Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural compte mettre sur pied un plan national de prévention et de lutte contre les incendies pour 2024. S’exprimant lors d’une réunion avec des cadres du domaine, au siège de la Direction générale des forêts (DGF), le ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, a souligné, avant-hier, l’impératif de «recenser les moyens matériels et humains nécessaires à la préparation du plan national et parachever le programme d’ouverture de pistes et de tranchées pare-feu».
La première réunion de la Commission nationale de supervision du recensement général de l’agriculture (RGA) a eu lieu, hier, sous la présidence du ministre de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), Youcef Cherfa, et la Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Meriem Benmouloud.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a appelé les directeurs des services agricoles (DSA) à «assumer leurs responsabilités et à travailler sur le terrain» avec l’objectif d’élargir à 3 millions d’hectares les superficies dédiées à la culture des blés dur et tendre et de l’orge.
La part actuelle des wilayas du Sud dans la valeur de la production agricole atteint les 26% (sur un montant global de 4550 milliards de dinars), selon le premier responsable du secteur. Ces régions alimentent par ailleurs les besoins nationaux en céréales à hauteur de 11%, contre 26,4% pour les fruits et légumes, 32% pour la pomme de terre et enfin plus de 98% pour les dattes.
Le rapport de la Cour des Comptes sur le secteur de la viande rouge en Algérie met en lumière des lacunes majeures dans la réalisation des objectifs stratégiques, soulignant des difficultés persistantes.
Le nouveau ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, après deux ans de règne de Mohamed Abdelhafid Henni, est appelé à répondre aux préoccupations du monde agricole mais aussi celles des consommateurs qui paient de plus en cher leurs couffins. Il s’agit surtout de parvenir à des mécanismes pour accompagner les agriculteurs et garantir le bon fonctionnement des filières.
Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a mis fin aux fonctions de Abdelhafid Henni, ministre de l'agriculture et du développement rural.
Deux accords-cadres ont été signés jeudi à Oran entre, d’un côté, le Conseil supérieur de la jeunesse (CSJ), et de l’autre, respectivement, le ministère de l’Agriculture et du Développement rural et le ministère de la Pêche et de la Production halieutique.
Dans la partie consacrée à la croissance économique décortiquée par secteurs d’activité, la Banque d’Algérie (BA) dans son rapport sur l’évaluation économique et monétaire du pays en 2022 relève «des résultats fortement appréciables» dans l’agriculture, avec une production qui représente 11,6% du PIB courant.
Le programme quinquennal 2025-2030 dédié au secteur de l’agriculture est en préparation. Le programme qui met l’accent sur le défi de la sécurité alimentaire va même au-delà de cette période et prend en considération le contexte géopolitique à l’échelle mondiale.
En ces temps de stress hydrique, la question relative à l’assurance contre les calamités agricoles continue à faire débat. Entre les attentes des agriculteurs, les pertes enregistrées dans les filières stratégiques, les mesures mises en œuvre par le gouvernement pour atténuer une telle situation et les dispositifs en attente de lancement, le dossier revêt une importance cruciale.
Les agriculteurs sont de plus en plus confrontés aux pénuries d’eau dues à la sécheresse. Comment développer une agriculture résiliente au dérèglement climatique qui permet, à la fois, d’assurer l’autosuffisance alimentaire et la préservation de la biodiversité ?
Des fonctionnaires des services agricoles de la wilaya de Jijel ont récemment suivi une formation sur la myciculture, la culture de champignons.
La saison agricole qui vient de s’écouler a été l’une des plus mauvaises en Algérie depuis les années 1990. La sécheresse a provoqué des conséquences sans précédent en matière de production de céréales, mais aussi de légumineuses et d’aliment de bétail, ce qui a largement impacté aussi les productions animalière et laitière.
Selon la FAO, les pertes annuelles dans la catégorie des céréales se sont chiffrées à 69 millions de tonnes en moyenne au cours des 30 dernières années. Viennent ensuite les pertes dans la catégorie des fruits et légumes et dans celle des plantes sucrières, qui se sont élevées en moyenne pour chacune d’elles à près de 40 millions de tonnes par an.
Le gouvernement se félicite que le secteur agricole ait enregistré des performances durant la campagne 2022-2023. Effectuant le bilan du secteur dans le cadre de la Déclaration de politique générale du gouvernement 2023, il relève que ce secteur «connaît un développement significatif».
Les professionnels intervenant dans le domaine de la production agricole et agro-alimentaire de différentes wilayas du pays seront présents à la première édition du Salon de l’entrepreneuriat vert, de l’agriculture et de l’agro-alimentaire (SEVAGRO) qui sera marquée, entre autres, par l’organisation d’une exposition des produits du secteur concerné. Aussi, des conférences seront animées par des universitaires et des experts.
Un premier Salon national de l’entrepreneuriat vert, de l’agriculture et de l’agroalimentaire (Sevagro) se tiendra du 9 au 12 novembre prochain, dans la wilaya de Tizi Ouzou, avec la participation d’une centaine d’entreprises, ont indiqué hier les organisateurs de l’événement.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a annoncé, hier dans un communiqué, la mise en place d’une mercuriale quotidienne des prix des produits agricoles, destinée aux professionnels et aux consommateurs.
Pour soutenir les objectifs de l’alimentation et de l’agriculture du XXIe siècle, il faut créer de la valeur foncière au-delà des cultures, alimenter la bio-révolution, manger de manière durable, transparence et responsabilité ESG et éliminer les déchets, selon une enquête du cabinet de conseil McKinsey.