Les Etats-Unis et les Philippines ont entamé lundi leurs manœuvres navales conjointes annuelles, a rapporté hier l’AFP. Plus d’un millier de marins prennent part à ces manœuvres, au large de la capitale Manille et au sud de Luzon, principale île des Philippines, qui comportent des exercices de lutte anti-sous-marine, entre bâtiments de surface et des exercices de guerre électronique.
Une délégation de responsables d’Arabie Saoudite, à sa tête Nayef Al Sudaïri, récemment nommé ambassadeur du royaume pour les Territoires palestiniens, est arrivée hier à Jéricho, en Cisjordanie occupée. C’est ce qu’a indiqué Yousra Sweiti, gouverneure par intérim de la ville, citée par l’AFP.
Le président américain organise, aujourd’hui et mardi, le deuxième «Sommet des Etats-Unis et du Forum des îles du Pacifique», à Washington.
L’Ethiopie a annoncé hier avoir entamé une deuxième série de négociations avec l’Egypte et le Soudan au sujet du méga-barrage controversé construit par Addis- Abeba sur le Nil, rapporte l’AFP. Projet qui a alimenté des tensions depuis plus d’une décennie entre les trois pays.
Pékin a déclaré que ses troupes sont en «alerte maximale» après le passage dans le détroit de Taïwan de deux navires appartenant aux Etats-Unis et au Canada au début du mois.
Pour Kim, ce Sommet avec V. Poutine constitue une autre aubaine pour le renforcement des relations russo-nord-coréennes, affirmant qu’il fera des liens avec la Russie la «priorité absolue» de sa diplomatie.
En août dernier, le Premier ministre israélien Benyamin Netanyahu a remercié les autorités saoudiennes de leur «attitude chaleureuse» à l’égard de passagers israéliens après l’atterrissage forcé à Jeddah dans l’ouest du royaume d’un avion reliant les Seychelles à Tel-Aviv.
L’Egypte considère ce mégabarrage comme une menace existentielle, car elle dépend du Nil pour 97% de ses besoins en eau et irrigue 60% de ses terres agricoles, un secteur qui emploie 31% de sa main-d’œuvre. En trente ans, les précipitations ont chuté de 22% dans le pays, selon la Banque mondiale.
La Russie et la Turquie s’opposent sur moult questions. Conscients de leurs différends et de leurs intérêts communs, les deux parviennent à trouver des compromis servant les intérêts des deux parties. Ainsi, la question des exportations des céréales ukrainiennes se présente encore comme une épreuve à la capacité de la diplomatie des deux pays à harmoniser leurs voix.
Le nouvel homme fort du Gabon, le général Brice Oligui Nguema, prêtera serment ce lundi, comme président d’un pouvoir de «transition» à la durée encore indéterminée. Entre temps, l’opposition a exhorté les putschistes à reconnaître plutôt la «victoire» de son candidat à la présidentielle. Mercredi dernier, des officiers de la Garde républicaine (GR) ont proclamé «la fin du régime» de la dynastie des Bongo au pouvoir depuis 1967, moins d’une heure après l’annonce de la réélection du chef de l’Etat, Ali Bongo, à la présidentielle de samedi qu’ils estimaient truquée.
Quelques heures après le putsch, un des acteurs du coup d’Etat militaire, le général Brice Oligui Nguema ,a déclaré que le président Bongo a été «mis en retraite» et «jouit de tous ses droits».
En mai 2017, N. Modi a dévoilé, à l’occasion d’une réunion de la Banque africaine de développement (BAD) qui s’est tenue à Ahmedabad, en Inde, un autre projet de route commerciale : le «Corridor de la croissance Asie-Afrique», surnommé la «Route de la liberté», pour concurrencer le projet chinois «la route de la soie».
Le Président en exercice, Ali Bongo Ondimba, convoite un troisième mandat face à Albert Ondo Ossa. Président depuis 14 ans, il a été élu une première fois en 2009 après la mort de son père, Omar Bongo Ondimba, qui dirigeait le pays depuis plus de 41 ans.
Depuis quelques années, de nombreux pays et leurs multinationales, utilisant la devise états-uniennes dans les transactions internationales, font face à l’extraterritorialité du droit américain. En effet, Washington se sert de plus en plus du dollar comme d'une «arme géopolitique» au profit de leur politique.
Les exercices chinois interviennent une journée après la tenue à Camp David, près de Washington, d’un sommet tripartite Etats-Unis, Japon, Corée du Sud pour faire front commun face aux ambitions de Pékin dans la région de l’Asie-Pacifique.
La région de l’Asie- Pacifique constitue un champ de lutte entre les Etats-Unis et ses alliés régionaux d’une part et la Russie et la Chine de l’autre.
Tokyo et Séoul partagent les mêmes préoccupations face à la Corée du Nord et la Chine. Comme ils sont alignés sur Washington pour dénoncer l’offensive russe en Ukraine. «Le Japon et la Corée du Sud sont des alliés clés, pas seulement dans la région mais dans le monde entier», a estimé Antony Blinken.
L’armée nord-coréenne doit disposer d’une «force militaire écrasante» et être «prête à faire face à n’importe quelle guerre à n’importe quel moment», a déclaré Kim Jong Un, affirmant qu’elle doit «anéantir» l’ennemi en cas d’attaque.
Pour Pékin, «la cause première des tensions dans le détroit de Taïwan, c’est la tentative des autorités taiwanaises de s’appuyer sur les Etats-Unis pour obtenir l’indépendance et l’insistance des Etats-Unis à utiliser Taïwan pour endiguer la Chine».
Les pays d’Afrique de l’Ouest ont reporté vendredi une réunion prévue hier sur le déploiement d’une force d’intervention pour rétablir le président Mohamed Bazoum renversé par un coup d’Etat au Niger. Prévue à Accra, cette réunion a été renvoyée sine die pour «des raisons techniques», selon des sources militaires régionales, selon l’AFP.