Les prix des fruits et légumes ont enregistré une flambée vertigineuse au niveau de plusieurs marchés à la veille et pendant les deux jours de l’Aïd. La pomme de terre a atteint les 150 DA, les oranges jusqu’à 300 DA, 3 boîtes de thon entre 270 et 300 DA et même l’huile Elio a augmenté de quelques dinars. Les prix varient légèrement entre quartiers populaires et quartiers huppés et entre les grandes surfaces et la supérette du coin.
Hacene Menouar, président de l’association El Aman, dresse un bilan sans complaisance sur notre mode de consommation, surtout pendant le dernier mois de Ramadhan. A ses yeux, malgré la brutale chute du pouvoir d’achat et une crise économique persistante, l’Algérien ne s’est pas totalement débarrassé du gaspillage. Par ailleurs, les pénuries de certains produits ont suscité un mouvement de panique difficilement contrôlable. Un éclairage qui doit inspirer les pouvoirs publics pour prendre les bonnes décisions.
Zoubir Sahli, agroéconomiste, aborde dans cet entretien la question de l’accessibilité aux produits alimentaires en ces temps d’inflation. Si pour la production, il plaide pour l’adaptation des systèmes aux conditions et aux vocations des zones, pour la distribution, il suggère la mise en place d’une cellule de veille de manière à suivre l’évolution du marché.
Les chiffres sont stabilisés depuis plusieurs mois à un taux inférieur à dix cas par jour, selon les données livrées par le ministère de la Santé. Effectivement, il y a eu même quelques jours de «zéro cas».
Cette première édition a été marquée par la tenue d’expositions de tableaux, de photos et des rencontres culturelles sur les origines et l’histoire de cet habit traditionnel complètement méconnu par la jeune génération.
Très remonté à l’issue de la défaite à Béchar contre la JS Saoura, l’entraîneur du CS Constantine, Kheireddine Madoui, qui, en outre, a écopé d’un carton rouge à la 78’ pour protestation, s’en est vertement pris à l’arbitre de la rencontre, Nader, qui, selon lui, a tout fait pour avantager les locaux, en course pour une deuxième place en championnat.
«Le croiseur Duguay-Trouin, le contre-torpilleur Le Triomphant sur Cap Aokas et ses environs, en plus de l’aviation qui bombarda une cinquantaine de mechtas et villages.» «A Kherata, Amoucha, Aïn Kébira, El Ouarcia, la folie meurtrière se déchaîne contre la population civile.» «Sept semaines de répression féroce dans le Nord constantinois sous le commandement du général Duval sur instruction du général de Gaulle où du sang, des larmes ont coulé et des morts effroyables jetés vivants dans les gorges de Kherata. Avec Guelma et Sétif, il y a eu environ 45 000 martyrs.»
Récupérant sa place de dauphin au classement avec cet objectif de décrocher une participation en Ligue des champions d’Afrique la saison prochaine, le Mouloudia d’Alger n’a finalement conservé cette place que l’espace d’une journée de championnat, suite au nul concédé samedi dernier en terre biskrie face à la formation locale de l’USB.
Le secrétaire général de Jil jadid, Soufiane Djilali, a été très critique à l’adresse du gouvernement qui, dit-il, est «déconnecté de l’opinion publique».
Le recteur de la Grande Mosquée de Paris a repris sa plume pour défendre les Français de confession musulmane et protester contre le mépris qui est parfois exprimé à leur égard.
Non, il n’y a toujours pas d’eau au robinet, mais il y a une équipe de hockey sur glace algérienne, qui vient d’ailleurs de s’illustrer dans un tournoi en Europe en battant l’Andorre, puis le Portugal par le score de 9 buts à 1
Le 25 juillet, c’est demain ! Référendum populaire en Tunisie et changement attendu du système politique. Panique et désordre chez les opposants, en manque de moyens et de programme pour contrer ce projet. Un flou artistique règne en Tunisie. Personne ne sait où va le pays.
L’Etat d’exception est envisageable dans un système démocratique. Faut-il encore qu’il réponde à certaines conditions aussi précises que possible pour réduire la marge d’interprétation à leur égard.
Le président du Conseil de la nation, Salah Goudjil, exhorte «les acteurs de la société à adhérer à la démarche de rassemblement prônée par le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, pour asseoir les bases et dessiner les contours de l’Algérie nouvelle».
Le président tunisien, Kaïs Saïed, a annoncé l’instauration d’un «dialogue national» attendu depuis des mois, mais duquel seront exclus tous les partis politiques qu’il juge responsables de la crise politico-économique secouant le pays.
Des journalistes ont manifesté jeudi contre les «violations» qui menacent, selon eux, les libertés en Tunisie, notamment depuis le coup de force du président Kaïs Saïed, dénonçant une politique «répressive» contre les médias.
Il y a 77 ans, alors que la France fêtait la victoire des Alliés contre le nazisme, son armée massacrait, à Sétif, Guelma et Kherrata ainsi que d’autres villes, des milliers d’Algériens sortis manifester pour une Algérie libre et indépendante, un crime contre l’humanité qui reste toujours impuni.
La FAF dans sa réclamation adressée notamment à la commission des arbitres de la FIFA, au lendemain de la fameuse rencontre, soit depuis plus d’un mois, demandait clairement à la FIFA d’ouvrir une enquête sur les «dérives» de l’arbitre.
Wintershall Dea a conclu un contrat visant à hisser ses parts du projet de 11,25%, ce qui lui octroie une participation de 30,75% dans le projet, contre 40% pour Sonatrach et 29,5% pour Repsol.
La réponse de la FIFA à la requête de la FAF contre l’arbitrage du gambien Bakary Gassama est arrivée vendredi tard dans la soirée. Sans surprise, elle a informé la FAF qu’elle ne donnera pas suite aux réserves formulées contre l’arbitre directeur de la rencontre Algérie-Cameroun (1-2) disputée le 29 mars dernier à Blida. Vendredi avant minuit, la fédération a publié une partie seulement de la correspondance que lui a adressée la FIFA.