Les candidats à la candidature ont l’obligation de sillonner les 58 wilayas du pays en vue de collecter, dans les délais (il reste 35 jours), le maximum de signatures individuelles d’électeurs afin d’éviter toute mauvaise surprise lors du traitement des dossiers de candidature par les experts de l’ANIE qui pourraient invalider des parrainages qui ne sont pas conformes.
De nombreux partis, même s’ils ne l’assument pas ouvertement, voient dans la prochaine présidentielle un tremplin pour les prochaines échéances où les gains électoraux sont possibles.
Jusqu’à hier, trois prétendants à la magistrature suprême ont procédé au retrait des formulaires de souscription auprès de l’ANIE. Il s’agit du président de l’ANR, Belkacem Sahli, et du président du MSP, Abdelaali Hassani Chérif. Louisa Hanoune devait le faire dans l’après-midi d’hier.
«L'élection présidentielle devrait être une première étape pour faire revivre l’esprit citoyen en votant, chacun selon sa conscience et son choix», estime Jil Jadid.
Selon une étude réalisée par une dizaine de chercheurs, rendue publique hier, «le réchauffement climatique causé par les activités humaines a atteint un rythme sans précédent et la fenêtre pour limiter à 1,5°C la hausse des températures est déjà presque fermée». Mai 2024 est, selon les études sur le climat, le 12e mois d’affilée de record mensuel de chaleur dans le monde. La température mondiale moyenne enregistrée sur terre et sur les océans était 1,52°C au-dessus de la norme d’un mois de mai dans la deuxième moitié du XIXe siècle.
Qu’est-ce qui fait courir le président du parti islamiste El Bina, Abdelkader Bengrina ? Son attitude est, en tout cas, très étrange. S’étant auto-exclu de la course à la présidentielle du 7 septembre prochain, l’homme semble chercher une orbite politique où il continuera à être plus ou moins visible, en attendant de nouvelles échéances politiques. C’est l’impression qu’il donne jusque-là. Il tente, à cet effet, toutes ses chances.
Engagé dans cette alliance depuis le 23 mai dernier, Abdelkader Bengrina a décidé, jeudi dernier, de lancer une nouvelle coalition parallèle avec 13 petits partis. C’est la goutte qui a fait déborder le vase de cette alliance, plein, visiblement, de jeux politiques malsains.
Le journaliste d’El Watan Amar Fedjkhi s’est distingué en reportant, vendredi dernier, le 1er prix de concours vert organisé par le Parc national du Djurdjura. Notre collègue dans la wilaya de Bouira a été désigné lauréat de la première édition de ce concours pour son article intitulé : «Parc national du Djurdjura (PND) : L’urgence d’un plan de sauvegarde», publié dans l’édition d’El Watan du 24 avril 2023.
Intervenant hier soir sur le plateau de la chaîne privée, El Watania TV, Abdelaziz Rahabi a insisté sur le fait que l’Algérie «n’a jamais eu un processus politique stable qui débouche sur des décisions politiques en phase avec l’évolution de la société».
N’ayant pas accepté les sorties du président du mouvement El Bina, Abdelkader Bengrina, et celle du RND qui se sont précipités pour annoncer leur soutien à la candidature du chef de l’Etat, Abdelmadjid Tebboune, le secrétaire général du FLN, Abdelkrim Benmbarek, les a critiqués sévèrement.
Les succès réalisés durant les premiers mois de l’année en cours témoignent d’une stratégie minutieusement préparée par l’appareil diplomatique algérien, qui semble libéré des contraintes qui l’ont longtemps ligoté.
L’équipe d’historiens algériens, conduite par Mohamed Lahcen Zeghidi, invite la partie française à transmettre au président Emmanuel Macron ses préoccupations en matière de restitution de biens culturels, archivistiques et autres.
Le Centre de recherche en économie appliquée pour le développement (Cread) lance un projet de recherche sur une thématique d’une extrême importance : «La rétention des compétences étrangères formées en Algérie».
Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, a insisté sur la nécessité d’aider le continent africain à affronter les problèmes l’empêchant d’avancer, tout en défendant son droit à siéger dans toutes les instances multilatérales, y compris le Conseil de sécurité de l’ONU.
L’Algérie tient à la récupération des archives et d’autres objets historiques spoliés par le colonialisme français.
La réunion a pour but d’expliquer les mesures prises, il y a quelques jours, pour faciliter l’entrée des ressortissants algériens au pays durant la période estivale et d’améliorer la prise en charge des ressortissants algériens à l’étranger.
Parallèlement à sa guerre dans la bande de Ghaza depuis le 7 octobre dernier, les forces d’occupation et les colons israéliens ont intensifié leurs attaques contre les Palestiniens et leurs biens en Cisjordanie, y compris à El Qods.
La responsable du Parti des travailleurs (PT), Louisa Hanoune, qui sera probablement la candidate du PT à ce scrutin, soutient «qu’il n’y a que les partis démocratiques qui sont en mesure de réaliser les aspirations des Algériens».
Le bilan des massacres de l’Etat hébreu est, selon le ministère palestinien de la Santé, de 35 233 martyrs et 79 141 blessés, depuis le 7 octobre 2023. Provisoire, ce bilan risque de s’alourdir encore, d’autant que l’occupant prépare une offensive terrestre dans la ville de Rafah.
Aux Etats-Unis, des étudiants de plusieurs universités, appuyés par des ONG, organisent, depuis la fin du mois d’avril dernier, des mouvements de protestation et des manifestations, ainsi que des sit-in à l’intérieur des campus, dont celui de Columbia à New York, dénonçant le génocide en cours à Ghaza.