«Nous continuerons à prendre toute une série de mesures pour obliger le régime iranien à rendre compte de ses actes», a déclaré le chef de la diplomatie britannique, James Cleverly.
Plus de 150 établissements commerciaux ont été fermés par les autorités en 24 heures pour ne pas avoir respecté l’obligation du port du voile par des employées, a annoncé dimanche la police.
Après sept longues années de rupture diplomatique radicale, les deux puissances moyen-orientales ont pu sceller, il y a exactement un mois dans la capitale chinoise, le rétablissement des relations entre les deux pays.
L’Arabie Saoudite sunnite, premier exportateur mondial de pétrole, et l’Iran chiite avaient rompu leurs liens en 2016 après l’attaque de missions diplomatiques saoudiennes par des manifestants dans la République islamique, à la suite de l’exécution par Riyad d’un religieux chiite. Leur rapprochement devrait être formellement célébré à l’occasion d’une visite du président iranien, Ebrahim Raïssi, à Riyad.
L’Iran a qualifié d’attaque terroriste les frappes aériennes américaines ayant ciblé des groupes pro-iraniens en Syrie, en riposte à une attaque de drone meurtrière.
Le nombre de blessés suite au tremblement de terre de magnitude 5,6 qui a frappé le nord-ouest de l’Iran, vendredi matin, s’élève à 165, a rapporté l’agence de presse officielle iranienne IRNA.
Le guide suprême iranien, l'ayatollah Ali Khamenei, a déclaré mardi que l'Iran n'était "pas en colère contre les Européens" et était prêt à travailler avec les pays qui "ne suivaient pas aveuglément" les Etats-Unis.
Deux hommes ont été condamnés à la peine capitale après avoir été reconnus coupables de complicité dans un attentat meurtrier fin octobre contre un lieu de culte du sud de l'Iran, a annoncé samedi l'organe de la justice du pays.
Le vice-ministre iranien des Affaires étrangères chargé des affaires politiques, Ali Bagheri Kani, a indiqué jeudi que l'Iran enverrait prochainement son ambassadeur aux Emirats Arabes Unis (EAU).
L’Arabie saoudite pourrait commencer à investir en Iran «très rapidement» après le rétablissement des relations diplomatiques entre les deux pays. C’est ce qu’a indiqué hier le ministre saoudien des Finances, cité par l’AFP, malgré les sanctions internationales imposées à la République islamique.
L’Arabie Saoudite et l’Iran, qui ont rompu leurs liens en 2016, ont annoncé hier qu’ils allaient rétablir leurs relations diplomatiques d’ici deux mois à l'issue de pourparlers en Chine. «A la suite de pourparlers, la République islamique d’Iran et le royaume d’Arabie Saoudite sont convenus de reprendre leurs relations diplomatiques et de rouvrir les ambassades et représentations (diplomatiques) dans un délai maximum de deux mois», a indiqué l’agence iranienne Irna, citant un communiqué conjoint publié par les médias d’Etat des deux pays.
Elle aurait pu choisir la voie de l’exil comme de nombreux jeunes Iraniens, mais Shahrzad Shokouhivand préfère «vivre l’aventure» dans son pays où elle est devenue une pâtissière reconnue malgré les obstacles.
Les ministres des Affaires étrangères d’Iran et d’Arabie Saoudite vont se rencontrer à Baghdad. C’est ce qu’a annoncé hier le ministre des Affaires étrangères irakien, Fouad Hussein, cité par l’AFP et dont le pays accueille depuis plus d’un an les pourparlers amorcés entre les deux pays. «Le prince héritier saoudien Mohamed Ben Salmane nous a demandé d’accueillir à Baghdad une réunion entre les ministres des Affaires étrangères saoudien et iranien», a indiqué le chef de la diplomatie irakienne lors d’un entretien à la télévision kurde Rudaw.
Le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian, est arrivé hier en Syrie, où la Turquie menace de lancer une offensive dans le nord du pays, rapporte l’AFP citant l’agence de presse syrienne Sana.
Ce match aura permis à la sélection nationale d’ouvrir une nouvelle page après l’amère élimination en match barrage pour le Mondial 2022, et au coach national de voir à l’œuvre certains nouveaux éléments.
La sélection algérienne de football affrontera ce soir, à partir de 18h, au Qatar SC Stadium de Doha, l’Iran en match amical.
Depuis janvier 2016, l’AIEA vérifie et contrôle la mise en œuvre des engagements liés au nucléaire, pris par l’Iran dans le cadre de l’accord de Vienne sur le nucléaire conclu en 2015 entre la République islamique et le groupe 5+1 (Etats-Unis, Russie, Chine, Royaume-Uni, France ainsi que l’Allemagne).
L’Iran a appelé hier à une réunion «le plus tôt possible» en vue de rétablir l’accord sur le nucléaire conclu en 2015 entre l’Iran et les grandes puissances, alors que les négociations à Vienne sont interrompues depuis le 11 mars.
L’Arabie Saoudite sunnite et l’Iran chiite ont coupé leurs liens en 2016, après l’attaque de missions diplomatiques saoudiennes par des manifestants dans la République islamique à la suite de l’exécution par Riyad d’un célèbre religieux chiite.
L’Iran a exprimé ses doutes lundi quant à «la volonté» des Etats-Unis de parvenir à un accord sur son programme nucléaire, invoquant des divergences qui persistent malgré un an de discussions pour relancer le pacte conclu en 2015 entre Téhéran et six grandes puissances