Lors de cette session, Staffan de Mistura présentera un rapport sur «la situation et les perspectives du processus de paix» au Sahara occidental, au moment où le représentant spécial du secrétaire général de l’ONU et chef de la Minurso, Alexander Ivanko, présentera un rapport sur «le développement de la situation dans la zone couverte par le mandat de la mission de l’ONU».
Le Conseil s'est contenté de dénoncer les violations de l'intégrité territoriale de la RDC, sans nommer le Rwanda.Mais de plus en plus de ses membres dénonçaient publiquement Kigali.
Al’heure où les lignes géopolitiques se redessinent, l’Afrique aspire à occuper la place qui lui revient dans l’architecture institutionnelle mondiale. C’est dans ce contexte que l’Algérie a réitéré son engagement en faveur d’une réforme profonde et équitable du système multipartite.
La secrétaire d'Etat auprès du ministre des Affaires étrangères, Salma Bekhta Mansouri, a participé à une réunion dédiée à la réforme du Conseil de sécurité des Nations unies, connue sous le nom de C10.
Le président du Conseil de sécurité de l'ONU pour le mois de février courant, l'ambassadeur de la Chine auprès des Nations Unies, Fu Cong, a fait savoir que la consolidation du cessez-le-feu à Ghaza et le renforcement de l'aide humanitaire en direction de l'enclave palestinienne seront au centre des priorités du Conseil au cours de ce mois.
L’Algérie, qui a placé les régions arabe et africaine au centre de ses priorités, a consacré sa présidence du Conseil de sécurité des Nations unies, durant le mois de janvier, à défendre les causes justes, à relever les défis qui menacent la paix et la sécurité dans le monde, et à faire entendre la voix de l’Afrique.
La réunion d’hier se distingue-t-elle par son ambition de réunir les principaux acteurs concernés par la lutte contre le terrorisme en Afrique, tout en prenant en compte les volets sécuritaire, économique et social du problème.
Attaf a souligné l’importance des efforts internationaux et régionaux pour parvenir à un cessez-le-feu global et permanent à Ghaza.
Sous l’impulsion de l’Algérie, le Conseil de sécurité a décidé que les avoirs libyens gelés soient réinvestis en Libye.
Dans une déclaration liminaire en début d’une conférence de presse sur le bilan des activités de la diplomatie algérienne en 2024, M. Attaf a indiqué que «l’Algérie consacre son mandat au Conseil de sécurité de l’ONU à la défense des causes justes, dont la cause palestinienne et la question du Sahara occidental».
La Russie a annoncé dimanche avoir demandé pour aujourd’hui une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU sur la situation en Syrie, où une offensive éclair de groupes rebelles menés par des islamistes radicaux ont fait chuter le pouvoir de Bachar al-Assad.
«Nous réaffirmons notre conviction selon laquelle un dialogue inclusif entre tous les Syriens, avec l’appui de la communauté internationale, reste la seule solution viable et juste pour régler cette crise qui n’a que trop duré», a souligné Nassim Gaouaoui, représentant permanent adjoint de l’Algérie auprès des Nations unies, au cours d’une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU consacrée à la situation en Syrie.
«La Cour a été soumise à des attaques visant à saper sa légitimité», dénonce la juge Tomoko Akane.
Les débats autour de la situation humanitaire à Ghaza se sont poursuivis très tard dans la soirée d’hier, au sein du Conseil de sécurité de l’Onu, et devront se terminer par le vote d’un projet de résolution présenté et rédigé par le Guyana et les 10 membres non permanents du Conseil de sécurité, exigeant un cessez-le-feu «immédiat, inconditionnel et permanent» à Ghaza.
Le Conseil de sécurité de l’ONU a été fortement acculé par ses membres qui l’ont appelé «à agir immédiatement, dans les jours qui viennent et non pas les semaines», afin «d’empêcher la famine» à Ghaza. En effet, lors d’une réunion d’urgence convoquée par l’Algérie, la Slovénie, le Guyana et la Suisse, l’écrasante majorité des membres du Conseil a violemment critiqué Israël, en tant que force occupante, et dénoncé le «recours à la famine comme moyen de guerre», l’interdiction, par une loi israélienne, de l’Unrwa et appelé «à l’urgence d’un cessez-le feu immédiat, sans condition et permanent».
Le représentant permanent de l’Algérie auprès des Nations unies à New York, l’ambassadeur Amar Bendjama, a présidé, lundi, les travaux d’une réunion de l’Assemblée générale (AG) des Nations unies, pour débattre de la représentation équitable au Conseil de sécurité et d’autres questions liées au Conseil.
Les réunions du Conseil de sécurité de l’ONU se suivent et se ressemblent, coincées structurellement dans un paramétrage inégalitaire des pouvoirs d’arbitrage et de décision. L’entrain de certains de ses membres non permanents arrive cependant à faire bouger les lignes.
L’Algérie connaît un rebond diplomatique au cours de ces dernières années qui s’est davantage consolidé depuis qu’elle siège en tant que membre non permanent au Conseil de sécurité de l’ONU. Entamant en janvier son mandat de deux ans au sein de cette haute instance décisionnelle, l’Algérie a réussi en peu de temps à faire bouger les lignes, à remettre sur la table des dossiers longtemps délaissés et à mettre tout le monde devant ses responsabilités face à des situations de conflits d’une extrême gravité et injustice.
La récente résolution du Conseil de sécurité de l’ONU appelant à un cessez-le-feu à Ghaza est saluée comme un acquis à dater pour la cause palestinienne, et au-delà pour la lutte globale pour un monde plus juste.
Comme depuis 1948, Israël refuse d’obtempérer à la décision du Conseil de sécurité pour mettre un terme à son entreprise génocidaire à Ghaza.