Bonne nouvelle. Les jeunes bénéficiaires des Dispositifs d’aide à l’insertion professionnelle et sociale (DAIP et DAIS) pourront bénéficier d’une intégration définitive. Une déclaration qui devrait mettre fin à de longues années d’attente caractérisées par des élans de colère et de manifestation.
Alors que la période des devoirs a commencé dans les trois paliers de l’éducation, le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste) préconise un retour à la grève. Le boycott administratif reste aussi de mise.
Les prix des produits alimentaires, allant de la pomme de terre jusqu’à la viande, féculents et produits agroalimentaires, flambent. Les taxes imposées dans le cadre de la loi de finances 2022 contribuaient fortement à cette hausse vertigineuse qui pousse vers le fond le pouvoir d’achat des familles algériennes. Est-ce l’unique raison ? Selon les experts du marché, la réponse est négative. Les mandataires, premiers intervenants après les agriculteurs, dénoncent l’absence de stratégie d’approvisionnement du marché et surtout le manque de moyens de régulation.
Même si les spécialistes de la météorologie refusent de parler de sécheresse, le manque de pluie cet hiver est visible. A part quelques averses éparses, il n’a pratiquement pas plu depuis le mois de décembre. Conséquence directe : un taux de remplissage des barrages assez faible. Pour affronter le stress hydrique, des solutions sont engagées dans le cadre d’un plan d’action : il s’agit de la réalisation de forages et de stations de dessalement d’eau de mer.
Une semaine après la reprise scolaire, la situation dans les écoles reste inquiétante : taux d’absentéisme élevé chez les élèves et les enseignants, manque de moyens humains et matériels pour l’application du protocole sanitaire.
Les échos que nous avons eus disent que tout est normal, malgré la présence de contaminations. C’est vrai qu’il y a des malades, mais cela reste pas très inquiétant pour l’avancement des programmes. Ceci à condition d’avoir une commission nationale pédagogique pour élaborer un plan de rattrapage.
Touchés de plein fouet par les retombées de la crise économique et l’érosion du pouvoir d’achat, les syndicats du secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique revendiquent à l’unisson de meilleures conditions de travail.
Après près de 17 jours de confinement, plus de dix millions d’élèves ont repris le chemin de l’école dans une atmosphère de peur d’être contaminés par la Covid-19. Des conditions d’hygiène approximatives et beaucoup d’absences ont caractérisé cette reprise scolaire marquée par la décision de reporter les examens.
Même s’il est encore tôt pour en parler, la sécheresse pointe son nez en cette saison d’hiver.
C’est officiel, dès demain, les 11 millions d’élèves reprendront le chemin de l’école. La décision a été annoncée ce jeudi dans un communiqué du Premier ministère.
Les parents d’élèves ont saisi le ministère de l’Education nationale sur les retombées du boycott administratif lancé par le Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste).
L’Organisation des parents d’élèves demande le maintien de deux trimestres seulement et la révision à la baisse, si nécessaire, des moyennes de passage entre les différents niveaux scolaires. De leur côté, les inspecteurs de l’éducation proposent plutôt un décalage des dates des compositions...
A mon propre avis, il y a un grand écart entre la communauté éducative et la tutelle. Cela signifie que les décisions prises dans la haute sphère du secteur sont loin du terrain.
La suspension des cours dans les trois cycles d’enseignement (primaire, moyen et secondaire) a été prolongée d’une semaine, à compter d’aujourd’hui, en raison de la pandémie de Covid-19. L’arrêt brusque peut, selon les pédagogues, accentuer le décrochage des élèves…
Sur décision présidentielle, le confinement partiel touchant les établissements scolaires est reconduit pour une durée d’une semaine encore. Une interruption des cours supplémentaire qui rend la mission de rattrapage du retard difficile.
Les syndicats dénoncent l’absence d’opération de désinfection et le manque de moyens humains et matériels.
Le ministre de la Santé, le Pr Benbouzid, a indiqué que 20 000 lits sont mobilisés pour faire face à la pandémie de la Covid-19.
Pour alléger le poids du cartable, notamment dans le cycle primaire, le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, a annoncé la généralisation des tablettes dès la rentrée scolaire 2022-2023.
Crise sanitaire oblige, plus de 10 millions d’élèves ont été renvoyés chez eux à quelques jours de la préparation des devoirs et des évaluations continues. Une décision surprise qui aura un fort impact sur la scolarité des enfants.
Il faut le dire, avec la Covid-19, il n’y a que des impacts négatifs. Il y a eu une semaine avant les vacances, plus ces dix jours, sans compter la diminution du volume horaire des matières. Le malheur est que rien n’est prévu ou réfléchi pour combler le manque d’instruction des élèves.