En ce mois allant du 18 avril au 18 mai, consacré à la célébration du Mois du patrimoine, nous avons saisi l’opportunité d’une escale de notre compatriote, le Pr Bouchenaki Mounir, haut cadre au sein de l’Unesco, afin de nous informer sur ce qui se prépare et les actions menées par l’Unesco, pour mieux protéger les sites et monuments culturels à travers le monde, sans pour autant éviter de lui poser la question relative à la situation du patrimoine culturel dans notre pays. Des informations enrichissantes. Pr Mounir Bouchenaki : «2022, nous célébrons le cinquantenaire de la convention de 1972».
Le dernier samedi du mois de mars 2022 avait eu lieu à la grande salle de réunion du siège de l’APC de Hadjout un événement culturel et historique destiné d’abord à mieux connaître la tribu des Hadjoutes et ensuite à mettre en relief ses révoltes.
Un opérateur algérien du secteur de l’agro-alimentaire veut rester dans l’anonymat. Il nous délègue l’un de ses employés pour nous dévoiler son action ramadhanesque qui se déroule lors de chaque mois de Ramadhan, depuis 2019. «Nous agissons depuis trois ans seuls. Nous avons rencontré des difficultés avec d’autres associations et organismes qui sont venus se greffer à notre action de solidarité», explique-t-il. «Les familles nécessiteuses ont besoin d’un acte efficace de solidarité, au lieu d’autres choses, et j’ai pris alors la décision d’agir seul», déclare notre interlocuteur.
A l’occasion du 63e anniversaire de la bataille de Djebel Thameur, le wali Boucetta Aboubakr Essedik s’est rendu à Cherchell, lundi dernier pour rendre visite au moudjahid Abdou Braham, dit Si Larbi, le chef du commando Djamel, âgé de 91 ans.
On ne se lasse pas du temps passé avec un compatriote de la trempe de. Ahcène Djaballah Belkacem (A.D. Belkacem, ndlr), universitaire, journaliste indépendant, auteur, ayant occupé les hautes fonctions dans les institutions de l’Etat.
C’est au niveau de la bibliothèque du musée Parc à mosaïques de Cherchell, en présence d’une faible assistance que le Dr Yamna Behiri avait animé une instructive conférence qui s’est articulée sur deux thèmes, en l’occurrence le 19 mars 1962 et la présentation de son troisième ouvrage inhérent à l’urbanisme et l’architecture des Andalous et des Ottomans dans sa ville natale.
Dans le cadre de la célébration de la journée du 19 mars, l’association culturelle Age d’Or, en partenariat avec la librairie TPA, a décidé d’organiser une conférence sur la lutte de la tribu des Hadjoutes le 22 mars à partir de 14h dans la grande salle au siège de l’APC de l’ex-Marengo.
La wilaya de Tipasa compte deux caravansérails sur son territoire, à Cherchell et à Koléa. Il s’agit de deux infrastructures construites au XVIe siècle par les Ottomans.
Le 15 mars 1962 à Ben Aknoun, l’écrivain algérien Mouloud Féraoun était assassiné par un commando de l’OAS (Organisation de l’armée secrète), un groupe composé de criminels français extrémistes contre l’Indépendance de l’Algérie.
Mes recherches dans les archives m’avaient permises de relever que l’urbanisme à Cherchell est totalement différent de celui que j’avais noté ailleurs en Algérie, nous dit-elle, plus grave encore, ils ont détruit des anciennes habitations pittoresques, un patrimoine urbanistique avec sa beauté architecturale, érigé entre le XVe siècle et le XIXe siècles qui malheureusement font l’objet des agressions à présent à Cherchell, sachant que la colonisation française, ajoute-t-elle, avait fait déjà disparaître plusieurs quartiers dès sa violente invasion dans le pays et à Cherchell en particulier», indique notre interlocutrice. Le débat est lancé.
