L’Algérie fait face à un immense défi : comment promouvoir une agriculture durable et respectueuse des ressources naturelles et être capable également de nourrir sainement une population croissante.
Comment nourrir suffisamment et surtout sainement les Algériens ? La politique agricole algérienne fait face à un immense défi : être à la fois capable de nourrir une population croissante et encourager des pratiques saines pour préserver la santé publique et l’environnement.
L'Algérie et l’Afrique du Sud confortent leur position géostratégique comme tandem pivot au sein de l'Union africaine. L’Algérie veut rejoindre l'Afrique du Sud en adhérant à l'organisation supranationale des pays émergents, dite Brics.
Une polémique s’est déclenchée suite à la décision qui consacre l’enseignement de deux langues étrangères dès la 3e année primaire dans l’école publique. Le ministère de l’Éducation nationale a lancé un pavé dans la mare en introduisant, dans la précipitation la plus surprenante, l’enseignement de l’anglais dès la 3e année de l’école primaire, en même temps que l’enseignement du français.
Face aux tensions qui affectent le marché mondial des céréales, conséquence du conflit armé en Ukraine, l’Algérie se retrouve une nouvelle fois face au défi de développer sa production céréalière pour assurer l’autosuffisance.
La rupture des stocks de médicaments vitaux est, certes, un vieux problème récurrent qui dure depuis plusieurs décennies en Algérie, mais ces dernières années, ce fléau a pris des proportions alarmantes. Ces ruptures de stocks concernent autant les médicaments importés que ceux produits localement.
Aux Jeux méditerranéens d'Oran, le prodigieux exploit des femmes algériennes est historique. Du jamais-vu !
Comment allier l’organisation de grands événements sportifs et le développement durable ? Voilà un défi plus que jamais d’actualité qui a été débattu lors d’une intéressante conférence intitulée «l’économie du sport et ses impacts pour le développement durable» organisée, dimanche dernier, à Oran, à l’occasion de la 19e édition des Jeux méditerranéens.
L’organisation à Oran de la 19e édition des Jeux méditerranéens est une occasion pour débattre autour d’une question fondamentale : au-delà de l’aspect factuel, comment allier l’organisation de tels événements sportifs de grande ampleur et le développement durable ? Voilà un défi plus que jamais d'actualité.
L’actualité économique algérienne est rythmée par des mesures visant à améliorer l’environnement de l’investissement, mais aussi par les incessantes tentatives de sauvetage du secteur public marchand.
Plus de 700 000 candidats passent actuellement les épreuves du baccalauréat en Algérie.
Le Centre des conventions d’Oran abrite, depuis hier, la 33e conférence de l’Union générale des assureurs arabes (General Arab Insurance Federation - GAIF).
Une autre année scolaire touche à sa fin avec les mêmes constats à répétition depuis de nombreuses années. Trente ans après le triste constat établi par le défunt président de la République Mohamed Boudiaf, déplorant que «l’école algérienne est sinistrée», qu’est-ce qui a vraiment changé ?
L’Afrique fait face à présent à un grand défi sanitaire. La pandémie de Covid-19 a montré l’importance de produire localement des vaccins et des médicaments vitaux.
La nouvelle réforme contenue dans le projet d’amendement du code de l’investissement constitue une avancée indéniable visant à permettre à la fois d’assurer l’attractivité du pays pour l’implantation des entreprises étrangères et débureaucratiser l’acte d’investir pour se mettre au diapason des pratiques internationales en la matière.
L’actuel avant-projet de réforme de la loi relative à l’investissement prône «la liberté d’initiative» et promet surtout de «débureaucratiser» l’investissement.
La pandémie de Covid-19 a-t-elle pris fin ? «Non, la pandémie n’est pas finie. La quatrième vague qu’on a vécue est certes finie, car nous n’avons quasiment pas eu de cas Covid-19 depuis deux mois, mais ce ne sera qu’à partir du moment où l’OMS déclare la fin de la pandémie, qu’on pourra dire que cette dernière est terminée, car les variants du virus circulent toujours. Nous sommes sur la bonne voie, mais il faut être vigilant.»
Dans cet entretien accordé à El Watan en marge du congrès qui se tient à Oran, le Dr Mohamed Yousfi, président de la Société algérienne d’infectiologie, préfère rester prudent quant à la fin de la pandémie de Covid-19. «La pandémie n’est pas finie», a-t-il alerté tout en appelant à tirer les leçons de la dure épreuve liée à la Covid-19.
Les ruptures de stocks de médicaments vitaux sont, certes, un vieux problème récurrent qui dure depuis plusieurs décennies en Algérie, mais ces dernières années, ce fléau a pris des proportions alarmantes.
En tournée en Algérie, organisée par l’ONCI (Office national de l’information et de la culture), Lounis Aït Menguellet, éternel poète et chanteur compositeur engagé, a fait un triomphe, jeudi soir, dans une salle archicomble à Oran.