Une telle initiative peut éviter à la région le pire des scénarios qui la guette en raison de sa proximité avec de nombreux pays en crise.
La contribution efficace et importante du moudjahid et diplomate Mokhtar Kerkeb au soutien des mouvements de libération dans plusieurs pays africains à travers la formation de leurs armées au maniement des armes et aux techniques de combat a été mise en relief, mardi à Alger, lors d’une conférence organisée à l’occasion du 10e anniversaire de sa disparition.
Les risques géopolitiques, la crise politique au Niger et ses conséquences sur les pays voisins remettent le continent africain au devant de l’actualité mondiale.
Le titre, ci-dessus, pourrait bien s'accommoder à plusieurs pays africains, dont le Niger n'est pas des moindres. Et si on en parle, aujourd'hui, c'est que le Niger, pays parmi les plus pauvres de la planète, alors qu'il regorge de richesses, (or, uranium, fer, charbon et pétrole) est au cœur d'une crise de pouvoir dominant largement l'actualité internationale.
Des archéologues ont identifié les ossements d'une ancienne baleine ayant habité l'Égypte il y a environ 41 millions d'années.
Pas moins de 67 pays ont été invités par Pretoria pour assister à l’ouverture et à certains événements du sommet du groupe des BRICS prévu du 22 au 24 août à Johannesburg. Les invitations ont été adressées aux pays d’Afrique et du «Sud global» ainsi qu’à une vingtaine d’organisations différentes.
L’Afrique a du mal à sortir du cercle de l’endettement. Avec une dette publique actuelle estimée à 546 milliards de dollars, le continent africain a besoin de pas moins de 432 milliards de dollars de financements supplémentaires afin de faire face aux impacts socioéconomiques de la pandémie de Covid-19 et soutenir la reprise en 2022 et 2023.
Au commencement, c'était l’invasion américaine de l’Irak sans l'aval de l’Onu, sous un faux prétexte, avec une violence inouïe, suivie, quelques années après, de la déstabilisation de la Syrie et de la Libye.
En Afrique, la république d’Emmanuel Macron ne marche plus. En mars dernier, le président français était parti en tournée africaine (la dix-huitième en six ans) pour tenter de colmater les fissures créées par le sentiment anti-français grandissant et remettre son pays dans la course pour courtiser le continent. Quatre mois après, rien ne semble sourire à Paris.
La deuxième édition du sommet Russie-Afrique s’est ouverte jeudi et s’est poursuivie hier à Saint-Pétersbourg. Le sommet, placé sous le thème «Pour la paix, la sécurité et le développement», a vu la participation de représentants de 49 pays africains, dont 17 chefs d’Etat.
La Russie va offrir des dizaines de milliers de tonnes de céréales à six pays africains. L’annonce a été faite par le président Vladimir Poutine, à l’ouverture, jeudi 27 juillet, du sommet Russie-Afrique à Saint-Pétersbourg.
Les dirigeants des Etats d’Afrique de l’Ouest doivent se réunir demain à Abuja après le coup d’Etat au Niger qui a renversé le président élu Mohamed Bazoum, a annoncé hier la présidence nigériane à la tête de la Cédéao.
L’ex-ville impériale Saint-Pétersbourg accueille à partir de demain un sommet de deux jours Russie-Afrique, le deuxième après celui de Sotchi, sur la mer Noire en 2019.
Le Sommet africain d’action pour le climat se tiendra à Nairobi, capitale du Kenya, du 4 au 6 septembre prochain. Un rendez-vous important pour le continent qui scellera, via des données probantes et analytiques, la position commune aux pays africains lors de la COP28.
La Confédération africaine de football (CAF) a fixé, en accord avec la FIFA, le calendrier des éliminatoires de la Coupe du monde 2026, zone Afrique.
L’Algérie ambitionne de devenir le premier exportateur en Afrique. C’est ce qu’a déclaré, hier, Abdellatif El Houari, chargé du suivi et de la promotion des exportations au ministère du commerce sur les ondes de la radio nationale (chaîne I).
Jusqu’à hier, deux pays ont réagi à la nouvelle du retrait de la Mission onusienne du Mali. Il s’agit de la Russie et des Etats-Unis. Le département d’Etat américain a exprimé «son regret quant à la résolution de la crise, craignant l’impact que pourrait avoir le départ de la Minusma sur les crises sécuritaires et humanitaires affectant le peuple malien».
Plusieurs milliers de personnes ont manifesté hier à Ouagadougou pour soutenir le pouvoir en place et réclamer une nouvelle Constitution. Les manifestants se sont rassemblés dans le centre de la capitale burkinabè, malgré une pluie battante, pour un meeting à l’appel de la Coordination nationale des organisations de la société civile du Burkina Faso (CNOSC/BF), qui regroupe une vingtaine d’organisations.
Selon la FAO, actuellement, plus de 3 milliards de personnes vivent dans des zones agricoles avec des niveaux élevés ou très élevés de pénurie d’eau, alors qu’environ 1,2 milliard vivent dans des zones où il y a une fréquence élevée de sécheresse dans les zones de cultures et de pâturages, ou un stress hydrique élevé dans les zones irriguées.
La demande de retrait de la mission du maintien de la paix Minusma, formulée par les forces de transition maliennes, suscite des inquiétudes. La question sera tranchée par le Conseil de sécurité de l’ONU lors de sa réunion le 29 juin.