En marge du salon international du livre d’Alger, le thème du patrimoine algérien à l’UNESCO, a fait l’objet d’une rencontre, mardi dernier, au niveau du pavillon Panaf.
La grande salle de conférences de la maison de la culture Dr Ahmed Aroua de Koléa était pleine à craquer lors de la clôture de la 13e édition de Koléandalouse.
l De passage à Alger, nous avons eu le bonheur de renouer avec une salle de théâtre après près de deux années sans humer l’air de l’une d’elles. Cela a coïncidé avec la deuxième représentation de Aqd el jawhar de M’hamed Benguettaf, une reprise décidée à la faveur de la célébration du 70e anniversaire du déclenchement de la lutte de Libération nationale.
Son roman Orbital s’est vu récompensé mardi par le prestigieux prix littéraire britannique.
Les auteurs et critiques littéraires algériens ont été surpris par l’engouement des jeunes pour les genres de littérature considérés comme mineurs. Deux camps, aux positions tranchées, s’étaient formés : rejet franc d’un côté et accueil enthousiaste de l’autre.
L’expérience de l’écrivain, poète et sociologue algérien dans l’écriture et les mythes fondateur a été au centre d’une conférence, lundi dernier, au niveau de l’espace Panef du Salon international du livre d’Alger.
La toute nouvelle maison d’édition privée Pro-Cible vient d’éditer, à l’occasion du 27e Salon international du livre d’Alger, un roman intitulé «Eruptions», signé par l’auteur Zahir Battache.
C’est un témoignage édifiant venu du XXe siècle. L’actualité immédiate du génocide en cours à Ghaza fait écho aux humiliations anciennes subies par le peuple palestinien sur sa terre.
l Le journaliste et écrivain algérien, Salah Badis, et l’écrivain suisse et tchadien, Noël Nétonon Ndjékéry, ont mis en avant, dimanche, lors d’une conférence organisée dans le cadre de la 27e édition du Salon international du livre d’Alger (SILA), la question des langues.
L’espace Palestine a abrité, samedi après-midi, une conférence, ayant pour intitulé «Littérature de résistance en Palestine : des plumes face au feu», animée par des spécialistes algériens et étrangers.
Pour le 29e numéro de Mountada el adabi de la bibliothèque principale de lecture publique de la wilaya de Témouchent, Bouziane Ben Achour en a été l’invité cette semaine afin de présenter son Journal de bord, son quatrième opus consacré au théâtre algérien.
Jusqu’au 1er décembre prochain, la maison Nahla située à la rue Mokrane Zouaoui, accueille une exposition plastique de l’artiste Mizo, intitulée Mutation dont les compositions argentiques renvoient à une profonde réflexion.
l Rien, semble-t-il, ne prédestinait cet Alsacien né en pleine guerre dans une famille germanophone, qui fit de solides études de lettres à Strasbourg et Montpellier, avant d’être nommé professeur certifié dans un lycée du nord de la France, à devenir l’un des plus éminents spécialistes des littératures postcoloniales du nord de l’Afrique.
Ali Feraoun, le fils de l’illustre Mouloud Feraoun, dit penser que l’assassinat de son père a été commandité et ordonné par le gouvernement français de l’époque, voire par le général de Gaulle en personne.
Le Salon international du livre d’Alger a ouvert ses portes le 6 novembre pour se poursuivre jusqu’au 16 novembre au Palais des expositions des Pins Maritimes à Alger. Dans cet entretien, le commissaire du SILA, Mohamed Iguerb, nous décortique le programme.
Dans le cadre de la tenue du 27e Salon international du livre d’Alger (SILA), deux spécialistes de l’histoire coloniale française, à savoir Malika Rahal et Hosni Kitouni, ont animé, dans l’après-midi de samedi dernier, une conférence ayant pour thème «Les historiens et la révélation des crimes coloniaux».
Notre confrère Mohammed Kali, journaliste, auteur et critique de théâtre, vient tout juste de publier aux éditions Chiheb son dernier-né intitulé Raï, oh ! ma déraison.
L’avenir se construit au présent, en fidélité au passé, la littérature y contribue grandement, car elle demeure un formidable vecteur de transmission, de novation et d’éthique. C’est en effet ce triptyque qui fonde une vision prospective du futur.
Il est l’un des plus grands connaisseurs des littératures francophones du Maghreb. Charles Bonn est décédé chez lui, mercredi 6 novembre, à Lyon, à l’âge de 82 ans. Professeur émérite à l’Université Lyon II, ce natif de Lipsheim (Bas-Rhin, France) a enseigné dans les universités de Constantine, Fès et Leipzig. Il était le fondateur du programme Limag et du site limag.com.
L’œuvre, représentant le portrait du mathématicien anglais Alan Turing, a été réalisée par le robot bionique Ai-Da qui utilise l’intelligence artificielle pour créer des tableaux ou des sculptures. L’humanoïde est capable de voir, de parler et de se déplacer.