Le Salon régional de l’artisanat et des métiers traditionnels réunit, depuis quelques jours, à Ouled Djellal, 40 artisans venus de différentes régions.
De mémoire d’Oranais, il est très rare que le Centre des conventions Ahmed Benahmed connaisse un engouement pareil que celui de la 25e édition du Salon international de l’artisanat dont la clôture a eu lieu hier lundi. Cette manifestation, qui met sous le feu des projecteurs le travail minutieux des artisans et autres designers, est organisée, cette année, pour la première fois à Oran.
Une exposition intitulée «Notre patrimoine, richesse d’une nation et identité d’un peuple» qui met en exergue la richesse et la diversité de l’habit traditionnel algérien et des produits d’artisanat nationaux s’est ouverte jeudi au centre des arts et de la culture au Palais des Rias Al Bahr (Bastion 23) à Alger, et ce, dans le cadre de la célébration de la Journée nationale de La Casbah, le 23 février de chaque année.
la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) de Constantine a procédé à la distribution des cartes professionnelles numériques aux artisans de la wilaya. «Cette opération s’inscrit dans le cadre de la numérisation du secteur de l’artisanat et vise à simplifier les procédures administratives pour les artisans. Elle a débuté dans quatre wilayas pilotes, à savoir Tizi Ouzou, Oran, El Oued et Constantine, avant son adoption à l’échelle nationale», a déclaré à El Watan Ali Rais directeur de la chambre.
Mohktar Didouche, ministre du Tourisme et de l’Artisanat, revient dans cet entretien exclusif accordé à El Watan, sur les grands axes de développement de son secteur. Selon le représentant du gouvernement, en abordant les défis de manière proactive, l’Algérie pourrait ouvrir de nouvelles perspectives pour son secteur touristique, attirer davantage de visiteurs et contribuer ainsi à son développement économique et social du pays. Alors que l’Algérie cherche à diversifier son économie et à réduire sa dépendance des revenus des hydrocarbures, le secteur apparaît comme une alternative prometteuse et porteuse d’opportunités.
Dévalant le dédale de la cité de Sidi Abderrahmane Ettaâlibi, quelques artisans, qui se comptent sur les doigts d’une seule main, tentent tant bien que mal de faire de la résistance pour maintenir un tant soit peu vivant ce pan de notre patrimoine ancestral. Bien que la matière première fasse défaut, ils tentent de faire contre mauvaise fortune bon cœur pour préserver ce travail de fin doigté qui, faut-il signaler, périclite au fil des jours au grand dam de la corporation, d’une part, et des visiteurs en quête de la belle ouvrage, d’ autre part. Zoom.
La 17e édition de la Fête du bijou de la commune d'Ath Yenni, située à 35 km au sud-est de Tizi-Ouzou, se déroulera cette année du 27 juillet au 5 août, ont annoncé les organisateurs.
Une formation initiée dans le cadre des échanges entre les secteurs de la culture et des arts et celui du tourisme et de l’artisanat.
Chaque année, des millions de bêtes sont sacrifiées lors des fêtes religieuses et autres occasions, dont les mariages. Cependant, des centaines de milliers de précieuses peaux, notamment de mouton, sont jetées, privant ainsi toute une industrie d’une matière première presque gratuite. Le marché mondial du cuir pèse près 250 milliards de dollars et les prix de la matière première ont connu une augmentation ces dernières années.
La contribution du secteur national de l’artisanat et des métiers au Produit intérieur brut (PIB) a été estimée à plus de 350 milliards de dinars en 2022, a révélé, dimanche à Tipasa, le directeur général de l’artisanat et des métiers au ministère du Tourisme et de l’Artisanat, Kamel Eddine Bouam. «Facteur essentiel dans le développement local, l’artisanat est un secteur économique d’importance et créateur de richesses», a indiqué M. Bouam, en procédant, en sa qualité de représentant du ministre du secteur, à l’ouverture d’une rencontre régionale sur la carte professionnelle numérique de l’artisan. En 2022, la valeur ajoutée (VA) du secteur à l’économie nationale a été estimée à plus de 100 milliards de dinars.
Environ 1300 personnes maîtrisant une activité artisanale ou un service ont vu leur savoir-faire validé par la Chambre de l’artisanat et des métiers de la wilaya de Blida.
La Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) de la wilaya de Tiaret a récemment créé une école de formation et de perfectionnement du niveau, a-t-on appris de son directeur, Ali Bouhamid.
L’artisanat dans l’ex-capitale de l’Empire de Maurétanie de Juba II, Cherchell, a disparu dans l’indifférence totale.
L’école de formation et de perfectionnement relevant de la Chambre de l’artisanat et des métiers (CAM) de Batna a attiré, depuis son ouverture en janvier dernier plus de 300 stagiaires, a-t-on appris dimanche du directeur de la chambre.
Un label de qualité et d’authenticité des produits de l’artisanat sera mis en place dans le cadre des mesures prises pour la promotion et la préservation de l’artisanat, ainsi que pour garantir la qualité et l’authenticité des produits artisanaux, a indiqué hier un communiqué des services du Premier ministre.
Une application numérique dénommée «Visit Guelma» dédiée au secteur du tourisme dans la wilaya de Guelma est mise en ligne, depuis quelques heures, par la direction du secteur.
Une véritable bataille culturelle est menée par un pays voisin pour accaparer le patrimoine algérien et se l’attribuer dans des expositions organisées à l’étranger.
Le ministre du Tourisme et de l’Artisanat, Yacine Hamadi a mis l’accent, vendredi à Alger, sur la nécessité de mettre en œuvre le programme de numérisation du secteur et de concrétiser les premiers pas de la coopération avec l’Organisation mondiale du tourisme (OMT).
Suite à l’impact dévastateur de la pandémie et des incendies de forêt sur le pouvoir d’achat des artisans, un programme d’accompagnement des femmes artisanes vient d’être initié par Chanez Kechoud et Hassiba Boufedji. «La situation des artisanes est très grave.
Il est l’un des derniers maîtres à pratiquer la sculpture berbère sur bois à l’ancienne. Fils et petit-fils de sculpteurs renommés dans la région d’Ighil Ali, et bien au-delà, Hilal Belkacem est le dernier maillon d’une longue chaîne d’artisans qui ont tenté de maintenir en vie un art symbole d’histoire, de culture et d’identité millénaires.