Plusieurs millions d'unités de médicaments employés dans le protocole de traitement thérapeutique de la Covid-19 sont prévues à la distribution, cette semaine, sur le marché national afin d'assurer la disponibilité de ces médicaments, a assuré l'Observatoire de veille sur la disponibilité des produits pharmaceutique.
L’Inspection générale du ministère de l’Industrie pharmaceutique a constaté la rétention de 16 000 boîtes d’Enoxaparine et 250 000 boîtes de Paracétamol, pour lesquelles 15 mises en demeure ont été prononcées, selon un communiqué du ministère de l’Industrie pharmaceutique.
Conformément aux instructions du ministre de l’Industrie pharmaceutique, Lotfi Benbahmed, et en application à la série de mesure prises, la semaine dernière, en marge de la réunion de l’Observatoire national de veille sur la disponibilité des médicaments, le programme d’inspection mis en place depuis l’été dernier concernant la mise en conformité des établissements pharmaceutiques prévu par le décret exécutif 21-82 du 23 de février 2021 portant sur les conditions d’agréments, notamment pour la distribution et qui prend effet ce mois de février se poursuit.
Alors que la vague Omicron de la Covid-19 n’a pas encore connu le déclin attendu normalement pour cette fin du mois en cours, voilà qu’un sous-variant d’Omicron, le BA-2, fait son apparition en Algérie.
Une recherche socio-anthropologique sur la «perception» de la pandémie Covid-19 a été menée à Oran. Dirigée par le sociologue Mohamed Mebtoul, l’enquête avait pour objectif la compréhension des significations profanes attribuées par les personnes de conditions sociales et culturelles diversifiées à cette pandémie. Dans l’entretien accordé à El Watan, le sociologue revient sur la campagne de vaccination, qui ne suscite pas l’enthousiasme chez une majorité de la population.
Selon l’OMS, une sortie de la pandémie pourrait se profiler en Europe. Le Dr Mohamed Yousfi, chef de service des maladies infectieuses à l’hôpital de Boufarik (Blida), estime que seuls les pays ayant atteint un taux de vaccination important sont les premiers concernés par cette probabilité de sortir de la pandémie.
Pour ce spécialiste, quand une personne subit une charge virale, il faut attendre entre 3 et 6 jours pour savoir si oui ou non elle est atteinte, tout en l’isolant pendant 4 ou 5 jours.
La prise en charge des victimes de la violence a longtemps été considérée comme un problème social et judiciaire. Le rôle des médecins se limitait à la rédaction des certificats médicaux et aux soins d’urgence. Le volet psychologique est pour le moins négligé.
Plus de 6700 toxicomanes ont bénéficié d'une prise en charge médicale et thérapeutique durant le premier semestre de l'année 2021, selon un bilan de l'Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie (ONLDT), qui relève que le cannabis représente 36,17% des produits de drogues consommés.
Le taux de la population vaccinée contre la Covid-19 ne dépasse pas les 33% à l’échelle de la wilaya, et ce, en dépit de la densification de la campagne de sensibilisation et le déploiement d’importants moyens médicaux et du personnel pour rapprocher les points de vaccination du citoyen.
Le ministre de la Santé, le Pr Benbouzid, a indiqué que 20 000 lits sont mobilisés pour faire face à la pandémie de la Covid-19.
Deux millions quatre cents auto-tests pour la Covid-19 seront mis sur le marché, dont un million au cours de cette semaine. Ces auto-tests seront vendus en pharmacie à raison de 1000 l’unité et à 1500 DA pour un test sur place avec le résultat imprimé, avons -nous appris auprès du ministère de l’Industrie pharmaceutique.
L'alliance Pfizer-BioNTech a débuté le recrutement pour un essai clinique qui vise à tester, sur des adultes de 55 ans et moins, la sécurité et la réponse immunitaire de leur vaccin contre le Covid-19 qui vise spécifiquement le variant Omicron, ont annoncé mardi les deux entreprises.
L’usage abusif des antibiotiques et des anticoagulants fait craindre aux experts cliniciens et membres de l’observatoire de veille sur la disponibilité des produits pharmaceutiques des conséquences graves sur la santé des Algériens, notamment l’antibiorésistance et d’autres complications.
La commission nationale mixte tripartite – ministère de la Santé, Section ordinale des pharmaciens (SORP) et le Syndicat des pharmaciens d’officine (Snapo) – est au cœur d’un scandale qui risque d’éclabousser le département de Abderrahmane Benbouzid.
En tant que directrice des activités médicales et paramédicales de l’EH Didouche Mourad et coordinatrice de l’espace Covid, je tiens d’abord à féliciter, solennellement, l’ensemble des médecins généralistes y travaillant : médecins généralistes affectés au niveau des UMC et au niveau de l’unité Covid chirurgie ainsi que le personnel paramédical.
Le variant Omicron a aujourd’hui un petit frère, baptisé «BA.2», détecté au Danemark. Ce sous-variant est scruté de près par les scientifiques, mais il n’existe pas encore de données précises sur la gravité des cas de Covid-19 engendrés.
Certains médicaments utilisés dans le protocole sanitaire contre la Covid-19 se font de plus en plus rares dans les pharmacies de plusieurs wilayas du pays. Après les anticoagulants, tels que le Lovenox et son générique le Varinox, la tension touche désormais le Paracétamol et les antibiotiques, comme Azithromycine et Augmentin.
Un dernier bilan communiqué hier révèle 95 cas déclarés positifs, ceci sans compter les personnes atteintes et qui suivent un traitement à domicile.
Les spécialistes recommandent de revoir la stratégie d’isolement des personnes infectées et du diagnostic, notamment avec les tests antigéniques, qui seraient, contrairement au variant Delta, sensibles à l’Omicron au-delà des cinq jours après l’apparition des symptômes.