A cause des tensions qui affectent le marché mondial des céréales, conséquence du conflit armé en Ukraine, l’Algérie se retrouve une nouvelle fois face au défi de développer sa production céréalière pour assurer son autosuffisance.
Le service pédagogique de l’établissement hospitalo-universitaire 1er novembre d’Oran porte désormais le nom du défunt Pr Mohamed Mansouri, figure marquante de la gestion hospitalière, décédé en juillet dernier à l’âge de 64 ans, des suites de complications de la Covid.
Il y a de quoi être dubitatif, après le sommet qui a réuni la semaine dernière, à Bruxelles, les dirigeants de l’Union européenne (UE) et de l’Union africaine (UA). Ce fut un rendez-vous intercontinental qui n’a pas tenu sa promesse de «poser les fondations d’un partenariat rénové sur des bases équitables».
Que faire face à la sécheresse qui met particulièrement sous pression l’agriculture algérienne ? Faut-il céder à la facilité en recourant aux extractions effrénées des eaux souterraines, ou faut-il au contraire opter pour une solution durable en favorisant les systèmes d’irrigation agricole économes en eau ?
Le match entre dans le cadre de la 12e journée du championnat national Une dames seniors. Les deux équipes évoluent dans le groupe centre-Ouest. L’USPA a raflé la mise par 3 sets à 0 arrachant ainsi les trois précieux points lui permettant de figurer parmi les premiers au classement.
L’actualité est rythmée par l’accélération de l’érosion du pouvoir d’achat des Algériennes et des Algériens. Face à cette situation intenable, il est certes nécessaire de prendre des mesures sociales pour soutenir conjoncturellement le segment alimentaire, mais il est tout aussi urgent de régler structurellement la question de l’explosion des dépenses de santé, qui ne cessent de saigner les ménages à revenus modestes.
La pénurie d’eau constitue un problème majeur en Algérie. Le pays endure, ces dernières années, un sévère stress hydrique imputable à un sérieux manque de précipitations. Les climatologues ne cessent d’alerter que le nord de l’Algérie, au même titre que le littoral méditerranéen, est fragilisé par le réchauffement, qui entraînera des périodes de sécheresse plus longues et des épisodes climatiques extrêmes.
Une refondation équitable et équilibrée du partenariat entre l’Europe et l’Afrique est-elle possible ? Cette question aura-t-elle une réponse lors du sommet qui réunira, les 17 et 18 février courant à Bruxelles, les dirigeants de l’Union européenne et de l’Union africaine ? Parmi les principaux points prévus à l’ordre du jour de ce sommet, figurent «le financement de la croissance, les systèmes de santé et production de vaccins, l’agriculture et développement durable, l’éducation, la migration, la mobilité, la gouvernance, le soutien au secteur privé, le changement climatique et la transition énergétique».
Les prix du gaz se sont envolés de plus de 170%, depuis une année, sur le marché international. Selon les analystes, les cours du pétrole et du gaz devraient se maintenir à des prix élevés, dans les 5 années à venir. Au moment où l’Europe occidentale fait face à des pénuries de gaz, ce renchérissement des prix constitue une très bonne nouvelle pour l’Algérie qui doit profiter de cet âge d’or du gaz.
L’actualité est rythmée par l’hyperinflation qui a gagné les prix des produits de consommation de base, accentuant les difficultés des catégories sociales vulnérables.
Les participants au séminaire sur la modernisation du système de santé, qui vient de se tenir à Alger, ont, entre autres, recommandé «l’amélioration de la contractualisation des structures de soins avec les caisses d’assurance».
Le séminaire sur la modernisation du système de santé, qui vient de se tenir à Alger, a permis de raviver le débat institutionnel sur la nécessité de «réformer globalement et profondément» ce secteur névralgique. Parmi les axes de réflexion figurent, notamment, la gouvernance, le financement et la refonte de la formation médicale.
Sur le plan international, ce début d’année commence par une interrogation : l’accord d’association qui lie l’Algérie et l’Union européenne sera-t-il révisé cette année ? L’accord qui inclut la fameuse zone de libre-échange est particulièrement défavorable pour l’Algérie qui souhaite l’amender.
Sur le plan international, ce début d’année commence par une interrogation : l’accord d’association qui lie l’Algérie et l’Union européenne sera-t-il révisé cette année ? L’accord qui inclut la fameuse zone de libre-échange est particulièrement défavorable pour l’Algérie qui souhaite l’amender.