La révision de la loi 12-04 du 12 janvier 2012 relative aux partis politiques a été aussi dictée par «la pratique et l’expérience dans l’application qui a démontré certaines insuffisances et lacunes dans ses dispositions, ainsi que la non-prise en charge de certaines situations et cas qui entravent la bonne application de ces dispositions», expliquent d’emblée les rédacteurs de ce texte.
Fin décembre dernier, le ministre des Finances, Laaziz Faid, avait affirmé que l’année 2025 sera une étape «charnière dans le processus d’approfondissement des réformes économiques et de soutien à la stabilité».
La Confédération des syndicats algériens (CSA), regroupant une multitude d’organisations syndicales de divers secteurs de la fonction publique, remet à nouveau ses revendications sur la table.
Dans une interview au Figaro Magazine, l’ancien diplomate, et un des idéologues attitrés de l’extrême droite en France, suggère ce qu’il pense être des mesures pour faire pression sur l’Algérie.
Outre les aides de l’Etat, le président de la République a évoque la révision de la fiscalité pour qu’une partie des «ressources fiscales générées par les communes servent à leur propre gestion».
Le ministère de l’Intérieur, organise, aujourd’hui et demain au Palais des Nations (Club des Pins-Alger), la rencontre Gouvernement-walis, et ce, sous le haut patronage du président de la République, Abdelmadjid Tebboune. Les participants à cette rencontre, placée sous le thème «Collectivités locales : locomotive du développement national», discuteront des mécanismes favorisant un développement local durable, des défis liés à la réalisation de la sécurité alimentaire et de la sécurité hydrique…
Pour, Me Ahmed Saï, ancien président de l’UNOA, les conséquences de cette «robotisation de la justice» sont irrattrapables. Un simple oubli de «citer la profession ou l’adresse du justiciable qui introduit un pourvoi en cassation» conduit, dit-il, à un rejet de la requête.
Une voix supplémentaire pour rappeler à la France officielle son passé colonial en Algérie. Elle intervient dans un contexte de froid glacial dans les relations entre les deux pays et de surenchère des acteurs de la droite et de l’extrême droite qui font de l’Algérie et de l’immigration algérienne leur sujet de prédilection.
L’Algérie reste sur la même ligne concernant la question de la peine capitale. Lors du vote, mardi dernier à l’ONU, d’une nouvelle résolution sur l’instauration d’un moratoire sur les exécutions de la peine capitale, les représentants algériens ont voté, comme ils l’ont déjà fait en 2022, en faveur de ce principe.
Le chef de la diplomatie souligne que «le gouvernement algérien a décidé de présenter officiellement la candidature de l’une de ses filles des plus intègres et des plus compétentes en termes d’appartenance africaine, l’ambassadrice Selma Malika Haddadi, au poste de vice-présidente de la Commission de l’UA».
Selon Abdelmadjid Tebboune, ce plan «est bon et plus qu’acceptable» et «ouvre des perspectives prometteuses pour la capitale de notre pays».
L’Algérie offre 2000 bourses d’études dans l’enseignement supérieur et 500 bourses dans la formation professionnelle aux étudiants africains.
Le chef de la diplomatie algérienne a entamé jeudi dernier une tournée dans trois capitales africaines, en l’occurrence Luanda (Angola), Kampala (Ouganda) et Bujumbura (Burundi).
Le gouvernement a entendu une communication sur l’amélioration et la modernisation des services publics relevant du secteur du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale. Objectif : modernisation des prestations de services et généralisation de la numérisation afin de lutter contre la bureaucratie.
La chute du régime en Syrie et la fuite du président Bachar Al Assad suscitent, curieusement, des divergences entre le président en exercice aux Etats-Unis, Joe Biden, et son successeur, Donald Trump, qui prendra les commandes en janvier 2025. Le premier exige des comptes au leader déchu de Damas, alors que le second estime que la Syrie est une affaire qui «ne concerne pas les USA».
Un des fondateurs du parti Baas – un mouvement panarabe qui rêvait d’instaurer la Nation arabe englobant plusieurs pays et qui a pris les commandes en Syrie depuis 1963 – le père de Bachar Al Assad, Hafez, est arrivé au pouvoir après un coup d’Etat en 1970.
Le président Tebboune a affirmé que «les entretiens qu’il a eus avec son homologue sud-africain, M. Cyril Ramaphosa, ont fait ressortir une convergence de vues entre les deux pays».
Le président sud-africain sera accompagné d’une délégation de haut niveau, dirigée par le ministre sud-africain des Relations internationales et de la Coopération, Ronald Lamola.
Le ministère des Affaires étrangères (MAE) a annoncé l’installation d’une cellule de crise pour suivre la situation en Syrie et prendre des mesures nécessaires concernant la prise en charge des Algériens vivant dans ce pays.
Première réaction officielle à la polémique née suite à l’arrestation, il y a plus de dix jours, de l’écrivain Boualem Sansal. Elle vient du président de l’Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali.