Nous avons recensé en 2022, 373 cas de tuberculose à travers la wilaya, dont 90 cas comptabilisés au niveau des unités spécialisées de la ville de Béjaïa, selon un responsable de la DSP.
Lutter contre l’usage abusif et la dilapidation de l’eau potable. Telle est la volonté affichée par les responsables de Barbacha, une commune rurale au relief tourmenté, et où l’alimentation en eau potable laisse souvent à désirer.
La commune de Taourirt Ighil vit sous perfusion, grâce aux maigres subventions que lui verse l’Etat. Elle n’arrive même pas à couvrir les dépenses courantes de fonctionnement. Chaque exercice budgétaire est bouclé par la subvention d’équilibre.
L’APC de Souk Oufella dans la daïra de Chemini, veut céder la gestion de l’eau potable au profit de l’Algérienne des eaux (ADE). C’est ce que nous a confié un responsable de la municipalité, indiquant que ce secteur névralgique représente un lourd fardeau pour la collectivité locale.
La station d’épuration (STEP), en cours de réalisation à proximité de la ZAC de Taharacht, dans la commune d’Akbou, enregistre un taux d’avancement de près de 80%. C’est ce que nous avons appris ces derniers jours d’un responsable de l’Office national d’assainissement (ONA), l’organisme en charge du management de ce projet. «Le chantier a connu plusieurs interruptions dues à certains aléas, mais surtout à la défaillance des entreprises en charge des travaux.
Le niveau du barrage Tichy Haf, érigé en travers d’Oued Boussellam dans la commune de Bouhamza, n’a jamais été aussi bas depuis sa mise en service voilà près de 18 ans.
Des fuites fréquentes sont enregistrées à travers cette commune qui ne dispose pas de moyens adéquats pour engager des réparations.
L’opération de délimitation et de bornage du foncier par les services du cadastre progresse à un rythme très lent à Tamokra. C’est du moins le constat dressé par les responsables de cette circonscription rurale déshéritée. «L’opération a été entamée depuis près de sept ans.
Le projet de la bibliothèque d’Ighram, implanté à hauteur du centre urbain du chef-lieu de la commune, est toujours en chantier, une quinzaine d’années après son inscription. «Cet équipement public est inscrit depuis l’année 2006.
Les règles sanitaires relatives aux conditions de commercialisation de la volaille sont foulées au pied à Tazmalt. Les pratiques pernicieuses sont récurrentes au marché hebdomadaire de la ville.
Les habitants du lotissement social du centre urbain du chef-lieu communal de Taourirt Ighil, à une cinquantaine de kilomètres à l’ouest de Béjaïa, endurent des conditions de vie difficiles, en raison du non raccordement de leurs demeures au réseau électrique.
L’espace public de la ville de Sidi Aïch est livré au squat et à l’anarchie. L’activité informelle, qui semble avoir la peau dure et le souffle long, s’est accaparée tous les espaces.
La commune d’Akbou a dégagé une cagnotte de 14,26 millions de dinars pour l’allocation de la prime de solidarité au profit des nécessiteux de la circonscription, a-t-on appris auprès d’un membre du staff municipal.
Une demande sociale explosive et une contrepartie en logements au ras des pâquerettes. C’est, en substance, les termes de l’insoluble équation de l’habitat rural dans la commune d’Ait Rzine.
La vente d’eau potable, du moins présentée comme telle, a pris un essor sans précédent au cours de ces dernières années dans la vallée de la Soummam. A l’évidence, le filon fait de plus en plus d’émule. Les vendeurs d’eau ont conquis toutes les localités.
La biodiversité fait face à mille périls dans la vallée de la Soummam. La richesse faunistique et floristique s’appauvrit à vue d’œil. Les atteintes sont multiples et multiformes.
La commune de Mcisna traîne un déficit important en matière d’assainissement. De l’aveu-même de l’administrateur communal, le retard est d’une telle ampleur qu’il nécessitera de gros efforts financiers pour le résorber.
La polyclinique d’El Kseur, sise à hauteur du chef-lieu de la commune, est submergée par le flux des patients, en quête de soins.
Le transport public de voyageurs se pose avec acuité dans la commune de Bouhamza. A telle enseigne que rejoindre une ville de la vallée de la Soummam comme Akbou ou Seddouk, à partir du chef lieu de la commune, relève bien souvent de la croix et la bannière.
La RN26 qui, déjà en temps normal, a souvent du mal à absorber le flux pendulaire, s’est retrouvée congestionnée de bout en bout depuis le début de cet été, qui a vu un afflux massif d’estivants.