Sommes- nous à l’aube d’une nouvelle ère où de multiples facteurs géopolitiques et économiques pourraient remettre en cause l'ordre mondial jusque-là hyper-centré autour de la suprématie du pétrodollar ? Il y a vingt ans, le dollar représentait 70% des réserves de change des banques centrales à travers la planète.
L’activité informelle a toujours évolué en marge des règles de transparence. Ce jeu de l’ombre échappe à tout contrôle en vigueur dans les secteurs économiques.
Prévues dans l’amendement constitutionnel de 2016 et encadrées par le règlement intérieur de l’APN et du Conseil de la nation, les missions parlementaires d’information commencent à acquérir une certaine visibilité en attendant d’avoir une réelle incidence sur la gestion des différents secteurs de la vie nationale.
Il y a trente ans, de ce jeune homme, sans apparence particulière qui avait toqué à la vitre de sa voiture, Tahar Djaout était loin de se douter que c’était un tueur qui exécutait un contrat commandé par des individus organisés et déterminés.
Dans un contexte marqué par un accueil favorable de la Chine à l'adhésion de l'Algérie au groupe des BRICS, la coopération entre les deux pays connaît une nouvelle dynamique et une dimension inédite.
La décision d’introduire l’anglais comme langue d’enseignement à l’université dès la prochaine rentrée fait toujours débat. Si, au niveau officiel, la question semble tranchée, avec toute une batterie de mesures, ce n’est pas le cas dans les campus.
Sacrilège sur les rives du Nil. La diva de légende Oum Kalthoum, la «4e pyramide d’Egypte», décédée depuis près de 50 ans, se remet à chanter malgré elle, grâce à une reproduction vocale réalisée par recours à l’intelligence artificielle (IA).
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
La crise de logement a longtemps hanté l’esprit de tout Algérien. La concentration de la population dans les grandes villes a encouragé l’expansion de l’habitat précaire. C’est une suite logique qui découle de la centralisation de la politique de développement social et économique du pays.
Les campagnes de sensibilisation contre le gaspillage de divers produits, à commencer par l’eau, se sont multipliées ces derniers temps et ont impliqué de nombreux acteurs institutionnels et de la société civile.
Si elle a irrité les autorités algériennes, la récente résolution du Parlement européen sur la question des droits de l’homme n’a pas créé de crise majeure et les choses semblent s’estomper.
Elle y est presque. L’Afrique est aux portes du G20. Depuis une année, l’Union africaine (UA) a dévoilé son intention de postuler pour un siège au sein du plus grand forum de coopération économique.
Au vu des défis prévalant dans le secteur de la santé algérien, la question centrale reste la performance de la gouvernance du monde hospitalier.
L’Arabie Saoudite de Mohammed Ben Salmane, alias MBS, aime les devants de la scène et ne lésine pas sur les audaces pour faire parler d’elle.
De nouveaux réglages sont encore nécessaires dans certains secteurs où les événements ne sont pas appréhendés avec un niveau d’alerte adéquat en dépit des données objectives plaidant pour une prise en charge anticipée.
Le sud du pays en général et les zones frontalières en particulier connaissent un «désert» sanitaire. Cette entorse au confort du citoyen ne date pas d’hier et n’est non plus un secret pour personne.
S’exprimant sur la presse, le 3 mai dernier, le président de la République a cité Mouloud Hamrouche, rendant hommage à l’homme qui a révolutionné, durant le «printemps démocratique», fin de la décennie 1980, le monde des médias en autorisant la création d’une presse indépendante, mettant ainsi fin à l’ancienne ère d’une information gérée par le parti unique.
Une réforme structurelle des retraites s’impose comme une urgence. L’actuel projet d’amendement de la loi relative à la retraite, qui vise à rehausser le seuil minimum des pensions et des allocations de retraite, est certes nécessaire, mais peut être amélioré.
Même si l’OMS vient de lever le caractère d’urgence sanitaire, le profond désordre généré par la pandémie de Covid-19 dans le secteur économique mondial va continuer, pour un temps encore, à mettre à mal les économies régionales et nationales les plus vulnérables.
L’image la plus forte qui colle aux Etats-Unis est celle du dollar dominant le monde. Si elle est en train de s’effilocher, elle tient encore bon.