La commission chargée de l’élaboration d’une proposition de loi criminalisant le colonialisme français en Algérie tiendra sa première réunion aujourd’hui.
L’installation de la commission ad hoc chargée d’élaborer une proposition de loi criminalisant le colonialisme a suscité la réaction de partis politiques, de parlementaires et de spécialistes en la matière. Tous pensent que le travail de cette commission, installée dimanche dernier, doit prendre son temps pour aboutir à un document «irréprochable».
C'est officiel, la commission parlementaire ad hoc chargée d'élaborer une proposition de loi criminalisant le colonialisme français en Algérie a été installée hier par Brahim Boughali, président de la Chambre basse du Parlement.
Feu vert pour l’élaboration du projet de loi criminalisant le colonialisme français. Aujourd’hui à midi sera installée, au niveau de l’Assemblée populaire nationale (APN), la commission chargée de se pencher sur la rédaction de ce texte de loi. Elle sera composée d’un représentant de chaque groupe parlementaire.
L’adoption, lundi, du règlement intérieur de l’APN n’a vraisemblablement pas permis de solutionner le problème de l’absentéisme des députés. La séance des questions orales aux membres du gouvernement, tenue jeudi dernier, a montré la persistance de ce phénomène qui n’agrée pas une opinion publique témoignant d’un intérêt grandissant pour les débats entre les ministres et les représentants du peuple.
Le ministre de l’Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville, Mohamed Tarek Belaribi, a annoncé, jeudi, que les travaux de réalisation de 196 structures publiques, programmées dans le cadre de la loi de finances pour l’exercice 2025, seront lancés en mai prochain.
Coup de théâtre à l'Assemblée populaire nationale (APN). Le président de la Chambre basse du Parlement, Brahim Boughali, a choisi le passage en force pour l'adoption du projet de loi portant règlement intérieur de l'Assemblée. C'est du moins ce qu'ont révélé hier des parlementaires.
L'expérience algérienne en matière de lutte contre le terrorisme constitue un modèle de référence et une approche globale fondée sur des principes fondamentaux, notamment la nécessité d'assécher les sources matérielles et intellectuelles du terrorisme», c'est ce qu'a déclaré hier le président de la Chambre basse du Parlement, Brahim Boughali, à l'ouverture des travaux de la journée parlementaire ayant pour thématique «L'approche algérienne dans la lutte contre le terrorisme et le crime organisé : expérience, succès et défis».
C'était l'effervescence hier à l'Assemblée populaire nationale (APN). Jamais un texte de loi tel que celui portant règlement intérieur de la Chambre basse du Parlement n'a connu autant d'incertitude et de cacophonie.
Le renouvellement partiel du Conseil de la nation aura été un moment politique d’importance en raison du regain d’intérêt pour la compétition électorale. La redynamisation des structures des partis politiques ainsi que des collectifs indépendants a suscité l’attention des citoyens qui ont eu la latitude de redécouvrir le parcours et les engagements des postulants à la Chambre haute du Parlement.
Pour éviter, en ce mois de Ramadhan, un «chômage technique» au Parlement, le bureau de l’Assemblée populaire nationale (APN) a décidé d’arrêter, la semaine dernière, un calendrier de travail. Des séances plénières ont été programmées du 4 au 17 mars.
Le président de l'Assemblée populaire nationale (APN), Brahim Boughali, a rencontré en marge de sa participation en tant que représentant du Président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, à la cérémonie d'investiture du président élu de la République de l'Uruguay, le président du Parlement Mercosur (Parlasur), M. Arlindo Chinaglia, a indiqué, hier, un communiqué de l'APN.
Le président de la Cour des comptes a, devant la commission des finances et du budget de l’APN mercredi, mis l’accent sur la nécessité d’améliorer la gestion du budget de l’Etat afin de «maîtriser le déficit».
Le ministre de la Culture et des Arts, Zouhir Ballalou, a présenté, lundi, devant la commission de la culture, de la communication et du tourisme de l’Assemblée populaire nationale (APN), un exposé sur l’état et les perspectives du secteur.
Le président de l’Assemblée populaire nationale (APN) et président de l’Union interparlementaire arabe (UIPA), Ibrahim Boughali, prendra part, aujourd’hui au siège de la Ligue des Etats arabes au Caire, à la 7e Conférence des présidents des Parlements arabes, a indiqué un communiqué de l’Assemblée.
Le ministre de la Justice, garde des Sceaux, Lotfi Boudjemaa, a détaillé les principales modifications apportées à cette mouture s’étalant sur 35 dispositions.
Une délégation de l'Assemblée populaire nationale (APN) a pris part à l'Audition parlementaire 2025 organisée par l'ONU sous le thème «Intensifier l'action en faveur des objectifs de développement durable : le financement, les institutions et la politique».
L'Assemblée populaire nationale (APN) organisera, jeudi prochain, une Journée d'étude sur le thème : «Les explosions nucléaires en Algérie : un crime contre l'humanité et un crime environnemental», dans le cadre de son engagement à mettre en lumière les questions historiques à portée humanitaire et environnementale, indique un communiqué de la Chambre basse du Parlement.
Initialement, le congé de maternité en Algérie est de trois mois. Mais dans le souci de soutenir les mères travailleuses qui sont contraintes de ne pas reprendre leur travail en raison de l’état de santé de leurs nouveau-nés atteints d’une déficience intellectuelle ou d’un handicap congénital ou alors d’une maladie grave, il a été décidé sa prolongation, avec l’adoption d’un projet de loi modifiant et complétant la loi n°11.83 du 2 juillet 1983 portant sur les assurances sociales. Les détails de ce texte ont été présentés jeudi par le ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, Fayçal Bentaleb, devant la commission de la santé, du travail et de la formation professionnelle de l’Assemblée populaire nationale.
Brahim Boughali a supervisé hier la présentation de l’application électronique «Tadjawob» pour le dépôt et la transmission des questions orales et écrites aux membres du gouvernement.