Histoire commune, entente, coopération et consultation permanente… l’Algérie et la Tunisie continuent d’entretenir une relation bilatérale plus que fraternelle et dépassant largement le stade de bon voisinage. Cette parfaite entente s’est matérialisée, ces derniers mois, par un dense échange de visites, d’accords et un travail commun pour le développement des zones frontalières communes.
Le président de la République a affirmé que l’Algérie est «attachée au principe de droit et d’équité en ce qui concerne le dossier de la mémoire, que certains cercles extrémistes tentent de falsifier ou de reléguer au tiroir de l’oubli».
Les entretiens entre le chef de l’Etat et Younès El Menfi ont «porté sur l’état des relations bilatérales ainsi que la situation en Libye».
Selon la présidente indienne, Droupadi Murmu, les opportunités d’investissement restent ouvertes dans plusieurs secteurs, tels que l’énergie, les engrais, l’industrie pharmaceutique et les énergies renouvelables, en plus du renforcement des échanges commerciaux à l’avenir, qui s’élèvent à près de 1,9 milliard de dollars par an.
«L’Algérie et l’Inde entretiennent des relations historiques fondées sur la solidarité, l’amitié et le respect mutuel», précise le président Tebboune.
Les entretiens entre le président Tebboune et son homologue indienne devraient être axés, davantage, sur le volet économique.
Si les relations politiques entre les deux pays étaient toujours denses, les échanges commerciaux n’ont pas suivi. Selon l’ambassade de l’Inde en Algérie, les échanges entre les deux pays ont atteint un pic de 2,9 milliards de dollars en 2018, avant de chuter à 1,5 milliard de dollars en 2021.
Lors de son entrevue avec des journalistes, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, avait affirmé : «Ce qui s’est passé est une première dans les annales des élections», précisant que des «investigations approfondies sont en cours» pour déterminer les responsabilités.
Des personnalités publiques, dont la star de l’équipe nationale marocaine de football Hakim Ziyech, ont soutenu ces mouvements de protestation et ont exprimé leur désapprobation envers la politique du gouvernement.
Dominique de Villepin dénonce une tentation de faire de l’Algérie le bouc émissaire d’un certain nombre de problèmes français.
Le président Abdelmadjid Tebboune s’est exprimé, samedi, pour la première fois devant des médias nationaux depuis sa réélection pour un second mandat, le 7 septembre dernier. Il est revenu sur la relation entre Alger et Paris, qui connaît un net refroidissement depuis quelques semaines.
En France, il ne se passe pratiquement plus un jour sans que l’Algérie soit frontalement attaquée. Ces attaques, d’une grande violence et souvent tintées de racisme, émanent aussi bien de l’extrême droite que de la droite.
L’émigration irrégulière ne s’est pas estompée dans la Méditerranée. Malgré une baisse des flux vers l’Italie, des centaines de personnes continuent d’arriver en Espagne, notamment à travers le Maroc qui a connu, il y a quelques semaines, un exode spectaculaire de jeunes voulant rejoindre illégalement l’enclave de Ceuta.
Le collectif des syndicats de l’éducation nationale, regroupant le Cnapeste, le Snapest, le CLA et Majel, monte à nouveau au créneau pour dénoncer la «gestion unilatérale du secteur», choisie par le ministère de tutelle.
Le ministre des Affaires étrangères, Ahmed Attaf, qualifie «d’ignobles» les accusations proférées, samedi dernier, par le vice-Premier ministre malien, le colonel Abdoulaye Maïga, contre l’Algérie à la tribune des Nations unies. «La région du Sahel se trouve dans une situation difficile, marquée par des troubles, la menace terroriste et la crise climatique (...). Nous sommes convaincus que notre sécurité, notre stabilité et notre prospérité dépendent aussi de celles des pays frères et voisins», a affirmé le chef de la diplomatie algérienne lors de son intervention, hier à New York, à l’occasion de la 79e session ordinaire de l’Assemblée générale des Nations unies.
Ghaza et les Territoires palestiniens occupés boucleront, dans quelques jours, une année de bombardements intensifs commis par l’armée d’occupation israélienne. Lancée au lendemain de l’opération «Déluge d’Al Aqasa» du 7 octobre 2023, l’agression israélienne s’est poursuivie sans cesse, réduisant en ruines la bande de Ghaza et faisant l’un des bilans les plus macabres de l’histoire de l’humanité, avec des milliers de morts, de blessés et de déplacés forcés.
Les ressortissants marocains voulant se rendre en Algérie doivent désormais obtenir un visa. La décision a été annoncée, jeudi dernier, par le ministère des Affaires étrangères dans un communiqué, précisant que la mesure de rétablir l’obligation d’obtention du visa d’entrée sur le territoire algérien pour tous les ressortissants étrangers détenteurs de passeport marocain entre en vigueur immédiatement.
Des foules de jeunes et de moins jeunes fuient les services de sécurité afin de réaliser leur rêve de gagner l’Europe, via l’île espagnole de Ceuta (appelée Sebta au Maroc). La scène n’est pas tirée d’un film sur l’émigration clandestine.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Atmane Mazouz, s’exprime à nouveau sur l’annonce d’un dialogue national ouvert faite par le président Abdelmadjid Tebboune.
La scène politique nationale est dans l’expectative. Une semaine après l’annonce du président Abdelmadjid Tebboune de sa volonté d’organiser, durant son second mandat, un «dialogue national ouvert» pour «l’édification d’une véritable démocratie», rien n’est encore décidé sur la forme, la date et les objectifs de ce chantier politique.