L’idée de l’introduction de l’Intelligence artificielle (IA) a jailli lors de l’une des journées d’étude, inscrite dans le programme de la célébration du mois du mois du patrimoine 2022, (18 avril -18 mai, ndlr), initiée par l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de la conservation et la restauration des biens culturels) à Tipasa.
L’idée a vu le jour lors de l’une des journées d’étude organisées par l’Ecole nationale supérieure de conservation et restauration des biens culturels (ENSCRBC) de Tipasa à l’occasion de la célébration du Mois de patrimoine.
La Journée nationale du musée (18 mai, ndlr) aura été une opportunité pour mettre un coup de projecteur sur un monument historique inédit, un musée qui illustre le génie et la solidarité des Algériens au XIXe siècle. Il s’agit de la manufacture d’armes de l’Emir Abdelkader, un site qui relève de l’OGEBC (Office national de gestion et d’exploitation des biens culturels).
A l’issue de son intervention lors de cette journée d’étude à l’ENSCRBC de Tipasa, le professeur et chercheur Youcef Chennaoui, trop pris par son emploi du temps, a bien voulu répondre exceptionnellement à nos questions.
Le Professeur Chennaoui Youcef, directeur de recherches à l’EPAU (Ecole polytechnique d’architecture et d’urbanisme) d’Alger, directeur du projet PPMVSA (Plan permanent de mise en valeur et de sauvegarde des sites archéologiques) de Tipasa, avait participé à une journée d’étude organisée par le Professeur Hamza Mohamed Chérif, directeur de l’ENSCRBC (École nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) de Tipasa le 12 mai, l’un des événements culturels et scientifiques inscrit au programme de la célébration du mois du patrimoine.
L’association Cercle de l’âge d’or de Hadjout célèbre le 60e anniversaire de la section universitaire et la jeunesse algérienne locale, en organisant quelques activités sportives et culturelles dans l’ex-Marengo.
L’une des principales causes de l’arrêt de la SDEM (station de dessalement de l’eau de mer) de Fouka (Tipasa) est la pollution de la mer.
Les principales localités de la wilaya sont parsemées des patrimoines cultuels, malheureusement inexploités, pourtant ils sont une source de revenus.
L’Ecole nationale supérieure de la conservation et restauration des biens culturels (ENSCRBC) à Tipasa a organisé deux conférences le jeudi 12 mai à partir de 9h.
Une banale information publiée dans le site Oued Kniss fait part de la mise en vente aux enchères de l’entreprise EATT Spa, sise à Cherchell, qui s’est tenue le 10 mai à 13h30 au tribunal de Cherchell.
Il était en effet question, lors de la journée d’étude des scientifiques, de pollution, de l’énergie propre et enfin des matériels vitaux pour l’entretien des équipements des SDEM. Autant de thèmes abordés pour élaborer une vision stratégique qui rentre dans de le cadre de la sécurité hydrique nationale.
En effet, pour les SDEM qui sont énergivores, il est impératif qu’elles soient alimentées au moins avec 30% en énergies propres. Une SDEM comme celle de Fouka, il lui faut 22 mégawatts.
Ces 20 dernières années, nous avons relevé que les données communiquées par le ministère des Ressources hydriques sont pratiquement erronées, elles évoluent à chaque fois, nous ne savons plus sur quel pied danser.
L’association musicale Dar El Gharnatia de Koléa fête son cinquantenaire. Un demi-siècle d’existence vient d’être immortalisé dans un ouvrage de 600 pages. L’initiative est louable. L’association Dar El Gharnatia de Koléa s’est imposée à l’échelle nationale.
«Les influences de l’Espagne musulmane sur les habits de la ville d’Alger à l’époque ottomane», tel est le thème de la conférence animée par la Pr Benmesbah Malika, au niveau de l’ENSCRBC, à Tipasa. Une manifestation purement culturelle inscrite dans le cadre de l’animation de la célébration du mois du patrimoine.
Le directeur de l’ENSCRBC (Ecole nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels) dissimulait difficilement son stress à cause de son perfectionnisme dans son travail. C’est sa nature. En collaboration avec ses enseignants et ses étudiants, le Pr. Hamza Mohamed Chérif, qui a mis en place tout le programme de la manifestation culturelle de ce mois du patrimoine, observe discrètement les stands de l’exposition en ce 1er jour du mois du patrimoine. Nous avons saisi ce moment, pour lui poser des questions sur le fonctionnement et les perspectives de son école, ses préoccupations. L’emploi est au cœur de ses objectifs, le programme pédagogique est mis à niveau.
C’est un monument historique au passé incroyablement riche, se trouvant à 110 km de la capitale, Alger, qui est aujourd’hui livré au vandalisme, abandonné. Il n’y aucune plaque indicative pour cette ferme de Stigès érigée durant l’ère coloniale à la sortie ouest de la localité côtière de Messelmoune, wilaya de Tipasa.
L’Ecole nationale supérieure de conservation et de restauration des biens culturels (ENSCRBC), qui se trouve à l’intérieur du siège du «mort-né » CAA (Centre arabe d’archéologie) à Tipasa, a saisi l’opportunité de la célébration du mois du patrimoine.
De retour au pays pour vivre quelques jours du mois de Ramadhan en famille, l’expert en Data centers, qui avait exercé dans un laboratoire de recherches chez Yahoo, en supervisant une équipe de chercheurs au laboratoire, à la Silicon Valley (USA). Actuellement, il est responsable chez Intel, toujours à la Silicon Valley. Dr Bouache Mourad sillonne les wilayas à la rencontre des étudiants, pour les motiver, en dépit d’un climat morose et d’un environnement qui n’encourage pas à aider les étudiants à aller de l’avant. Il avait initié depuis les dernières années un programme destiné à soutenir et accompagner ses jeunes compatriotes, gracieusement, les étudiants doués pour l’informatique. Son projet s’intitule «La caravane de l’intelligence artificielle». Des génies en I.A avaient été détectés dans des wilayas par les chercheurs et experts algériens établis à la Silicon Valley. Spontanément, bien que son emploi du temps soit chargé, l’expert en I. A, Dr Mourad s’est montré disponible, en ces moments furtifs, durant le mois de jeûne, pour répondre à nos questions.
Smail Chanâa est un fonctionnaire retraité, un ancien cadre de la DRAG de Tipasa, qui ne fait pas de bruit, hélas, n’est pas sollicité par les médias. Persévérant et patient,il a réussi à se frayer un chemin dans l’univers de l’art, avec ses chatoyantes aquarelles, ses toiles et la qualité de ses œuvres.