Le Parti socialiste des travailleurs (PST) ne compte pas se laisser faire, après la suspension temporaire de ses activités par le Conseil d’Etat. «Une délégation de notre parti se rendra, dès la confirmation écrite de la décision du Conseil d’Etat, au ministère de l’Intérieur afin de s’informer sur les procédures à entreprendre pour la levée de cette injuste suspension», affirme la direction de cette formation politique dans un communiqué, rendu public hier.
Après les écoles, les universités et les cités universitaires, l’épidémie de Covid-19 se propage aussi dangereusement dans les universités. Des étudiants tirent en tout cas la sonnette d’alarme. Alors que le ministère de l’Enseignement supérieur garde le silence sur la situation sanitaire dans les campus, les collectifs des étudiants évoquent une «crise grave».
En tout cas, les doutes sur les intentions du pouvoir de lancer la révision de la loi sur les syndicats sont justifiés.
La décision de la direction du FFS de prendre part aux sénatoriales du 5 février prochain suscite la colère des membres de conseil national et des cadres du parti qui dénoncent «une entreprise de normalisation de cette formation politique de l’opposition».
Le gouvernement a examiné, jeudi dernier, un projet de décret exécutif fixant les modalités de mise en œuvre des attributions du wali en matière d’animation, de coordination et de contrôle des services déconcentrés de l’Etat chargés des différents secteurs d’activité dans la wilaya.
La question de la récupération des biens des oligarques, condamnés par la justice algérienne pour corruption, est revenue avec insistance ces derniers mois.
L’année démarre aussi par l’ouverture des procès de dizaines d’activistes du hirak, qui se trouvaient en détention provisoire depuis de longs mois. Le CNLD a recensé aussi plusieurs condamnations à de lourdes peines d’emprisonnement des concernés, dont le coordinateur du Mouvement démocratique et social (MDS).
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, est placé sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction près le tribunal de Hussein Dey, à Alger. La décision a été prise après son audition, hier matin, dans le cadre de l’enquête liée au «décès d’un ouvrier marocain qui effectuait des travaux dans son logement privé à Alger».
Le militant politique et ancien détenu d’opinion, Karim Tabbou, saisit le secrétaire général des Nations unies, António Guterres, sur la situation des droits de l’homme en Algérie.
Le président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, sera auditionné aujourd’hui par la juge d’instruction près le tribunal d’Hussein Dey.
Le président du rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Mohcine Belabbas, est placé sous contrôle judiciaire par le juge d’instruction près le tribunal d’Hussein Dey, à Alger.
Qualifiant ce procédé de «dérive», le PAD estime qu’il «traduit une volonté d’encamisoler la société».
Plus de 300 juristes, universitaires, hommes politiques, militants et journalistes ont signé, hier, une pétition (https://www.leslignesbougent.org/petitions/large-solidarite-5930/) pour la défense des droits constitutionnels des Algériens face à la répression. «S’organiser et se réunir sont des droits constitutionnels», «Non à la criminalisation des activités citoyennes : politiques, associatives et syndicales !» «libérez les détenus d’opinion et les journalistes !» réclament les signataires en dressant un tableau sombre de la situation des droits de l’homme en Algérie.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) semble dans le collimateur du ministère de l’Intérieur. Après avoir engagé des actions judiciaires contre l’UCP, le PST, le département de Kamel Beldjoud brandit la menace de suspension de la formation présidée par Mohcine Belabbas. Motif : l’accueil au siège du parti d’une rencontre du Front contre la répression et les libertés, tenue le 24 décembre dernier, avec la participation d’acteurs politiques de divers horizons.
L’ambassadeur d’Algérie à Paris, Mohamed Antar Daoud, reprendra, dès aujourd’hui, ses fonctions dans la capitale française, trois mois après la crise diplomatique aiguë entre les deux pays. C’est ce qu’a annoncé, hier, la présidence de la République dans un communiqué rendu public.
Inadéquation de la formation, absence de débouchés professionnels et inquiétudes pour l’avenir… Les étudiants des différents instituts de technologie à travers le pays lancent un véritable SOS.
Les signes extérieurs de richesse des fonctionnaires feront bientôt l’objet d’enquêtes d’une instance spécialisée dans la lutte contre la corruption. C’est l’une des annonces faites, hier, par le président, Abdelmadjid Tebboune, à l’occasion de la réunion du Conseil des ministres.
L’année 2021 a été marquée par deux faits diamétralement opposés, en l’occurrence l’accentuation de la répression contre les acteurs politiques et les activistes du hirak, d’un côté, et, de l’autre, la poursuite de la mise en œuvre de l’agenda du pouvoir enclenchée deux ans auparavant.