Des dirigeants du football africain ne veulent pas s’émanciper de la domination quasi-absolue des clubs, ligues et fédérations européennes qui, dès qu’arrive la Coupe d’Afrique des nations (CAN), compétition reine de la Confédération africaine de football (CAF), mettent la pression sur des joueurs et fédérations africaines pour qu’ils gardent leurs joueurs-employés africains lorsque la CAN arrive.
A quelques heures de la fin d’année 2023 et à sept mois des Jeux olympiques Paris 2024, le sport est plus que jamais divisé sur la conduite à tenir par rapport aux conflits politiques qui agitent le monde.
La Confédération africaine de football (CAF) est incorrigible. Elle ne retient pas les leçons de ses erreurs, notamment en ce qui concerne les événements et manifestations qu’elle organise hors des terrains de football. De nouveau, elle s’est encore distinguée par son manque de transparence dans le choix des nominés pour la cérémonie des Awards et surtout les lauréats.
La guerre pour la mainmise sur l’arbitrage s’est de nouveau enflammée. Le court répit observé après la nomination d’Abid Charef, ancien arbitre international à la tête de la Commission fédérale des arbitres (CFA) en remplacement de l’ex-mondialiste, Djamel Haimoudi, a laissé la place à une guerre larvée entre de multiples acteurs gravitant autour de l’arbitrage. L’opinion sportive ne se demande plus pourquoi tant d’agitation sur le sujet de l’arbitrage. Elle sait, depuis longtemps, que c’est les gros intérêts en jeu qui bercent l’actualité des hommes en noir.
L’étau se resserre de plus en plus autour des clubs endettés qui végétent en division Inter-régions. Le dernier communiqué de la Ligue Inter-régions informant ses pensionnaires qui n’ont pas encore satisfait au protocole initié par la fédération (trouver un accord avec les joueurs et entraîneurs créanciers) afin de résoudre le problème des dettes dans les meilleurs délais, a provoqué la panique et la colère dans l’environnement des clubs concernés. La LIRF leur a signifié la perte du prochain match par pénalité.
L’Equipe nationale a franchi avec succès les deux premiers matchs, sur dix, des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, zone Afrique.
Les Verts ont relevé la tête et, par là même, le défi de ramener les points de la victoire face au Mozambique chez lui. Ils l’ont fait et ont rassuré sur leur solide mental.
20 mois après le cauchemar de mars 2022 au stade Chahid Mustapha Tchaker, à Blida, difficile à oublier, les Verts repartent de nouveau à l’assaut d’une qualification à la Coupe du monde 2026. L’élimination contre le Cameroun au printemps 2022 dans l’ultime match avant le Mondial 2022 au Qatar a marqué les esprits.
Les statuts de la Fédération algérienne de football (FAF) vont-ils, enfin, marquer un retour à la légalité ? Il faut le croire, à la lecture des nouveaux statuts 2023 qui vont être approuvés par le ministère de la Jeunesse et des Sports et adoptés par l’Assemblée générale extraordinaire de la FAF qui sera convoquée pour la circonstance.
Les nouveaux statuts de la Fédération algérienne de football (FAF) vont être adoptés bientôt. Ils ont fait couler beaucoup d’encre. Beaucoup les ont utilisés comme épouventail pour faire peur à la majorité des acteurs du football, dans l’unique but de perpétuer l’ordre et les règles établis. Finalement, le texte fondateur de l’instance faîtière du football algérien ne présentait aucun danger pour celui-ci.
Israël assassine, en direct, le peuple palestinien sous le regard du monde et avec la complicité de la communauté internationale. Les crimes d’Israël sont encouragés et couverts par l’Occident.
La Fédération algérienne de football ( FAF ) a pris sur elle de contribuer à la recherche de solutions pour régler le problème des dettes des clubs vis-à-vis des joueurs et entraîneurs.
La Fédération algérienne de football (FAF) semble déterminée à régler le problème des dettes des clubs. Ce sujet fait la Une chaque saison. Walid Sadi, le nouveau président de la fédération, a initié une réunion avec les parties concernées par ce problème (clubs, joueurs, entraîneurs).
Le nouveau président de la Fédération algérienne de football (FAF), Walid Sadi, et les membres du Bureau fédéral élus sur sa liste n’ont pas perdu de temps, après leur élection. Ils se sont aussitôt mis au travail pour exécuter les 21 points inscrits au programme du candidat-président. Le nouveau locataire et son équipe sont vite entrés dans le vif du sujet, sans trop attendre.
Cette saison (2023-2024) ne sera pas trop différente des précédentes en matière de démissions et limogeage des coachs. En effet, après seulement 3 journées de championnat, 1/3 des entraîneurs enregistrés la veille du démarrage de la saison a plié bagages et quitté la scène.
Chaque année, les enfants aux besoins spécifiques en âge de scolarisation se préparent, à l’occasion de la rentrée des classes, à affronter divers handicaps, qu’ils se sont habitués à vivre durant leur cursus scolaire.
La décision de prolonger jusqu’au 27 août prochain le dépôt de candidature pour l’élection du président et des membres du bureau fédéral serait un signal fort adressé à tous ceux qui ont juré la mort du football algérien et qui se sont ligués contre tous ceux qui refusent de s’associer aux résidus de la issaba qui a conduit notre football dans l’impasse où il est empêtré depuis 2017.
Le titre, ci-dessus, pourrait bien s'accommoder à plusieurs pays africains, dont le Niger n'est pas des moindres. Et si on en parle, aujourd'hui, c'est que le Niger, pays parmi les plus pauvres de la planète, alors qu'il regorge de richesses, (or, uranium, fer, charbon et pétrole) est au cœur d'une crise de pouvoir dominant largement l'actualité internationale.
Après des décennies de sabotage, de tentatives d’avilissement des valeurs et de la morale du football, ses fossoyeurs ont fini par réaliser tous leurs funestes projets.
La Fédération algérienne de football (FAF) continue de fermer les yeux sur le non-respect des articles du décret exécutif qui traite de la question du cumul de mandats électifs.