dans une ambiance chaleureuse et fraternelle.
Le journaliste et auteur de ces Rencontres, Hmida Ayachi a plaidé, lors de ce débat, pour «une réécriture» de l’histoire de Sidi Bel Abbès. Une histoire qui, selon Karim Ouldennebia, chercheur en histoire et enseignant à l’université Djillali Liabès de Sidi Bel Abbes, est entourée de mythes et de légendes, inventés par la colonisation française.
«Rencontres de la Mekerra» est un événement culturel qui se déroule à Sidi Bel Abbès pour la première fois. Il est dédié cette année au cinéaste Brahim Tsaki, originaire de la ville, décédé en septembre 2021.
l Les romancières Lynda Chouiten et Kaouther Adimi ont animé un débat à Saïda lors du 7e Festival national du cinéma et de la littérature de la femme qui s’est déroulé du 23 au 26 mai dernier. Elles ont parlé de leur expérience avec l’écriture.
Amis, proches et clients ont été conviés, samedi après-midi, à une collation, une forme d’au revoir, à la galerie d’art Farid Benyaa, après un quart de siècle d’existence. Nombreux sont ceux qui ont fait le déplacement pour remercier l’architecte et artiste peintre Farid Benyaa pour ce qu’il leur a apporté durant ces années.
Le Théâtre régional de Constantine, Mohamed Tahar Fergani, a abrité, mercredi 29 mai, la générale de la pièce pour enfants Mariage de Ouchène. Ce voyage initiatique est une adaptation théâtrale du conte Mariage du loup du journaliste et écrivain Abdelwahab Boumaza publié en 2014 dans la collection jeunesse des éditions El Ibriz.
El Batha et Hdach Hdach ont été consacrés meilleurs comédie et drama pour l’année 2024 en Algérie. Le jury du concours Le Générique d’or a également désigné Walid Bouchebah et Oussama Kobi comme meilleurs réalisateurs.
Il a été projeté dans le cadre de la tenue à Oran à l’Institut Cervantès du Festival du cinéma ibéro-américain. Le choix de cette œuvre pour représenter ce grand pays d’Amérique latine est particulièrement judicieux car c’est une véritable découverte qu’est cette réalisation datant de 2022 (sortie), signée Efterpi Charalambidis (son deuxième long métrage) et interprétée avec brio, notamment par l’actrice principale, la talentueuse et flamboyante Irabé Seguia présente à Oran pour débattre avec le public.
Quarante-six ans, ce 02 juin, depuis ton départ en 1978 ; tu n’aimais pas les chiffres mais tu les retenais, tu savais combien le temps qui passe comptais. Toi qui, finalement, n’a jamais calculé tout à tes mots simples et directs, qui ne laissaient que peu de place aux calculs des hérauts, car tu savais déjà, que les zéros tournaient en rond. Nous aimons la même ville, j’ose dire notre, comme nous aurions aimé la même femme.
Dans son essai Sartre et l’Algérie (Tafat), le jeune auteur Kamal Guerroua évoque avec force détails le parcours anticolonial de l’écrivain et philosophe français. «Sartre-l’Algérien» a été un philosophe antisystème au sens propre du mot : la voix des sans-voix et le grand frère des opprimés», précise-t-il.
Le quatrième jour du festival a été incontestablement celui de la cinéphilie qui s’affiche. Il a coïncidé avec le samedi, jour férié, en après-midi, où cinq courts métrages concouraient pour l’unique sacre consacré par le festival au profit de ce seul genre.
Idaam (Exécution) de Youssef Mahsas et Désert rose (La rose du désert) de Oussama Benhassine ont été projetés à la salle Douniazed, à Saïda, à la faveur de la compétition du 7e Festival national du cinéma et de la littérature de la femme, clôturé dans la soirée du 26 mai.
Pour Aksouh, de son prénom Mohamed, cela fera plus de soixante ans qu’il expose ses œuvres. Celui qui vit le jour le 1er juin 1934 à Saint Eugène (aujourd’hui Bologhine) fêtera son 90e anniversaire lors d’un vernissage jeudi 30 mai à 18h30 dans la galerie Artbribus de Mustapha Boutadjine dont il est l’invité d’honneur. Il y présentera ses derniers travaux jusqu’au 21 juin.
A l’occasion de la parution du roman Je te pardonne de Jamila Rahal, les éditions Chihab, organisent une rencontre littéraire, samedi 25 mai, à partir de 14h, au niveau de sa librairie à Bab El Oued à Alger.
Le Centre culturel algérien (CCA) et l’Institut du monde arabe (IMA) à Paris s’attellent à célébrer des événements dédiés aux patrimoines de Bou Saâda et à l’artiste Etienne Nasr-Eddine Dinet, du 31 mai au 1er juin.
Bernard Pivot, le pivot des mots, autour duquel des processions de lettres venaient de différents horizons, de terres lointaines où ces formes aux sons hétéroclites sont transcrites dans des calligraphies jusque-là peu connues aux mortels des communs et d’autres saillantes sur le promontoire de la célébrité ,
Le personnel du Musée affine et peaufine les conditions d’accueil, s’employant à améliorer surtout ses espaces périphériques et lieux de détentes, car à l’intérieur tout est à point pour mettre plein la vue et l’esprit aux touristes. Situé au cœur du parc national de Gouraya, le bâtiment, qui s’apparente à une jolie résidence d’un quartier cossu, offre à ceux qui s’y embarquent un voyage passionnant et rafraichissant dans les sciences de la terre, magnifié de surcroît par une scénographie chatoyante, conçue et adaptée par des artistes de renoms dont le plasticien Djamel Bouali.