Le juriste n’est pas un sapeur-pompier qui intervient lors de contentieux. Il est un facilitateur d’affaire et un business partenaire qui évite à l’entreprise, qu’elle soit morale ou physique, d’aller «droit dans le mur», c’est le maître-mot sur lequel se sont entendu les participants à la 2e édition du Legal business forum & awards.
Quelle est la place du juriste aujourd’hui en Algérie ?
En stress hydrique depuis quelques années déjà, la raréfaction de la ressource en eau en Algérie se fait sentir de plus en plus. Les wilayas du centre et de l’ouest du pays, celles de l’Est un peu moins, en sont les plus touchées. Avec un taux de remplissage très minime et la hausse des températures, la situation risque de s’empirer.
Le ministre de l’Education nationale, Abdelhakim Belabed, ne cesse de rassurer quant à la bonne préparation de la prochaine rentrée scolaire au titre de l’année 2022-2023. «Toutes les dispositions liées à la prochaine rentrée scolaire ont été prises pour accueillir environ 11 millions d’élèves dans les meilleures conditions.
-Avec le retour à un système d’enseignement classique et une nouvelle matière au primaire, comment se présente la rentrée scolaire 2022-2023 ? La rentrée scolaire 2022-2023 survient après une phase de crise sanitaire très difficile imposée par la pandémie de Covid-19 qui a duré près de 3 ans. Nous avons vécu une situation très dure qui a chamboulé tout le système sociopsychologique et sanitaire de la société. L’école n’était pas à l’abri. Justement, cette crise a imposé la fermeture des établissements d’enseignement pour une période de 8 mois et le recours à un système d’enseignement par alternance. Sur cette base, le Cnapeste estime que l’année scolaire 2022-2023 sera tout aussi extraordinaire.
Dans une optique d’aller vers une numérisation de l’administration et de l’économie en Algérie, plus de 60 intervenants dans le monde du numérique et du e-commerce se donnent rendez-vous pour la fin de ce mois de septembre pour le premier Salon du e-commerce et des services en ligne. «Les Salons autours du monde numérique existent en Algérie.
Le ministère de l’Éducation est passé à la vitesse supérieure pour permettre l’introduction de l’anglais en 3e année primaire dès cette rentrée scolaire.
Les villes les plus touchées sont Alger, Boumerdès, Jijel, la région sud de la wilaya de Béjaïa, El Tarf, Annaba, Tizi Ouzou et Skikda. Avec un niveau de vigilance orange, les température prévues oscillent entre 40° et 42° Celsius.
Depuis quelques jours, les prix de la sardine ont baissé. Une situation qui s’explique, entre autres, par l’abondance de l’offre.
La rentrée scolaire au titre de l’année 2022-2023 est finalement programmée pour le 21 septembre. C’est lors du Conseil des ministres, tenu dimanche, que cette date a été annoncée.
Lors du dernier Conseil des ministres, le président de la République a donné des instructions afin d’assurer une bonne préparation pour entamer l’enseignement de l’anglais aux classes de 3e année primaire dès cette année scolaire. Même si le premier responsable du secteur de l’Education rassure quant à la prise de toutes les mesures pour relever ce défi, les craintes, notamment des pédagogues, sont là...
L’idée est excellente. Personne ne peut la contester. Toutefois, elle mérite d’être prise avec plus de sérieux et de rigueur. En fait, il y a un grand souci par rapport au moment de l’introduction de cette nouvelle langue.
Face à cette flambée des prix, les associations de protection du consommateur ont tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises depuis le début de ce mois d’août. Ils avaient justement prédit cette hausse fulgurante des prix des articles scolaires qui dépasse par endroits les 150%.
Cette hausse était prévisible. Nous suivons ce dossier depuis le début de cette année 2022. Il faut savoir qu’il y avait des retards de livraison des autorisations d’importation des articles scolaires. Il y a une dizaine de produits soumis à l’autorisation préalable dont justement les affaires scolaires.
Plusieurs zones d’ombre entourent la prochaine rentrée scolaire : absence d’une date fixe pour la reprise, maintien ou pas du plan d’enseignement par alternance, moyens mis en place pour l’introduction de la langue anglaise au cycle primaire...
C’est encore l’hécatombe sur les routes en Algérie. Quatre personnes ont trouvé la mort et 37 autres ont été blessées dans un accident, survenu hier à Tiaret. Les bilans des différents intervenants dans cette hécatombe donnent froid dans le dos.
Pour la troisième année consécutive, la moyenne de réussite au baccalauréat a été revue à la baisse. Argumentée par l’impact de la pandémie sur la scolarité des élèves, cette décision plonge les nouveaux bacheliers et leurs parents dans un tunnel sans fin à la recherche de la bonne spécialité universitaire.
C’est la délivrance pour plus de 700 000 candidats au baccalauréat session juin 2022. Les résultats ont été enfin dévoilés, hier, en fin d’après-midi, avec un taux de réussite national de 58,75% et un passage à l’université avec 9,5/20 de moyenne. Malgré cela, il est plus bas que celui de l’année précédente, où le taux de réussite était de 61%.
Il est vrai que l’année scolaire était difficile. Elle a été perturbée à plusieurs reprises, notamment par les différentes vagues de la Covid-19. La rentrée a été retardée d’un mois, en plus des vacances avancées et prolongées et le confinement des classes, puis la maladie qui a touché et les élèves et le corps pédagogique et administratif. Il est vrai aussi que ces candidats ont assisté aux trois années de la pandémie avec une première année secondaire où ils n’ont étudié pratiquement que deux trimestres et une 2e année secondaire avec deux trimestres très perturbés. Toutefois, tout cela n’est pas une excuse pour une diminution de la moyenne.
Les corrections des épreuves du baccalauréat étant terminées, les résultats ne tarderont plus à être connus. Ils sont tous à l’annexe de l’Office national des examens et concours (ONEC) de Kouba (Alger).