Quatre membres d’une même famille française sont morts, jeudi dernier, à Montreux (Suisse) en chutant de leur balcon, au 7e étage d’un immeuble, selon des médias suisses et français.
La Cour d'Alger a rendu dimanche 27 mars des peines différentes à l'encontre des accusés poursuivis dans les affaires des filiales du groupe "Condor", propriété des frères Benhamadi.
La scène politique nationale traverse un grand passage à vide. Les partis politiques, toutes tendances confondues, donnent l’impression d’être en grande crise et peinent à gagner la confiance d’une plus grande majorité des Algériens.
Ancien ministre, ex-député et militant politique, Abdesselam Ali-Rachedi analyse, ici, l’état de la classe politique algérienne. Selon lui, «la vie politique est quasiment éteinte» et les différentes formations politiques «ne sont que des appareils déconnectés du réel».
La secrétaire générale sortante du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, poursuivra son règne à la tête du parti pour les trois prochaines années. Le 8e congrès national ordinaire du PT, dont les travaux de deux jours se sont achevés hier, à l’hôtel Riadh de Sidi Fredj, a opté, en l’absence de toute candidature concurrente, pour la reconduction de Mme Hanoune au poste de secrétaire général du PT.
La situation va de mal en pis. En tant que syndicat et confédération, nous avons la responsabilité d’agir pour la protection du travailleur et de ses acquis», a déclaré Boualem Amoura, nouveau coordinateur de la Confédération des syndicats algériens (CSA), contacté par El Watan. Une conférence de presse est prévue justement demain pour annoncer l’élection du nouveau coordinateur en remplacement à Salim Ouelha, qui a dirigé la Confédération des syndicats algériens ces derniers six mois.
Le conseil national du RCD, qui dénonce l’«impasse» politique dans laquelle se trouve le pays, s’inquiète de «l’extrême gravité» de la répression des militants et des partis politiques de l’opposition.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a rendu, hier, un hommage au Colonel Si Amirouche Aït Hamouda, Commandant de la Wilaya III historique, tombé au champ d’honneur, il y a de cela 63 ans.
En détention depuis 22 mois pour «enrichissement illicite» et «trafic d’influence», le général-major Cherif Zerrad a comparu, il y a une dizaine de jours (le 17 mars), devant le tribunal militaire de Blida. L’ancien patron de l’un des plus puissants départements de l’armée, celui de l’emploi-préparation de l’état-major, a été condamné à 5 ans de prison ferme.
Un programme supplémentaire pour les vols internationaux, qui devait entrer en vigueur à partir du 27 mars 2022, a été annoncé avant d’être aussitôt supprimé de la page Facebook du ministère des Transports sans la moindre explication.
Ahmed Mahiou est ancien doyen de la Faculté de Droit d’Alger, ancien directeur de l’IREMAM, ancien président de la Commission pour le Droit international, et ancien juge ad hoc à la Cour internationale de justice (CIJ). Dans ses Mémoires Au fil du temps et des événements qu’il vient de publier chez Bouchène*, il relate 48 ans au service du Droit en Algérie et dans des institutions internationales, témoignant sur des faits et des événements auxquels il a été mêlé, et ce, dans un souci de «contribuer à enrichir la connaissance d’épisodes de l’histoire interne et externe de l’Algérie».
Le blocage entre l’administration et les étudiants en chirurgie dentaire affiliés à l’université Salah Boubnider (Constantine 3), perdure tout en prolongeant la grève menée depuis janvier dernier jusqu’à une date inconnue.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, dresse un tableau des plus sombres de la situation sociale, économique et politique du pays. Intervenant à l’ouverture, hier à Alger, des travaux de la dernière session du conseil national du parti, avant le prochain congrès programmé pour le début du mois de juin prochain, il pointe d’emblée «l’entêtement du pouvoir, à travers ses farces électorales, à reproduire un système en faillite».
Le 8e congrès du Parti des travailleurs (PT), qui s’est ouvert hier, était l’occasion pour sa présidente, Louisa Hanoune, de faire le bilan du parcours de sa formation, qui a marqué, insiste-elle, la scène politique nationale depuis l’ouverture au pluralisme politique.
L’ancienne ministre de la Culture, Khalida Toumi, a comparu jeudi dernier devant le pôle financier d’Alger, après une détention provisoire de 29 mois.
A l’instar de l’ancien P/APW de Béjaïa, le premier secrétaire national du FFS a laissé entrevoir à travers ses propos un malaise couvant au sein du parti.
Le Festival du fromage s’est ouvert, jeudi, pour s’étaler jusqu’à demain, dimanche, à l’hôtel le Relais vert de Oued Aïssi, à 7 kilomètres à l’est de Tizi Ouzou, mais juste avec, au programme, les communications d’universitaires et celles d’autres intervenants dans des organismes ayant une relation directe ou indirecte avec la filière lait et ses produits dérivés.
L’Office national des concours et examens (Onec) a indiqué, jeudi, dans une publication, que les titulaires du baccalauréat entre les années 1963 et 2005 peuvent introduire une demande de retrait du diplôme final, via un site dédié à cet effet.
Le sixième congrès ordinaire du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), se tiendra le 3 et 4 juin prochain.
La loi sur l’exercice syndical en Algérie, adoptée hier par le Conseil de la nation, ouvrira-t-elle la voie à l’émergence d’une nouvelle expérience syndicale ? Loin des travées du Parlement, la question revient avec insistance chez les travailleurs, les syndicalistes et les observateurs qui attendent de voir ses effets sur le terrain.