Le wali de Tipasa, Aboubakr Esseddik Boucetta, semble avoir fait le pari de lever les entraves qui bloquent l’investissement et la production au niveau de sa wilaya. Les responsables des deux unités de production, l’une de médicaments et l’autre de biscuits, implantées à Oued Bellah, après avoir été reçus au bureau du chef de l’exécutif de la wilaya, ont été ainsi surpris de le voir débarquer chez eux de façon inopinée. Le but du wali de Tipasa était visiblement de s’enquérir personnellement de la situation de ces entreprises et de voir en quoi il pouvait les aider à s’épanouir. Ces deux usines sont opérationnelles depuis plus de deux décennies.
Il n’avait pas tort quand le défunt vice-président de l’APC de Koléa, Cheikh Slimane Annani, alors inspecteur général de l’Education nationale, quand il avait décidé, le 7 mars 1974, de céder une école primaire désaffectée située au centre-ville à l’association musicale Dar El Gharnatia dirigée par le défunt président Bellouti, un mélomane et éducateur dynamique.
En recevant cinq investisseurs dans l’aquaculture le jeudi dernier (24/02/2022, ndlr), afin de leur remettre les décisions d’autorisation pour exercer leurs activités, le chef de l’exécutif de la wilaya s’est interrogé sur l’insignifiant nombre des opérateurs dans la filière du secteur des ressources halieutiques, qui avaient déposé leurs dossiers depuis 2017.
L’écrivain Sari Mohamed dont la notoriété dépasse nos frontières, de retour du Caire, sirotait son thé, seul sur la terrasse d’un café. Il affiche sa disponibilité pour répondre à nos questions, avant de reprendre sa route vers à Alger. Le célèbre romancier et traducteur (français, arabe, tamazight) aime se ressourcer chez lui, à Cherchell. Sans détour, il n’a pas hésité à «débiter» ses vérités sans filtre, ses sentiments, toujours avec son léger sourire.
Footballeurs et dirigeants du MSC (Mouloudia sportif cherchellois) sont tous tombés au champ d’honneur, entre 1956 et 1960. Fait rare dans l’histoire d’un club sportif. Les Chouhada du MSC oubliés, sont évoqués rarement. Les responsables locaux de l’ONM (Organisation nationale des moudjahidine) ignorent totalement l’authentique histoire de ces jeunes Algériens qui se sont sacrifiés pour l’Indépendance de leur pays.
L’Association Fort de Cherchell, présidée par le médecin orthopédiste, Dr Rachid Bellahcène, qui se compose essentiellement d’un effectif mixte d’universitaires, scientifiques et chercheurs, soutenue par d’autres associations locales, avait saisi (dernier courrier, ndlr) la direction de la culture et des arts de la wilaya de Tipasa le 9 septembre 2020, dossier à l’appui, exhortant le secteur d’étudier la situation de Dar Errachidia, un patrimoine architectural, culturel et historique au passé extrêmement riche.
Dans la perspective d’une éventuelle tenue du sommet des pays de la ligue arabe à Alger, en ce premier trimestre 2022, déjà reporté officiellement à une date ultérieure, sans aucun doute, les responsables de la wilaya de Tipasa sont déjà harcelés par le gouvernement pour se préparer l’environnement culturel à cet important événement politique.
L’artiste peintre de la nature, Eugène Deshayes est né à l’hôpital Mustapha Bacha (Alger) le 12 juillet 1862. Décédé, le dimanche 26 novembre 1939, a été enterré comme il l’avait souhaité, au cimetière chrétien de Tipasa.
La création d’une zone d’activité dédiée à l’aquaculture s’est avérée un projet «mort-né». En effet, le gouvernement a mis en place un organisme public qui gère le foncier situé le long du domaine public maritime (DPM).
D’emblée, l’auteur Lacène-Zouaoui Khellil-El-Berkani tenait à rappeler que son travail de recherches anthropologiques effectués au niveau du territoire qui s’étend de Hadjout jusqu’à Hadjret-Ennous, en transitant par Beni-Menasser et Sidi-Sémiane, n’est point achevé.