Pour Ahmed Attaf, la marginalisation du continent africain ne concerne pas que les Africains eux-mêmes et l’«Oran Process» œuvre à contribuer à réparer l’injustice historique imposée au Continent afin de lui permettre de porter haut et fort sa voix à l’international.
Le message du président de la République évoque la situation de crise qui caractérise les relations internationales pour mettre en avant la nécessité de faire entendre les voix de la sagesse, de la justice et de l’engagement.
Une exposition en hommage au peintre Abderrahmane Mekki est proposée au public du musée d’Oran depuis jeudi dernier, jour du vernissage qui a rassemblé un grand nombre d’invités, dont notamment des artistes peintres, des enseignants dans les Beaux-Arts mais surtout beaucoup d’étudiants du domaine et de l’école d’Oran en particulier.
Belle prestation que celle donnée par la chanteuse espagnole Karmento à Oran samedi dernier.
Une journée scientifique portant sur le patrimoine immatériel a été organisée lundi au musée Zabana, une initiative commune entre cette institution et l’Université Oran 2 par le biais de sa faculté des sciences sociales et son unité de recherche en sciences humaines.
L’écrivain Lazhari Labter a, sans doute, raison de souhaiter que le nom d’Anna Gréki, de son vrai nom Colette Anna Grégoire, soit apposé quelque part en Algérie en hommage à cette militante de la cause nationale algérienne.
La série des bons résultats se poursuit pour le MC Oran qui vient de battre l’Entente de Sétif et accéder par la même occasion, même si c’est si juste pour 24 heures, à la place de leader du championnat. Une symbolique forte pour l’équipe oranaise qui affiche clairement cette année ses ambitions de jouer les premiers rôles.
L’exploration et l’exploitation minière sera au centre de la journée scientifique prévue en décembre à l’initiative de la faculté des sciences de la terre et de l’univers de l’université Oran 2. Une occasion pour mettre en avant le potentiel national dans ce secteur notamment en ce qui concerne les terres rares considérées comme «un substitut énergétique» à potentiel économique indéniable pour l’avenir.
Les étudiants, des universitaires, des représentants d’instances financières, d’entreprises publiques et privées ont pris part au séminaire organisé mercredi dernier à l’école supérieure d’économie d’Oran. Le programme comporte deux tables rondes.
La femme est le combat pour l’indépendance, mais aussi pour la promotion de la paix dans le monde, a été au centre de la rencontre organisée lundi au musée Zabana à Oran.
Le peintre Nouredine Belhachemi a été l’invité du musée Zabana à Oran le 19 octobre pour un double événement.
On devine bien que dans ces cas-là, ce sont les enfants et surtout les femmes qui en pâtissent et c’est sur cette catégorie que la réalisatrice irano-américaine Anna Fahr a voulu attirer les regards par son film Valley of exile (comptant pour le Liban) et projeté au festival du film arabe d’Oran.
Le traitement des demandes de visas pour l’Espagne sera scindé en deux, et une des parties concernera celles formulées pour la première fois. «Un traitement spécifique aux primo-demandeurs» pour, indique le consul général d’Espagne à Oran, M. Juan Lopez Herrera, plus d’efficacité dans la gestion de ce dossier qui enregistre toujours un afflux remarquable.
La cérémonie de clôture a été ponctuée par plusieurs hommages rendus à des personnalités diverses.
Présent uniquement avant la projection, le réalisateur Mauritanien Abderrahmane Sissako a exprimé son affection pour l’Algérie, un pays qui lui tient à cœur, car ayant lui-même un demi-frère algérien de par sa mère.
C’est en partie par le truchement des flash-back que le réalisateur fait rentrer le spectateur dans la peau des personnages.
Avec une narration classique, sans prétention et une histoire qui tient la route, le film «Mandoob» représente quand même une évolution, celle de montrer un visage inattendu de la société saoudienne.
Projeté en compétition et en avant-première mondiale dans la soirée de dimanche, le film «Terre de Vengeance», du réalisateur algérien Anis Djaad ayant quand-même drainé un peu plus de public que d’habitude, a reçu un accueil mitigé. Les silences, les plans fixes à durée indéterminée, les lenteurs, etc. font certainement écho à son très beau court métrage, le méditatif «Passage à niveau» sorti il y a une dizaine d’années.
Le film La Gare ou Ain Lahdjar a été choisi comme film d’ouverture de la douzième édition du Festival du film arabe d’Oran et a été projeté en avant-première samedi à la salle Mahgreb. S’exprimant juste avant, son réalisateur, l'Algérien Lotfi Bouchouchi, a sans doute bien fait d’avertir les spectateurs de ne pas s’attendre à voir un film dans le style de son premier coup d’essai, Le Puits.
Le défunt s’est produit sur plusieurs scènes en répondant présent à chaque fois que les animateurs culturels de la ville faisaient appel à lui.