Pour une praticienne du centre de transfusons sanguine de Béjaïa, l’établissement connaît ces derniers mois des difficultés persistantes. Le déficit se creuse tous les jours, alors que le nombre de malades sollicitant du sang ou l’un de ses composants, à savoir les plaquettes ou le plasma, est en constante augmentation.
Parmi les décisions qui ont été prises au profit de ces derniers : la majoration des prix de tous les terrains agricoles à proximité de la mine de 30 à 50%, la possibilité de faire bénéficier quelques citoyens de logements sociaux...
Les SDF sont hébergés et nourris dans un centre appartenant à la DJS, mis provisoirement à la disposition de la DASS. Les sans-abri refusant de s’y rendre sont nourris et bénéficient d’une prise en charge médicale sur-place, dans la rue.
Les parents des enfants autistes se demandent : «Qu’en est-il du dossier de création d’un centre national de référence de l’autisme et d’une école nationale pour la formation d’enseignants spécialisés, annoncé par l’APN en avril 2023, un projet mis en place sur instruction du président de la République ? »
Lors de sa visite dans la wilaya de Béjaïa, le ministre de l’Energie et des Mines a inspecté deux grands projets à enjeux stratégiques, à savoir la mine de zinc d’Amizour/Tala Hamza et l’unité de dessalement de l’eau de mer de Tighremt.
Le wali de Béjaïa a indiqué, lors d’une récente sortie médiatique, que les efforts de l’administration locale sont concentrés, parallèlement à la procédure d’indemnisation, «sur la recherche d’une assiette de terrain pour la construction d’une usine de transformation du concentré de zinc en produits finis, comme il est prévu dans la feuille de route de ce projet de l’exploitation de la mine, et réitéré par les responsables du groupe algérien, la Société nationale de recherche et d’exploitation minières (Sonarem), récemment.
D’après un bilan arrêté au 28 novembre, deux fermes pilotes à Béjaïa ont réalisé un taux d’emblavement de 65,32%, soit une superficie de 113 hectares semée sur un objectif de 173 ha.
L’association culturelle Asalas, qui collabore à la tenue de ce concours, ainsi que l’équipe du jury sillonneront pas moins de neuf wilayas dans le cadre de la présélection des candidats au concours final qui aura lieu à Béjaïa, à l’occasion du Nouvel An amazigh, Yennayer 2975.
L’association culturelle des jeunes talentueux Chilla-Art organise un événement exceptionnel qui mettra en lumière le riche patrimoine culturel et artistique local, baptisé «La culture au cœur de Toudja», au site de l’ancien souk el fellah, dans la ville éponyme. Selon les organisateurs, «cet événement s’étalera sur trois jours.
Les fortes précipitations ont causé quelques désagréments, principalement dans la ville de Bejaïa où des axes routiers et des quartiers ont été inondés, et la scolarité des élèves perturbée, à travers plusieurs établissements.
La commune de Chorfa, à l’est de Bouira, est l’une des rares au niveau de la wilaya qui ne dispose pas d’une bibliothèque communale.
Les citoyens concernés par l’opération d’expropriation dans le cadre du méga-projet minier d’extraction de zinc et de plomb de Tala Hamza-Amizour, dans la wilaya de Béjaïa, ont organisé, hier, un rassemblement au niveau de la base de la SPA, Western Mediterranean Zinc (WMZ), située sur la RN75, reliant Béjaïa à la ville d’Amizour, afin de contester les tarifs appliqués lors de la procédure d’indemnisation. Ces derniers revendiquent des prix «équitables».
Smaïl Mira, fils du chahid, a indiqué que le fondateur des maquis de la Soummam a été décoré colonel par le FLN, à titre posthume, en 1964.
Après un mois d’activités intenses à travers plusieurs localités et établissements, dans le cadre de la campagne de sensibilisation et de dépistage du mois d’Octobre rose, l’association Tudert a enregistré 74 cas suspects sur 1887 ayant effectué le test de dépistage.
Evoquant le projet de réalisation du centre anticancer d’Amizour, dont l’inauguration du service de radiothérapie devrait intervenir avant la fin de l’année, comme promis par le wali en mai au micro de la radio locale, les membres de l’association Tudert rebondissent sur un autre projet auquel ils tiennent.
Pour le traducteur du livre, Ahmed Aït Bachir, ce travail laborieux est un modeste hommage à cette grande dame, «à la famille Amrouche qui a tant donné à notre culture, mais à toutes les femmes anonymes qui ont souffert en silence».
l Organisée par l’association culturelle Asalas, en partenariat avec le Centre de recherche en langue et culture amazighes, qui prendra en charge le volet scientifique de ce salon, cette activité culturelle s’installera cinq jours durant, du 28 octobre au 1er novembre au grand bonheur des passionnés de la littérature.
Les inscriptions au semi-marathon international, prévu le 8 novembre prochain à Béjaïa, se poursuivent jusqu’au 6 novembre, selon les organisateurs, à travers le site de l’Athlétique méditerranéen club Béjaïa (AMCB). Dès l’ouverture de l’opération des inscriptions, les organisateurs, qui aspirent atteindre cette année au moins 8000 participants, ont enregistré près de 4000 inscrits.
Les services de la conservation des forêts de la wilaya de Béjaïa ont lancé la campagne de reboisement depuis la commune de Boukhlifa, à une dizaine de kilomètres à l’est de Béjaïa, une localité qui a souffert ces deux dernières années des incendies de forêt.
Le Directeur général de la Sûreté nationale (DGSN), Ali Badaoui, a procédé, hier, à l’inauguration de plusieurs structures de sûreté, dans le cadre d’une visite de travail et d’inspection à Béjaïa, une wilaya qu’il a connue alors qu’il était chef de sûreté, avant d'être promu en 2022 au grade de contrôleur général, puis nommé à la tête de l’institution policière, la DGSN.