L’actuelle intensification de la coopération sino-algérienne intervient dans une conjoncture historique.
De nombreux pays à travers les quatre coins du monde cherchent à s’inspirer des fondamentaux à l’origine du succès du modèle économique allemand. Alger a abrité récemment une intéressante conférence sur l'écosystème des start-up en Allemagne et en Algérie, organisée par la Fondation Konrad Adenauer, en partenariat avec le Cercle d’action et de réflexion pour l’entreprise (CARE).
L’annonce par le président sénégalais, Macky Sall, de ne pas se présenter pour un troisième mandat à l’élection présidentielle du 25 février 2024 est un fait historique sur le continent africain.
La conjoncture géopolitique internationale, marquée par des besoins de plus en plus accrus en matières premières, place le secteur des minerais et des métaux dans une position névralgique. Les ressources minières dont dispose l’Algérie sont ipso facto un atout et un levier hyper-stratégique.
Censées être un des piliers de l’ordre institutionnel, les communes se voient actuellement confrontées à de nombreux défis en Algérie. L’importance des critères d’efficacité de gestion et la complexité croissante des politiques publiques placent ces collectivités territoriales face à des enjeux de gouvernance multiniveaux.
Avec l’inquiétant dérèglement climatique, le risque d’inondations gagne en intensité en Algérie comme partout à travers la planète.
Sommes- nous à l’aube d’une nouvelle ère où de multiples facteurs géopolitiques et économiques pourraient remettre en cause l'ordre mondial jusque-là hyper-centré autour de la suprématie du pétrodollar ? Il y a vingt ans, le dollar représentait 70% des réserves de change des banques centrales à travers la planète.
Dans un contexte marqué par un accueil favorable de la Chine à l'adhésion de l'Algérie au groupe des BRICS, la coopération entre les deux pays connaît une nouvelle dynamique et une dimension inédite.
Si la nécessité de placer la qualité de l’enseignement supérieur au centre des défis fait l’unanimité en Algérie, il reste la question cruciale de savoir comment y parvenir.
Au vu des défis prévalant dans le secteur de la santé algérien, la question centrale reste la performance de la gouvernance du monde hospitalier.
Une réforme structurelle des retraites s’impose comme une urgence. L’actuel projet d’amendement de la loi relative à la retraite, qui vise à rehausser le seuil minimum des pensions et des allocations de retraite, est certes nécessaire, mais peut être amélioré.
L'intelligence artificielle (IA) est déjà présente dans nos téléphones. L’IA, sous ses diverses déclinaisons, ne laisse personne indifférent. Notre société est touchée de plein fouet par un déferlement inédit de nouvelles technologies.
La Société Somiz, une filiale de Sonatrach basée à Arzew, spécialisée dans l’ingénierie de la maintenance et la rénovation des installations industrielles, est un illustre exemple de réussite en matière de transfert de technologie au profit des entreprises algériennes.
Mettre immédiatement fin à l’effusion de sang au Soudan est une urgence absolue pour la diplomatie africaine et la communauté internationale. La situation fait courir à ce pays un risque majeur d’un embrasement comparable au funeste scénario qui déchire le Yémen et la Libye. Le spectre du chaos demeure le maître ultime. L’exacerbation aiguë des violences, qui étaient déjà chroniques avec des conséquences tragiques, martyrise les Soudanais.
La ressource en eau douce se tarit. En cause, des épisodes de sécheresse croissants couplés à une augmentation démographique. En guise de solution, Oran place de grands espoirs sur l’entrée en service de la station de dessalement d’eau de mer de Cap Blanc, attendue en 2024.
L’environnement économique international exige de l’Algérie des stratégies de développement dans lesquelles le transfert de technologie doit jouer un rôle crucial.
La revue, éditée par le Centre de recherche en anthropologie sociale et culturelle (CRASC) d’Oran, Insaniyat, est arrivée à la tête d’un classement sur OpenEdition en 2022, en comptabilisant 162 130 visites.
L’Algérie, l’Arabie Saoudite, les Emirats arabes unis, l’Irak, Oman et le Koweït ont annoncé, ce début avril, une deuxième réduction de leur production de pétrole à titre de «précaution pour stabiliser le marché». Après cette annonce, les prix du Brent ont retrouvé une santé en remontant de plus de 5% à près de 84 dollars le baril.
En proie à une dure crise économique, la Tunisie a-t-elle comme unique voie le recours au FMI ? De prime abord, il faut dire que c’est aux Tunisiens et à eux seuls de choisir les solutions adéquates à cette crise. Ce pays nord-africain voisin a un potentiel de résilience inestimable.
L’Algérie est le 13e pays qui a officiellement demandé à rejoindre le groupe des BRICS, suite à la décision de ce quintet, composé du Brésil, la Russie, l’Inde, la Chine et de l’Afrique du Sud, d’autoriser l’entrée à de nouveaux membres.