Le Syndicat national des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires (Snechu) rejette «catégoriquement» l’avant-projet des grilles des concours des enseignants chercheurs hospitalo-universitaires, concocté par le minière de tutelle.
En réaction aux déclarations du ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, relatives au départ de 1200 médecins spécialistes algériens à l’étranger, lauréats de l’examen d’aptitude, en vue d’exercer en France, le collectif des professeurs en sciences médicales estime que « la réponse» du ministre de la Santé au journaliste est «ahurissante et laisse perplexes les professionnels de santé».
Le collectif des praticiens de chirurgie générale et digestive de l’hôpital Ibn Rochd, relevant du CHU de Annaba, sont en colère contre leur direction générale. Dans une lettre adressée avant-hier au directeur général de ce CHU, Naceur Nacer, plusieurs médecins, spécialistes en chirurgie générale, vasculaire et digestive, ont annoncé une grève générale à partir du 20 février courant.
Conçu pour remédier aux déserts médicaux dans les régions isolées du pays, le service civil continue de nourrir la grogne des médecins praticiens de santé publique, lesquels réclament son abrogation. Les autorités, quant à elles, reconnaissaient les limites de ce dispositif et promettaient une révision de la loi, qui contraint les jeunes médecins, à la fin des six années de spécialisation, à exercer entre un et quatre ans dans des régions reculées du pays.
Un produit de biotechnologie compris dans le protocole de traitement, un quota de 60 000 flacons du Méthotrexate injectable 1 g, un produit de chimiothérapie en rupture depuis plusieurs mois, a été livré hier par le laboratoire suisse Sandoz.
Alors que la courbe épidémiologique de la Covid-19 connaît une décrue significative, le variant Omicron est toujours en circulation et il reste actuellement dominant dans notre pays, selon l’Institut Pasteur d’Algérie (IPA).
L’Association des distributeurs pharmaceutiques algériens (Adpha) se félicite des inspections effectuées la semaine dernière au niveau des établissements par des équipes mixtes d’inspection, regroupant les ministères de l’Industrie pharmaceutique et du Commerce, dans le cadre de la lutte contre la rétention de produits pharmaceutiques entrant dans le protocole de soins de la Covid-19.
Le ministre de la Santé a souligné que des pays comme l’Inde et l’Egypte perdent également leurs médecins au profit de l’étranger.
Le phénomène du départ de médecins algériens vers l’étranger n’est pas un fait nouveau et ne date pas d’aujourd’hui. Le problème est encore plus profond. C’est chaque année que des médecins spécialistes participent à ce concours organisé par l’organisme français et ils sont nombreux à être admis à exercer dans les hôpitaux, particulièrement en France et ailleurs.
A l’issue des dernières inspections lancées par le ministère de l’Industrie pharmaceutique dans le cadre de la lutte contre les pratiques illégales de spéculation, de rétention ou de ventes concomitantes, et en vue de garantir la disponibilité et l’approvisionnement continu des pharmacies d’officine en produits pharmaceutiques inscrits au protocole thérapeutique Covid-19, 20 mises en demeure et la fermeture de deux entreprises pharmaceutiques de distribution ont été
Avec 50 000 nouveaux cas par an de cancer toutes localisations confondues, l’Algérie peine encore à réduire cette incidence qui augmente d’année en année en l’absence d’une stratégie cohérente sur le terrain.
Malgré une baisse du nombre de cas de contamination, les hospitalisations, quant à elles, sont toujours en hausse alors que les services de réanimation enregistrent une décrue.
Le ministre de la Santé, Abderrahmane Benbouzid, entend développer une nouvelle stratégie pour la prise en charge des patients Covid-19 et non-Covid pour tenter de baisser la tension sur les services hospitaliers à forte affluence .
Plusieurs millions d’unités de médicaments employés dans le protocole de traitement thérapeutique de la Covid-19 sont prévues à la distribution, cette semaine, sur le marché national afin d’assurer la disponibilité de ces médicaments, a assuré l’Observatoire de veille sur la disponibilité des produits pharmaceutique.
Plusieurs millions d'unités de médicaments employés dans le protocole de traitement thérapeutique de la Covid-19 sont prévues à la distribution, cette semaine, sur le marché national afin d'assurer la disponibilité de ces médicaments, a assuré l'Observatoire de veille sur la disponibilité des produits pharmaceutique.
L’Inspection générale du ministère de l’Industrie pharmaceutique a constaté la rétention de 16 000 boîtes d’Enoxaparine et 250 000 boîtes de Paracétamol, pour lesquelles 15 mises en demeure ont été prononcées, selon un communiqué du ministère de l’Industrie pharmaceutique.
Conformément aux instructions du ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, et en application à la série de mesure prises, la semaine dernière, en marge de la réunion de l’Observatoire national de veille sur la disponibilité des médicaments, le programme d’inspection mis en place depuis l’été dernier concernant la mise en conformité des établissements pharmaceutiques prévu par le décret exécutif 21-82 du 23 de février 2021 portant sur les conditions d’agréments, notamment pour la distribution et qui prend effet ce mois de février se poursuit.
Alors que la vague Omicron de la Covid-19 n’a pas encore connu le déclin attendu normalement pour cette fin du mois en cours, voilà qu’un sous-variant d’Omicron, le BA-2, fait son apparition en Algérie.
Une recherche socio-anthropologique sur la «perception» de la pandémie Covid-19 a été menée à Oran. Dirigée par le sociologue Mohamed Mebtoul, l’enquête avait pour objectif la compréhension des significations profanes attribuées par les personnes de conditions sociales et culturelles diversifiées à cette pandémie. Dans l’entretien accordé à El Watan, le sociologue revient sur la campagne de vaccination, qui ne suscite pas l’enthousiasme chez une majorité de la population.
Selon l’OMS, une sortie de la pandémie pourrait se profiler en Europe. Le Dr Mohamed Yousfi, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Boufarik (Blida), estime que seuls les pays ayant atteint un taux de vaccination important sont les premiers concernés par cette probabilité de sortir de la pandémie.