Le collectif des syndicats de l’éducation nationale, regroupant le Cnapeste, le Snapest, le CLA et Majel, monte à nouveau au créneau pour dénoncer la «gestion unilatérale du secteur», choisie par le ministère de tutelle.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, qualifie «d’ignobles» les accusations proférées, samedi dernier, par le vice-Premier ministre malien, le colonel Abdoulaye Maïga, contre l’Algérie à la tribune des Nations unies. «La région du Sahel se trouve dans une situation difficile, marquée par des troubles, la menace terroriste et la crise climatique (...). Nous sommes convaincus que notre sécurité, notre stabilité et notre prospérité dépendent aussi de celles des pays frères et voisins», a affirmé le chef de la diplomatie algérienne lors de son intervention, hier à New York, à l’occasion de la 79e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies.
Ghaza et les Territoires palestiniens occupés boucleront, dans quelques jours, une année de bombardements intensifs commis par l’armée d’occupation israélienne. Lancée au lendemain de l’opération «Déluge d’Al Aqasa» du 7 octobre 2023, l’agression israélienne s’est poursuivie sans cesse, réduisant en ruines la bande de Ghaza et faisant l’un des bilans les plus macabres de l’histoire de l’humanité, avec des milliers de morts, de blessés et de déplacés forcés.
Les ressortissants marocains voulant se rendre en Algérie doivent désormais obtenir un visa. La décision a été annoncée, jeudi dernier, par le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, précisant que la mesure de rétablir l’obligation d’obtention du visa d’entrée sur le territoire algérien pour tous les ressortissants étrangers détenteurs de passeport marocain entre en vigueur immédiatement.
Des foules de jeunes et de moins jeunes fuient les services de sécurité afin de réaliser leur rêve de gagner l’Europe, via l’île espagnole de Ceuta (appelée Sebta au Maroc). La scène n’est pas tirée d’un film sur l’émigration clandestine.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Atmane Mazouz, s’exprime à nouveau sur l’annonce d’un dialogue national ouvert faite par le président Abdelmadjid Tebboune.
La scène politique nationale est dans l’expectative. Une semaine après l’annonce du président Abdelmadjid Tebboune de sa volonté d’organiser, durant son second mandat, un «dialogue national ouvert» pour «l’édification d’une véritable démocratie», rien n’est encore décidé sur la forme, la date et les objectifs de ce chantier politique.
Le Mouvement de la société pour la paix (MSP) revient à nouveau sur la polémique autour des résultats de la dernière présidentielle. Cette formation islamiste, présidée par Abdelaali Hassani Cherfi, candidat malheureux à ce scrutin, appelle à une enquête parlementaire et à une autre judiciaire sur ce qui est qualifié de «crime ciblant la nation».
Du 14 au 29 septembre courant, les organisateurs de DzFest tenteront de faire connaître davantage le patrimoine national à travers une «célébration immersive de la culture algérienne contemporaine».
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé hier son premier engagement pour le prochain quinquennat. Il s’agit d’un engagement purement politique.
A cette occasion, comme c’est le cas en ce genre de cérémonie, Abdelmadjid Tebboune prononcera un discours dans lequel il esquissera les grandes lignes de sa stratégie pour le prochain quinquennat. Il devrait, à l’occasion, réitérer ses promesses électorales, notamment celles relatives au volet socioéconomique.
L’issue de la présidentielle du 7 septembre a été chaotique sur le volet résultats. Le scénario qui s’est produit, le jour du scrutin et durant la semaine qui a suivi, n’était prévu ou attendu même par les plus pessimistes. On ne parle pas des scores obtenus par chacun des candidats à cette joute électorale.
Un taux d’abstention non négligeable ! Selon les chiffres communiqués hier par la Cour constitutionnelle concernant le scrutin présidentiel du 7 septembre, plus de 53% des électeurs ont boudé les urnes. En effet, Omar Belhadj, président de cette Cour, annonce que le nombre des votants était de 11 226 065, soit de 46,10%. C’est encore loin de la moitié du corps électoral, qui compte un total de 24 351 551 électeurs inscrits.
Le ministère de la Défense nationale (MDN) a annoncé, jeudi dernier, l’arrestation de quatre terroristes activant dans la région du Sahel. «Dans le cadre de la lutte antiterroriste et grâce à l’exploitation efficiente de renseignements, les services de sécurité de l’Armée nationale populaire ont arrêté, au niveau du secteur militaire de Tamanrasset, en 6e Région militaire, 4 terroristes activant dans la région du Sahel. Il s’agit des terroristes Sekkouni Ibrahim, alias Taklou, Laalaoui Mohamed, alias Ouedha, El Aaloui Ahmed, alias El Khattab, et Terkzi Ahmada, alias Didi», lit-on dans un communiqué du MDN.
L’opération d’examen des recours en vue de la proclamation des résultats définitifs de la présidentielle du 7 septembre courant commence. La Cour constitutionnelle a annoncé la désignation de deux groupes de travail pour le traitement des recours déposés, mardi dernier, par les deux candidats malheureux à ce scrutin, en l’occurrence Abdelaali Hassani Cherif et Youcef Aouchiche.
Le président du MSP fait porter la responsabilité de son échec à «ceux qui ont trituré les résultats de ce scrutin».
Animant hier des conférences de presse, les candidats à la présidentielle du 7 septembre 2024 Abdelaali Hassani Cherif et Youcef Aouchiche accusent «des parties de vouloir attenter à l’élection et à l’Algérie», tout en estimant «avoir été privés de milliers de voix» par l’ANIE.
Le candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP) à la présidentielle du 7 septembre courant, Abdelaali Hassani Cherif, clôture, comme prévu, sa campagne électorale par un meeting à Alger. Après avoir sillonné, presque tout le territoire national, le président du MSP a rassemblé ses partisans au niveau de la salle Harcha, au centre de la capitale.
Le candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP) à la présidentielle du 7 septembre, Abdelaali Hassani Cherif, se montre courroucé. Raison : la réduction du volume horaire de l’éducation islamique à l’école.
Le candidat du Mouvement de la société pour la paix (MSP) s’engage «à renforcer les mécanismes incitateurs visant à créer des emplois dans les secteurs de production et tertiaires, à résorber le chômage, mais aussi à réviser le système d’allocation aux chômeurs et le système sanitaire».