La Corée du Nord a fustigé hier l’accord conclu entre la Corée du Sud et les Etats-Unis pour renforcer la dissuasion nucléaire, affirmant qu’il ne peut conduire qu’à «un plus grave danger».
L’opposition républicaine, qui domine une des deux Chambres du Congrès, a promis de ne pas faire de «chèque en blanc» à Kiev. En outre, sa campagne pourrait être ébranlée par les attaques contre son fils Hunter, dont d’anciennes relations d’affaires risquent de resurgir.
Les deux dirigeants signeront plusieurs documents, notamment sur la coopération économique russo-chinoise à l’horizon 2030.
Le président chinois, Xi Jinping, se rendra à Moscou la semaine prochaine pour y rencontrer son homologue russe, Vladimir Poutine. Pékin, qui a renforcé ses liens avec Moscou ces dernières années dans une opposition commune à l’Occident, se présente comme partie neutre dans le conflit en Ukraine.
Le Premier ministre israélien, Yaïr Lapid, était attendu hier à Berlin, nouvelle étape de son offensive pour tenter de convaincre les puissances occidentales de ne pas renouveler l’accord sur le programme nucléaire de l’Iran, rapporte l’AFP.
Berlin, Paris et Londres ont exprimé hier leurs «sérieux doutes» sur «l’engagement» de Téhéran à parvenir à un «résultat positif» dans les négociations en cours pour sauver l’accord de 2015 sur le nucléaire iranien, rapporte l’AFP, citant les trois chancelleries. «Début août, après un an et demi de négociations, le coordinateur» de l'accord «a présenté un ensemble de textes finaux devant permettre à l’Iran de remplir à nouveau ses obligations au titre du pacte» et «aux États-Unis de revenir à l’accord», ont rappelé les gouvernements des trois pays dans un communiqué commun.
L’Iran entend boucler des dossiers dans ses négociations avec les grandes puissances pour rétablir l’accord sur le nucléaire de 2015, torpillé trois ans plus tard par l’ancien président américain, Donald Trump.
L’Algérie a appelé hier en recevant l’émissaire de l’Onu, Staffan de Mistura, pour le Sahara occidental à des «négociations directes» entre le Maroc et le Front Polisario, pour parvenir à un règlement du conflit, rapporte l’APS citant la diplomatie algérienne.
Quelque 15 millions de Chiliens ont été appelés hier aux urnes pour approuver ou rejeter le nouveau texte qui doit remplacer la Constitution actuelle rédigée sous la dictature de Augusto Pinochet (1973-1990).
Dans le cadre de sa deuxième tournée dans la région, l’émissaire de l’ONU pour le Sahara occidental, Staffan de Mistura, a rencontré hier des représentants du Front Polisario à Tindouf (Algérie), rapporte l’AFP citant des sources sahraouies.
Gorbatchev finit par éprouver de la désillusion quand, déstabilisé par la crise économique, il se rend auprès des dirigeants occidentaux réunis à Londres du 15 au 17 juillet 1991 (G7) et sollicite le soutien financier, mais n’obtient aucun engagement concret.
Relancer l’accord sur le nucléaire n’aurait «pas de sens» sans la clôture de l’enquête de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) sur les sites non déclarés de l’Iran.
La huitième Conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad 8) a débuté hier à Tunis. Une vingtaine de dirigeants africains (chefs d’Etat ou Premiers ministres) ont assisté à cette rencontre de deux jours, selon l’AFP citant des sources tunisiennes, comme 5000 personnes sont conviées à un forum d’entrepreneurs et à des conférences.
Le Premier ministre israélien Yaïr Lapid a exhorté les puissances occidentales à «cesser» de négocier avec l’Iran l’accord sur le nucléaire.
Le bilan de l’attaque de vendredi de l’hôtel Hayat de Mogadiscio par des islamistes shebab, qui a duré 30 heures, s’est alourdi à 21 civils tués, a annoncé hier le ministre somalien de la Santé, Ali Haji Adan, cité par l’AFP. «Le ministère de la Santé a confirmé à ce stade (le bilan de) 21 morts et 117 blessés» dans l’attaque de l’hôtel Hayat dans la capitale somalienne, qui a débuté vendredi soir, a-t-il déclaré.
Succès Masra, un opposant à la junte au pouvoir au Tchad, a appelé hier, jour de l’ouverture du dialogue, à «la résistance pour la justice et l’égalité». Wakit Tamma, une coalition de partis de l’opposition et de membres de la société civile, a refusé de participer au dialogue, accusant la junte de perpétuer des «violations des droits humains» et de préparer une candidature à la présidentielle du général Déby.
En février 1986, Paris déclenche l’opération «Epervier»pour venir en aide au président Hissène Habré. En décembre 1990, Hissène Habré est chassé du pouvoir par Idriss Déby, son ancien proche collaborateur. Ce dernier devient président de la République en février de l’année suivante.
En 1949, la Turquie est le premier pays musulman à reconnaître Israël. Elle constitue un allié régional de l’Etat hébreu. En février 1996, les deux pays ont signé un accord sur la coopération militaire et technique. Il est suivi, en décembre de la même année, par la conclusion d’un accord de libre-échange.
Selon des sources locales, la détention par un groupe armé d’un combattant appartenant à l’autre camp serait l’élément déclencheur des affrontements qui ont touché plusieurs quartiers de la ville.
L’Iran a accusé hier les Etats-Unis d’attiser les tensions au Moyen-Orient, au lendemain des propos du président américain, Joe Biden, qui a achevé la veille une tournée dans la région. Washington, «en essayant de créer des tensions dans la région a une fois de plus recouru à la politique de l’iranophobie et c’est raté», a réagi le porte-parole iranien des Affaires étrangères, Nasser Kanani, dans un communiqué cité par l’AFP.