Pour des raisons multiples, des présidents américains n’ont pas fait de second mandat.
Le président de la Cour constitutionnelle a annoncé que les dossiers de trois candidats ont été acceptés en vue des élections présidentielles prévues pour le 7 septembre prochain.
Les partis politiques saisissent l’opportunité offerte par l’élection présidentielle du 7 septembre pour battre le rappel de leurs troupes et tenter de gagner en visibilité sur la scène politique nationale.
Le calendrier électoral tunisien, conçu par l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE), prévoit le scrutin présidentiel pour l’automne 2024, comme initialement prévu depuis les élections de 2019. Le président Kaïs Saïed n’a par ailleurs cessé de rappeler l’importance du retour régulier au peuple pour entendre sa voix, notamment dans pareils rendez-vous électoraux qu’il insiste à respecter.
Retour sur la «présidentielle écourtée». Pour en savoir plus, il faudra attendre, peut-être, que le chef de l’Etat l’évoque lors d’un événement public, un Conseil des ministres ou un entretien avec les médias. La dépêche de l’agence officielle APS qui lui a été consacrée n’a pas apporté les éléments de réponse attendus, car se limitant à des généralités, parfois mal formulées.
Soufiane Djilali, président du parti politique Jil Jadid, a été invité hier à s’exprimer, lors d’une émission de la Radio algérienne Chaîne 3, où il a abordé l’annonce de l’élection anticipée prévue pour le 7 septembre.
La décision d’organiser des élections présidentielles anticipées suscite une multitude de réactions, notamment sur les réseaux sociaux, où chacun tente de lui donner une interprétation politique.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pris tout le monde de court en annonçant l’organisation de l’élection présidentielle le 7 septembre prochain, trois mois avant la date prévue.
En France, les réseaux sociaux et certains médias avançaient plutôt l’idée d’un report du scrutin présidentiel de décembre prochain. L’annonce au contraire d’une élection anticipée en septembre a donc surpris. Signe patent : peu de médias ont pris le temps d’une analyse à chaud de l’annonce faite jeudi soir.
Le débat autour de la prochaine présidentielle s’animera, sans doute, davantage après le mois de Ramadhan.
Samedi, Donald Trump a remporté les élections internes du Parti républicain dans trois nouveaux États américains, à savoir le Missouri, le Michigan et l’Idaho, selon les médias, consolidant ainsi sa position pour l'investiture présidentielle de novembre.
Zoubida Assoul insiste sur l’impératif de mettre en place un Etat de droit, basé sur le principe fondamental qui est la séparation des pouvoirs. «On ne peut construire une démocratie, si nous n’avons pas un principe fondamental qui est la séparation des pouvoirs et la réalisation d’un équilibre entre eux», soutient-elle.
Le Parti des travailleurs (PT) milite pour la réunion de toutes les conditions afin que le prochain scrutin se déroule dans les meilleures conditions.
L’Assemblée nationale sénégalaise a adopté, dans la nuit de lundi à hier, une proposition de loi visant à repousser la présidentielle au 15 décembre 2024. Ce qui consacre le maintien du président Macky Sall probablement jusqu’en 2025. Cette mesure est qualifiée par l’opposition de «coup d’Etat constitutionnel», selon l’AFP.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a tenu hier, à Alger, la quatrième session ordinaire de son conseil national. Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour de cette réunion, à savoir l’examen de la situation politique générale suivi de débats (à huis clos) sur l’élection présidentielle de 2024, l’évaluation de la situation organique du parti ainsi que les divers.
L’opposition aux Comores a réclamé, hier, l’«annulation» de la présidentielle et dénoncé «une fraude grossière», au lendemain de l’annonce de la victoire au premier tour du sortant Azali Assoumani, alors que les forces de l’ordre sont déployées après des tensions dans la capitale.
Le candidat Lai Ching-te a remporté hier l’élection présidentielle à Taïwan, selon les résultats officiels quasi définitifs, rapporte l’AFP. Vice-président sortant, Lai Ching-te, du Parti démocrate progressiste (DPP), il a obtenu 40,2% des voix, selon ces résultats portant sur 98% des bureaux de vote. Après son élection, il a promis de «protéger Taïwan des menaces et intimidations de la Chine».
Donald Trump a une nouvelle fois transformé jeudi son procès civil pour fraudes financières en tribune politique, dénonçant une «ingérence électorale» qui serait «orchestrée» par «l’escroc Joe Biden», à quatre jours du début des primaires républicaine dont il est le grand favori.
La Commission électorale nationale indépendante (Ceni) en République démocratique du Congo (RDC) a indiqué que le président sortant, Félix Tshisekedi, a remporté l’élection présidentielle avec 82,6% des voix, selon les résultats préliminaires, a rapporté hier l’APS.
Les principaux candidats de l’opposition à la présidentielle en République démocratique du Congo (RDC) ont dénoncé le «chaos» et les «irrégularités» constatés selon eux dans l’élection organisée hier, rapporte l’AFP. «C’est un chaos total, il n’y a pas d’organisation», a déclaré Martin Fayulu devant la presse après avoir voté dans un bureau de la Gombe, commune de Kinshasa, abritant des institutions et ambassades.