M. Yoon a affirmé que cette élection constituait «la dernière chance d’empêcher une dictature totalitaire et de protéger la démocratie libérale et l’Etat de droit». Sous son mandat, l’opposition, largement majoritaire au Parlement, torpillait tous ses projets.
L'ancien ministre du Travail sud-coréen, Kim Moon-soo, a été désigné hier par le parti conservateur candidat à la présidentielle du 3 juin, organisée à la suite de la destitution de Yoon Suk Yeol qui a plongé le pays dans une crise politique.
Le principal parti d'opposition ivoirien a appelé hier à des «marches» aujourd'hui devant les tribunaux du pays, pour protester contre l'éviction de son candidat Tidjane Thiam à l'élection présidentielle d'octobre, rapporte l’AFP.
Le parti a rappelé que la Cour africaine des droits de l’homme et des peuples avait ordonné en 2020 à l’Etat ivoirien de «lever immédiatement tous les obstacles» empêchant M. Gbagbo d’être réinscrit sur la liste. Deux autres figures de la politique ivoirienne sont également radiés de la liste : l’ancien bras droit de Laurent Gbagbo, Charles Blé Goudé, et l’ex-Premier ministre Guillaume Soro, eux aussi condamnés par la justice.
Pour des raisons multiples, des présidents américains n’ont pas fait de second mandat.
Le président de la Cour constitutionnelle a annoncé que les dossiers de trois candidats ont été acceptés en vue des élections présidentielles prévues pour le 7 septembre prochain.
Les partis politiques saisissent l’opportunité offerte par l’élection présidentielle du 7 septembre pour battre le rappel de leurs troupes et tenter de gagner en visibilité sur la scène politique nationale.
Le calendrier électoral tunisien, conçu par l’Instance supérieure indépendante des élections (ISIE), prévoit le scrutin présidentiel pour l’automne 2024, comme initialement prévu depuis les élections de 2019. Le président Kaïs Saïed n’a par ailleurs cessé de rappeler l’importance du retour régulier au peuple pour entendre sa voix, notamment dans pareils rendez-vous électoraux qu’il insiste à respecter.
Retour sur la «présidentielle écourtée». Pour en savoir plus, il faudra attendre, peut-être, que le chef de l’Etat l’évoque lors d’un événement public, un Conseil des ministres ou un entretien avec les médias. La dépêche de l’agence officielle APS qui lui a été consacrée n’a pas apporté les éléments de réponse attendus, car se limitant à des généralités, parfois mal formulées.
Soufiane Djilali, président du parti politique Jil Jadid, a été invité hier à s’exprimer, lors d’une émission de la Radio algérienne Chaîne 3, où il a abordé l’annonce de l’élection anticipée prévue pour le 7 septembre.
La décision d’organiser des élections présidentielles anticipées suscite une multitude de réactions, notamment sur les réseaux sociaux, où chacun tente de lui donner une interprétation politique.
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a pris tout le monde de court en annonçant l’organisation de l’élection présidentielle le 7 septembre prochain, trois mois avant la date prévue.
En France, les réseaux sociaux et certains médias avançaient plutôt l’idée d’un report du scrutin présidentiel de décembre prochain. L’annonce au contraire d’une élection anticipée en septembre a donc surpris. Signe patent : peu de médias ont pris le temps d’une analyse à chaud de l’annonce faite jeudi soir.
Le débat autour de la prochaine présidentielle s’animera, sans doute, davantage après le mois de Ramadhan.
Samedi, Donald Trump a remporté les élections internes du Parti républicain dans trois nouveaux États américains, à savoir le Missouri, le Michigan et l’Idaho, selon les médias, consolidant ainsi sa position pour l'investiture présidentielle de novembre.
Zoubida Assoul insiste sur l’impératif de mettre en place un Etat de droit, basé sur le principe fondamental qui est la séparation des pouvoirs. «On ne peut construire une démocratie, si nous n’avons pas un principe fondamental qui est la séparation des pouvoirs et la réalisation d’un équilibre entre eux», soutient-elle.
Le Parti des travailleurs (PT) milite pour la réunion de toutes les conditions afin que le prochain scrutin se déroule dans les meilleures conditions.
L’Assemblée nationale sénégalaise a adopté, dans la nuit de lundi à hier, une proposition de loi visant à repousser la présidentielle au 15 décembre 2024. Ce qui consacre le maintien du président Macky Sall probablement jusqu’en 2025. Cette mesure est qualifiée par l’opposition de «coup d’Etat constitutionnel», selon l’AFP.
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD) a tenu hier, à Alger, la quatrième session ordinaire de son conseil national. Trois points étaient inscrits à l’ordre du jour de cette réunion, à savoir l’examen de la situation politique générale suivi de débats (à huis clos) sur l’élection présidentielle de 2024, l’évaluation de la situation organique du parti ainsi que les divers.
L’opposition aux Comores a réclamé, hier, l’«annulation» de la présidentielle et dénoncé «une fraude grossière», au lendemain de l’annonce de la victoire au premier tour du sortant Azali Assoumani, alors que les forces de l’ordre sont déployées après des tensions dans la capitale.