Les démons du football algérien sont remontés en surface à la faveur de l’approche de la fin de saison et des multiples dangers qu’ils charrient. Il y a comme un embrasement planifié.
Ce qui a été qualifié «d’affaire du huis clos du match PAC-JSK» n’aurait jamais dû exister si le bon sens avait prévalu et, surtout, si les règlements avaient été respectés.
Après la rencontre WA Casablanca – JS Kabylie, des voix se sont élevées pour exiger «la protection des équipes algériennes en Coupe d’Afrique inter- clubs contre l’arbitrage». Il est à craindre que cela reste un vœu pieux.
Sans surprise, la décision de la Fédération française de football (fff) d’interdire l’arrêt des matches pour permettre aux joueurs de confession musulmane de rompre le jeûne a provoqué l’effet attendu.
La fédération française de football (FFF) aurait pu faire l’économie de la décision d’interdiction d’arrêter le match pour permettre la rupture du jeûne pour les joueurs de confession musulmane.
A la veille du départ de l’équipe nationale à Tunis où elle affrontera le Niger, demain, pour le compte du match retour des éliminatoires de la CAN-2023, décalée en 2024 en Côte d’Ivoire, la Fédération algérienne de football (FAF) a publié un communiqué sur son site officiel informant les médias nationaux que seules les télévisions sont autorisées à couvrir le départ de l’équipe nationale à Tunis. Exit les autres organes de presse (journaux et sites).