D’après une nouvelle enquête menée par Amnesty International accablant une fois de plus l’Etat hébreu, l’ONG a établi que l’armée israélienne a mené une vaste campagne militaire «pour étendre largement une “zone tampon” le long du périmètre est de la bande de Ghaza occupée».
La rapporteure spéciale de l'ONU pour les Territoires palestiniens, Francesca Albanese, estime qu’on risque de voir le même scénario qui se déroule depuis 11 mois à Ghaza se répéter en Cisjordanie occupée.
En assistant impuissants à la dégradation de leur cité, pourtant de type promotionnel, les habitants des 1108 logements, relevant d’une promotion immobilière privée et appelée communément Résidence Chréa, ne cessent de lancer des SOS aux autorités locales pour l’amélioration du cadre de vie et de l’aspect sécuritaire.
L’armée israélienne poursuit sa campagne de destruction massive à Ghaza pour le 11e mois consécutif. Selon l’agence Wafa, des dizaines de morts et de blessés ont été enregistrés hier dans divers secteurs de la bande de Ghaza, notamment dans la capitale de l’enclave, au 332e jour de la guerre d’agression israélienne. Selon Al jazeera, ces attaques ont fait 23 morts en tout, et il ne s’agit que d’un décompte provisoire.
La secrétaire générale adjointe aux Affaires humanitaires et coordonnatrice des secours d’urgence par intérim au sein de l’ONU, Mme Joyce Cleopa Msuya Mpanju, a eu des mots très forts ce jeudi, au cours d’une réunion du Conseil de sécurité consacrée à la situation humanitaire à Ghaza. Mme Msuya a qualifié la situation à Ghaza d’«extrêmement désespérée».
Le chef du Hamas à l’étranger, Khaled Mechaâl, a appelé à la reprise des «opérations suicides» en représailles à l’acharnement des forces d’occupation israéliennes contre les Palestiniens à Ghaza et en Cisjordanie, ont annoncé plusieurs médias internationaux.
Faute de cessez-le-feu, les habitants de la bande de Ghaza continuent de subir un véritable déluge de feu au milieu d’une détérioration épouvantable de leurs conditions de vie.
Parmi les victimes enregistrées ces dernières 48 heures à Ghaza, ce jeune reporter palestinien, Ibrahim Moharib. Ibrahim avait seulement 26 ans. Il exerçait comme freelance. Il est tombé dimanche soir sous les balles de l’occupant sioniste près de la localité de Hamad, au nord de la ville de Khan Younès, selon le Syndicat des journalistes palestiniens.
Après plusieurs années de clochardisation sans précédent de la ville des Oranges, Boufarik semble, enfin, retrouver son organisation d’antan. «On espère que cela ne sera pas provisoire», insistent des citoyens.
A la cité Si Rabah de Oued El Alleug, à la base une ferme agricole, ils sont plusieurs habitants qui ont les robinets à sec... depuis 5 ans ! La cause : un problème technique dans les conduites. «Certes, notre cité est alimentée en eau potable. Mais certaines familles restent privées de cette denrée puisque le problème se pose dans la canalisation», explique-t-on.
Avant-hier matin, ils étaient une dizaine de commerçants à avoir organisé un sit-in devant le siège de l’APC de Boufarik pour «faire valoir leurs droits». Les protestataires estiment que leur délocalisation vers un nouveau marché couvert à Boufarik leur a provoqué une situation de «banqueroute», à cause de son éloignement.
Je ne veux plus entendre parler de ces marchés informels, nous avons construit un marché couvert pour combattre l’informel et la clochardisation de la ville», a insisté, sur un ton ferme, le wali de Blida lors de sa dernière visite à Boufarik il y a plus d’un mois.
Samedi à Beni Tamou, des représentants du haut conseil de la jeunesse ainsi que le médiateur de la République de la wilaya de Blida se sont donné rendez-vous au centre culturel pour écouter les doléances des citoyens. Parmi les problèmes soulevés, on note notamment le blocage de l’APC depuis plusieurs mois.
Alors que 830 000 Palestiniens ont fui Rafah en deux semaines, selon l’UNRWA, l’armée israélienne maintient la fermeture du poste frontalier de Rafah et celui de Karam Abu Salem, et ce, pour le quatorzième jour consécutif. Ce blocus aggrave la situation humanitaire à Ghaza. «Les forces d’occupation ont empêché l’entrée de plus de 3000 camions chargés d’aide humanitaire dans la bande de Ghaza et le déplacement d’environ 700 malades et de blessés pour se faire soigner hors de l’enclave assiégée», alerte l’agence Wafa.
L’école primaire Maizi Fatma Zohra, ex- Strasbourg, est sans chauffage depuis près d’un mois. En cette période où le thermomètre est au plus bas, les enfants grelottent de froid.
«Il y avait des fleurs à Ghaza», «Le départ de Ghaza», «Lettre à la Palestine», «Ils ferment les yeux», «Nekba»… Ce sont là quelques titres d’œuvres émouvantes signées Myriam Kendsi, et qui s’inscrivent dans une série picturale intitulée «Oh Palestine !».
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a signé un décret, le 30 janvier 2024, mettant fin aux fonctions du directeur général de l’Agence nationale des déchets (AND), Karim Ouamane.
Un autre journaliste palestinien, Issam Al-Lulu, a été tué hier suite aux bombardements qui ont ciblé une zone d’habitation à Al Zawaida, dans la partie centrale de la Bande de Ghaza, rapporte l’agence Wafa.
Environ 200 signataires d’une pétition demandant l’annulation d’un projet de 150 logements de type LPA à Ouled Yaïch vient d’être envoyée au wali de Blida par les résidants de la cité du 1er Mai (ex-1000 Logements).
Encore une fois, un remarquable affaissement s'est produit lors des dernières pluies à la cité AADL 2 de Sidi Serhane, à 7 kilomètres sur les hauteurs de Bouinan dans la wilaya de Blida.