Par l’intermédiaire du sultanat d’Oman, des pourparlers sont tenus hier par les délégations américaine et iranienne sur le nucléaire de la République islamique. Il s’agit des discussions les plus importantes depuis le retrait américain en 2018, sous la présidence de Donald Trump, d’un accord conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances pour encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des sanctions.
Des pourparlers sur le nucléaire iranien se tiendront samedi au Sultanat d’Oman. Washington évoque des discussions «directes», et Téhéran parle de pourparlers «indirects» ayant pour objectif principal la levée des sanctions américaines.
L’Algérie et l’Iran affichent la volonté de «consolider leurs relations bilatérales». Cet engagement a été exprimé à l’occasion de la visite officielle effectuée, hier à Alger, par le ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi.
L’Iran a rejeté hier tout dialogue direct avec les Etats-Unis estimant que cela «n’aurait aucun sens», au moment où le président américain Donald Trump suggère des pourparlers sans intermédiaire et menace de bombarder le pays en cas d’échec de la diplomatie, selon l’AFP.
«La République islamique d’Iran veut dialoguer sur un pied d’égalité», a indiqué M. Pezeshkian lors d’une réunion, selon des propos rapportés par la présidence.
Les Etats-Unis n’ont plus de relations diplomatiques avec l’Iran depuis 1980. Les deux pays n’ont que des échanges indirects par le biais de l’ambassade de Suisse à Téhéran.
Lorsque le défunt président Houari Boumediène l’annonça, c’est la surprise totale. «J’ai le plaisir de vous annoncer qu’un accord global a été conclu hier soir, en vue de mettre fin aux divergences existant entre deux pays frères, l’Iran et l’Irak», déclare-t-il, lors de la séance de clôture du premier Sommet de l’OPEP à Alger, sous une longue ovation de l’assistance.
Le président iranien Massoud Pezeshkian a accusé hier son homologue américain Donald Trump de vouloir «mettre à genoux» la République islamique, lors d’un discours à l’occasion du 46e anniversaire de la Révolution qui a renversé la monarchie Pahlavi, rapporte l’AFP.
La banque américaine décrit un scénario dans lequel l’Iran serait confronté à des perturbations persistantes de l’approvisionnement, tandis que la Russie subirait des revers temporaires.
L’investiture de celui qui est qualifié d’ami des pétroliers américains est attendue «avec impatience» par l’industrie du pétrole et du gaz pour savoir quelle direction prendront les marchés dans les jours, semaines et mois à venir.
Les Etats-Unis, le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France ont déposé une résolution condamnant le manque de coopération de l'Iran dans le dossier nucléaire, malgré une mise en garde de Téhéran, au premier jour hier d'une réunion de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) à Vienne, rappelle l’AFP.
L'Iran a dénoncé mardi comme «injustifiables» les nouvelles sanctions annoncées par l'Union européenne et le Royaume-Uni en raison de son soutien présumé à la Russie dans l'invasion de l'Ukraine.
Le New York Times a affirmé que l’homme d’affaires avait rencontré l’ambassadeur du régime des Mollahs auprès de l’ONU.
Si la rencontre était confirmée, elle pourrait être le signe que le président élu a décidé d’opter pour une approche diplomatique avec Téhéran.
L'Iran a récemment demandé l'instauration d'un embargo sur les armes à destination d'Israël et a exigé son exclusion des Nations Unies, en réaction à une frappe israélienne survenue près de Damas, en Syrie.
Le ministre des Sciences, de la Recherche et des Technologie a affirmé que l'étudiante n'a pas été exclue de son université.
L e président iranien Ebrahim Raïssi et son ministre des Affaires étrangères Hossein Amir-Abdollahian sont morts dans un accident d’hélicoptère dans le nord-ouest de l’Iran, a annoncé, hier, le gouvernement de ce pays, poids lourd du Moyen-Orient.
Le 17 avril 2024, 01h Gmt, le Brent a été coté à 90,07 dollars (84,82 euros) et le Wit 85,28 dollars (80,30 euros) malgré l’attaque de l’Iran contre Israël, le marché tablant sur une désescalade plus probable qu’un embrasement de la région surtout après la décision américaine, principal allié d’Israël, et les recommandations de la communauté internationale d’éviter toute escalade qui risque de plonger l’économie mondiale vers une turbulence généralisée. Comme les tensions en Iran et Israël ne doivent pas faire oublier, pour la stabilité de la région, l’urgence d’un Etat palestinien.
Que retenir d’essentiel de cette fièvre qui a secoué ces derniers jours le Proche-Orient ? Que l’Occident quasi unanimement a volé au secours d’Israël, alors que ce pays a été l'agresseur, tuant deux généraux des Gardiens de la révolution, le 1er avril, lors d’une frappe contre le consulat iranien à Damas, et qu’il a bafoué l’immunité diplomatique iranienne et violé l’espace aérien syrien.
Dans la nuit de samedi à hier, l’Iran a mené une attaque massive avec drones et missiles à partir son territoire contre Israël. Une première, sachant qu’un conflit plus ou moins larvé de plusieurs décennies oppose les deux pays du Moyen-Orient. Hier, Téhéran a appelé Tel-Aviv à ne pas réagir militairement à son opération, qu’il a présentée comme une riposte justifiée à la frappe ayant détruit son consulat à Damas le 1er avril.