L’effort mérite d’être connu de tous. Journaliste de profession, Mohamed Kebci s’est attelé à faire le portrait des martyrs de son village, Agouni-Fourrou, aux Ouacifs (Tizi Ouzou).
Les habitants du village Tala Abdellah, dans la commune de Bouhamza, sont confrontés à une sévère crise d’eau potable, qui dure depuis plusieurs semaines. Selon des témoignages recoupés de citoyens, cette panne «sèche» serait due au colmatage de la conduite principale desservant le village.
La commune d’Ouzellaguen vient de bénéficier de l’implantation d’un équipement public, en l’occurrence une unité de la protection civile.
Des initiatives sont entreprises pour valoriser des lieux chargés d’histoire et qui demeurent méconnus du grand public.
La région d’Ath Laâziz est un haut-lieu de l’Histoire et de la résistance et qui a payé un lourd tribut pour l’indépendance du pays.
Le Cap Aokas, devenu le repère des délinquants depuis des dizaines d’années, est transformé en un espace de détente familiale par un investisseur privé, bénéficiant d’une concession et de l’aval de la wilaya.
Faute d’entretien, l’éclairage public est défaillant dans de nombreuses agglomérations urbaines.
A l’image de la plupart des communes déshéritées de l’arrière-pays, Béni Maouche est aux prises avec un exode massif de sa population, un mouvement qui semble s’amplifier au fil des ans et qui se traduit par la fermeture de nombre d’établissements scolaires.
«La salle de soins, le foyer de jeunes et l’annexe d’état civil sont fermés», se désole un villageois.
L’application stricte des arrêtés et du plan, portant prévention et lutte contre les incendies implique une meilleure coordination entre les services concernés par la campagne de prévention et de lutte pour réduire les risques d’incendie.
La direction du Parc national du Djurdjura (PND), a établi, en concertation avec les accompagnateurs des randonneurs, une charte du randonneur. La rencontre ayant eu lieu le 9 du mois courant au siège du PND, a débouché sur une série d’une quinzaine de recommandations.
Les aides publiques ont encouragé les agriculteurs à relancer leurs activités dans cette région qui renoue avec sa vocation agricole.
Le programme d’aide à l’habitat rural connaît un franc succès à Aït Yahia Moussa, commune située à 30 km au sud-ouest de Tizi Ouzou. Malgré la cherté des matériaux de construction et la nature accidentée de la région, des milliers d’habitants ont opté pour cette formule dans le but de bénéficier du soutien du Fonal et construire un logement décent.
Le tourisme va de pair avec l’artisanat. L’un ne peut pas se développer sans l’autre, estime-t-on. Comme le tourisme est réduit chez nous aux trois mois de la saison estivale, beaucoup d’artisans y voient une période idéale pour vendre leurs produits et augmenter leurs revenus. Mais cet objectif n’est pas à portée de main. A Boumerdès, l’exposition de produits artisanaux au front de mer fait partie des traditions.
Les agriculteurs engagés dans la culture de colza sont assurés que toute leur production sera écoulée, dans la mesure où une convention a été signée entre la DSA et un transformateur, lequel s’est engagé à acheter la totalité de la récolte.
Quelques jours après la fin de la saison sportive, les travaux de réhabilitation du stade du 1er Novembre de Tizi Ouzou ont commencé, la semaine dernière, au niveau de cette infrastructure où sont domiciliés les matchs, à l’intérieur, de la Jeunesse sportive de Kabylie.
Le syndicat de la formation professionnelle de la wilaya de Tizi Ouzou, affilié à l’UGTA, a décidé de solliciter le ministère de tutelle pour un «plan de relance du secteur en termes de prise en charge des établissements délabrés, le renouvellement des équipements vétustes, la prise en charge exceptionnelle des promotions des travailleurs qui n’en ont jamais bénéficié…»
Des oppositions aux projets ne sont pas levées en raison de l’insuffisance des montants d’indemnisation proposés aux propriétaires terriens.
Les moustiques ont rendu la vie insupportable à des milliers d’habitants de la wilaya de Boumerdès.
Les fosses septiques sont devenues un véritable casse-tête dans plusieurs villages de la commune de Corso.