Les inspections successives du chef de l’exécutif de la wilaya, Boucetta Aboubakr Essedik, dans toutes les APC, ont le mérite de dévoiler le désastre dans les parcs automobiles des communes de sa wilaya, tellement les élus locaux et les commis locaux de l’Etat continuent à gérer les affaires publiques locales dans l’opacité.
Dans l’après-midi du 1er février 2013, toute la ville de Miliana avait été endeuillée par le drame qui avait coûté la vie à ses enfants, tous athlètes du VCM (Vélo Club de Miliana), qui devaient prendre part au 1er Grand prix de Benchâabane dans la commune de Benkhellil (Blida).
La wilaya de Tipasa s’attelle à mettre de l’ordre, depuis une année, dans la situation de ces espaces dédiés aux activités économiques. En réalité, ce bout du territoire du bassin méditerranéen avait été éclaboussé par moult scandales.
La technologie au service du patrimoine archéologique.
En demandant des nouvelles de son père, «il a été enterré au début du mois de décembre dernier», me répond l’une des filles de Si Ahmed Ferrah.
Le wali de Tipasa, Boucetta Aboubakr Essedik, comme il l’avait promis, s’est rendu seul trois jours après sa première inspection surprise dans les écoles primaires des zones rurales.
La malfaçon dans les travaux de réalisation des réseaux d’assainissement au niveau des équipements érigés dans les centres urbains et la prolifération monstrueuse, y compris dans les zones rurales grâce à la complicité des élus locaux et des fonctionnaires des affaires publiques locales, s’ajoute en plus l’absence étrange d’inspection et des contrôles des services techniques locaux.
Depuis 2016, les walis de Tipasa avaient refusé la signature de l’octroi des autorisations de forage agricole aux exploitants agricoles, en dépit de la souffrance du secteur.
Durant l’année 2022, la wilaya de Tipasa, selon les services des ressources en eau, avait enregistré en théorie 5600 fuites dans les réseaux d’AEP (alimentation en eau potable), dont 4000 fuites avaient été traitées.
La maison de la culture Dr. Ahmed Aroua de Koléa (Tipasa) a abrité le lundi dernier, un évènement culturel.
Les gestionnaires du Groupe Saidal avaient été instruits et mis en garde contre toutes formes de défaillances par le ministre de l’Industrie pharmaceutique, Ali Aoun. L’échec n’est plus permis pour le Groupe Saidal.
Perchée sur les hauteurs au milieu des montagnes, la commune de Hammam Righa offre déjà un air pur, pour permettre à ses visiteurs de s’oxygéner sans risquer la pollution. Les constructions ont transformé le centre urbain de Hammam Righa.
L’AIA (Algerian Intelligence Artificiel) aura son 1er centre de calcul en Algérie.
Il faut que les élites algériennes se mobilisent pour contrer le danger obscurantiste qui est présent du sein de notre société. La société algérienne s’enfonce de plus en plus dans un obscurantisme inquiétant, seule la culture en général demeure le véritable rempart contre l’archaïsme et l’obscurantisme. Notre pays est riche culturellement, il devra s’ouvrir à toute l’humanité», nous dira l’artiste peintre Bakhti Abderrahmane.
Walid Ettouil, puisqu’il s’agit de lui, demeure finalement l’unique Algérien qui avait été retenu, après avoir subi des tests rigoureux de sélection, pour figurer parmi l’équipe qui a été chargée de gérer et d’encadrer le travail et les éléments impliqués dans la mission artistique et technique de la cérémonie d’ouverture officielle du CHAN, au magnifique stade Nelson Mandela de Baraki (Alger).
Pour s’ouvrir vers de nouveaux horizons, le CFPA de Meurad (Hadjout), situé le long de la route qui mène vers Hammam Righa (Aïn Defla), devait élaborer une stratégie qui répond aux préoccupations locales de sa région.
Cette agglomération rurale avait été érigée au bord de la route reliant Hadjout à Nador, à une dizaine de kilomètres du chef-lieu de la wilaya de Tipasa.
L’Ecorep (Entreprise de construction et de réparation navale des équipements de pêche) a rompu son partenariat avec l’opérateur français Piriou, qui aura duré de 2015 jusqu’à 2022.
Quels sont les services actifs de notre société ?
Chérif Aberkane, président du conseil de surveillance du Groupe Remelec, discret à Bouharoun, lors de la livraison du 1er remorqueur construit par les techniciens de d’Ecorep.