La contrebande du patrimoine culturel algérien, notamment des antiquités, a atteint des niveaux inquiétants. Ses conséquences sont incommensurables. Des pages entières de notre histoire sont en train de se perdre à tout jamais.
Les retards de développement, sans être une fatalité ou le produit d’une entreprise délibérée, peuvent simplement trouver leur explication dans la mauvaise conception des textes de loi. Même si le phénomène a manqué de visibilité, les blocages dans les assemblées élues ont eu des incidences dommageables pour la vie locale.
Avec l’augmentation du nombre de stations de dessalement de l’eau de mer, l’Algérie a définitivement retenu cette stratégie pour assurer sa sécurité hydrique. Anticiper les aléas dus aux changements climatiques, devenus réalité aujourd’hui, relève du bon sens en matière de gouvernance. Il n’est nullement concevable actuellement de se contenter de mesures conjoncturelles. L’eau se raréfie, et sans ce précieux liquide, la vie va en déclinant.
L’épisode caniculaire d’il y a une semaine, avec des pics qui ont frôlé les 40 degrés pas loin de la bande littorale, introduit précocement la saison des grandes chaleurs et le risque assorti des feux de forêt.
L'intelligence artificielle (IA) est déjà présente dans nos téléphones. L’IA, sous ses diverses déclinaisons, ne laisse personne indifférent. Notre société est touchée de plein fouet par un déferlement inédit de nouvelles technologies.
Un regain démographique est en train de s’opérer en Algérie, comparable à celui des années post-indépendance, lorsque la société retrouva le goût à la vie et l’espoir en l’avenir et qu'il fallait aussi procéder au repeuplement du pays dont la population avait souffert de la politique coloniale génocidaire.
L’expression est usée jusqu’à la corde, mais il convient de la convoquer quand l’état critique d’un secteur exige la mobilisation massive de moyens pour son redressement et sa relance. Un «Plan Marshall» pour le tourisme est une urgence aussi évidente que régulièrement, sinon soigneusement occultée.
Le mal de la bureaucratie serait-il incurable ? Ce «mille-pattes à mille têtes, dont ni pattes ni têtes ne fonctionnent d'une manière synchrone, lorsqu'elles fonctionnent», va-t-il nous poursuivre et nous narguer jusqu'à la fin des temps, tant il semble que ce phénomène bureaucratique ait pour unique fonction de «ne rien faire et de tout empêcher».
Les Russes ont leur robot conversationnel et viennent de le présenter au monde avec un aplomb non dissimulé. Baptisé GigaChat, ce logiciel génératif relié à l’intelligence artificielle (IA) se veut une réplique de performance équivalente au très fameux ChatGpt américain, qui fait l’événement depuis sa mise en circulation publique en novembre dernier et le lancement de sa version 4, la plus impressionnante, il y a un mois.
Mettre immédiatement fin à l’effusion de sang au Soudan est une urgence absolue pour la diplomatie africaine et la communauté internationale. La situation fait courir à ce pays un risque majeur d’un embrasement comparable au funeste scénario qui déchire le Yémen et la Libye. Le spectre du chaos demeure le maître ultime. L’exacerbation aiguë des violences, qui étaient déjà chroniques avec des conséquences tragiques, martyrise les Soudanais.
C’est l’un des pivots de la réforme du système de santé. La numérisation, amorcée depuis plusieurs mois, n’est ni une lubie ni une vue de l’esprit.
Bien que le football national, tel qu'il est proposé, m'indiffère, depuis belle lurette, du fait de son incroyable indigence, choqué plus que de raison, je n'ai pu résister à la tentation de commenter le triste épisode, qui a marqué la rencontre opposant l'équipe du NRB Beni Oulbane et le Widad de Zighout Youcef, évoluant en Interrégions, groupe Est, qui bataillent tous deux pour se maintenir. Mais à quel prix !!!
China will never make economically ! (La Chine ne sera jamais dotée économiquement), avait prédit Richard Nixon en 1972, alors qu'il revenait de son voyage historique à Pékin.
Rendu public, le programme de la visite du président Tebboune en France comportera, en substance, un discours à l’Assemblée nationale française, un hommage à l’Emir Abdelkader et une rencontre avec des hommes d’affaires et industriels français.
Le dessalement de l’eau de mer pour augmenter le potentiel hydrique du pays prend une portée stratégique. C’est ce qui ressort du dernier Conseil des ministres, dont une bonne partie a été consacrée aux moyens de faire face à la raréfaction de la ressource en eau.
Le mois de Ramadhan tire à sa fin non sans avoir marqué de son empreinte l’esprit du consommateur. Et comme à l’accoutumée, la survenue régulière de ce rendez-vous religieux s’accompagne malheureusement de dépassements en tous genres.
L’environnement économique international exige de l’Algérie des stratégies de développement dans lesquelles le transfert de technologie doit jouer un rôle crucial.
Contrairement à l’idée répandue sur la supposée inertie de la scène nationale, celle-ci est en vérité en train de bouger et de se transformer. Les récentes sorties du président du Conseil supérieur de la jeunesse ainsi que celui de l’Observatoire national de la société civile, de par l’incidence positive des nouveaux modes de communication mis en œuvre, démentent les a priori qui pouvaient être formulés à l’endroit de ces nouvelles structures installées l’été dernier.
Il est une phrase de Gandhi, qui survit au temps. «Un arbre qui tombe fait beaucoup de bruit, une forêt qui germe ne s'entend pas.» Partout, un monde se forme, mais l'intérêt et l'attention qu'on lui porte sont parasités par le fracas du vieux monde qui s'écroule…
Assaut mené contre la mosquée Al Aqsa, arrestations massives à Ghaza, vandalisme et expropriation, l’escalade contre le peuple palestinien, pendant ce mois sacré du Ramadhan, rallonge le bilan criminel des soldats de Tsahal et des colons juifs assurés de l’impunité qui leur est garantie par le gouvernement extrémiste de Netanyahu.