L'Algérie consent des investissements massifs dans l’industrie pétrochimique qui offre des perspectives prometteuses. L’objectif est de faire de cette filière un pilier industriel stratégique, explicitant une ambition d’assurer une valeur ajoutée.
Le 7e art algérien vient de briller grâce à un nouveau long métrage qui a réussi un véritable succès. Projeté en avant-première, la semaine dernière à l’Opéra d’Alger, le film Larbi Ben M'hidi est un des plus grands succès du cinéma algérien qui a réussi à attirer une foule impressionnante avide de connaître son histoire.
Le Forum des pays exportateurs de gaz (GECF) vient de parapher la «Déclaration d’Alger» adoptée à l’issue du 7e Sommet de cette organisation qui prône une régulation équitable et vertueuse du marché international du gaz, un plaidoyer déjà formulé lors du précédent Sommet qui s’est tenu, il y a deux ans, à Doha.
Sur fond d’une confluence de tensions géopolitiques, notamment depuis l’éclatement du conflit armé en Ukraine, l’Europe se tourne vers l’Afrique pour sécuriser une partie de ses approvisionnements en énergie.
Que serait l’Afrique si ses différents pays arrivaient à concrétiser leur intégration économique et à se fédérer autour de projets économiques concrets ? Jusque-là, les pays africains s’orientaient principalement vers l’étranger et très peu vers leur voisinage immédiat. Entamé timidement dans les années 1960, le vaste et long chantier de l’intégration du continent s’accélère désormais.
Le secteur de l’Éducation nationale est aux prises avec de nombreux défis, au centre desquels figure le besoin de prendre le virage de la qualité. Maintenant que les salaires et les statuts des enseignants ont été revalorisés, il serait utile de lancer un débat pour toucher l’essentiel, à savoir instaurer un modèle de gouvernance qualitative de la profession enseignante, qui tient un rôle prépondérant.
La capitale ougandaise, Kampala, vient d’accueillir deux événements géopolitiques réunissant les pays du Sud Global : le 19e Sommet du Mouvement des non-alignés (MNA) et le 3e Sommet du Sud du G77 +Chine.
Après les produits manufacturés, le BTP, le secteur des mines et le rail, c’est au tour de l’industrie automobile chinoise de jeter son dévolu sur l'Algérie, où de plus en plus de voitures chinoises circulent dans les rues.
L'année 2024 s’annonce potentiellement tumultueuse, avec notamment une cruciale élection présidentielle aux Etats-Unis, attendue en novembre, et ses diverses implications géopolitiques, surtout sur les rivalités et les tensions sino-américaines.
En entamant son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité des Nations unies, l’Algérie renoue avec son rôle diplomatique au sein des Nations unies. C'est la quatrième fois que l'Algérie occupe un siège non permanent au Conseil de sécurité. Le tout premier mandat a été entamé en 1968.
L’Algérie commence, en ce début de 2024, son mandat en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’ONU. Ce mandat onusien de deux ans intervient dans un contexte marqué par une communauté internationale montrant au grand jour son impuissance à régler les conflits, avec des Nations unies en déclin d’influence.
L’année 2023 a été marquée par des événements économiques majeurs sur fond de clivages entre les grandes puissances que sont les Etats-Unis, la Chine et la Russie.
En Algérie, de grandes entreprises privées, en quête permanente de performance, montrent l’exemple à suivre en appliquant des règles managériales fondées sur des sondages auprès de leurs clients pour mesurer le niveau de leur satisfaction concernant les prestations assurées.
A quoi servira la 28e édition de la Conférence sur les dérèglements climatiques qui vient de se tenir à Dubaï sous l’égide de l’ONU ? Quelle utilité ont ces grandes rencontres sur l’urgence climatique qui se déroulent chaque année depuis 1995 ? La COP28 s’est soldée par un nouveau projet d’accord signé par près de 200 pays.
La conférence sur le climat (COP28) qu’organise l'ONU à Dubaï, qui a vu un nombre record de 80 000 participants issus de 198 pays, a mis en lumière une guerre énergétique autour du climat. Il y a d’un côté les partisans d’une sortie des énergies fossiles et les opposants à une telle mesure, les deux camps se livrant à une guerre pour des raisons économiques.
Le soleil est l’avenir de l’Algérie : des investissements massifs sont annoncés pour la production d'énergies renouvelables. Alors que la production actuelle ne dépasse pas les 511 mégawatts d’énergie renouvelable, le programme national vise à atteindre 15 000 mégawatts d’électricité verte à l’horizon 2035.
Face à la forte concurrence de la Chine qui s’impose comme le premier partenaire économique de l'Afrique depuis une décennie, les Etats-Unis veulent augmenter leurs investissements sur le continent africain.
La filière agricole bio dispose d’un grand potentiel et fait face à d’immenses défis en Algérie, tant pour l’exportation que pour le marché domestique.
Les agriculteurs sont de plus en plus confrontés aux pénuries d’eau dues à la sécheresse. Comment développer une agriculture résiliente au dérèglement climatique qui permet, à la fois, d’assurer l’autosuffisance alimentaire et la préservation de la biodiversité ?
Le 1er Novembre 1954 est une date majeure de l’histoire contemporaine nationale. Une grande date qui marque le déclenchement de la Guerre de Libération nationale et la cause primordiale du projet national, républicain pour une Algérie souveraine et plurielle.