Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural (MADR) compte augmenter les superficies dédiées aux cultures céréalières à un million d’hectares dans le grand Sud d’ici 2025, un objectif tracé à la faveur du programme du développement des filières stratégiques en terres sahariennes. Cette superficie viendra s’ajouter à celle déjà réservée actuellement à cette culture, laquelle est estimée à 2,9 millions d'hectares.
Le stress hydrique, qui a impacté le pays ces dernières années, est pour beaucoup dans la baisse du rendement du secteur agricole. Comme en 2021, les producteurs et les agriculteurs sont confrontés cette année à la même problématique.
Alors que le programme d’appui au secteur agricole ( PASA) à travers ses deux pôles (Pôle Soummam dédié à la filière oléicole dans huit wilayas et Pôle Sud destiné aux dattes, piment et pomme de terre à Biskra et El Oued) entame sa phase finale, l’idée de poursuivre le programme est en réflexion avancée.
La République arabe sahraouie démocratique (RASD) a pris part aux travaux de la 5e Conférence ministérielle sur l'agriculture Union africaine (UA)-Union européenne (UE), tenue au siège de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) à Rome (Italie).
Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a présidé, hier, une réunion du Conseil des ministres consacrée aux secteurs de l’hydraulique et de la poste ainsi qu’aux préparatifs des Jeux olympiques de 2024, a indiqué un communiqué de la présidence de la République.
Alors que cette assurance agricole ne représente que 1,1% du marché des assurances dommages, sa part a encore baissé avec moins de 12,2% durant le 1er trimestre 2023, comparativement à la même période de l’exercice 2022.
En mars, le gouvernement régional a adopté un projet de loi légalisant l'occupation informelle des terres pour la culture intensive de fraises irriguées.
Pas moins de 110 nouvelles exploitations agricoles ont été raccordées depuis le début de l’année 2023 au réseau d’électricité, dans la wilaya de Ghardaïa, a-t-on appris samedi auprès de la direction locale de distribution de l’électricité et du gaz (Sonelgaz).
La ferme modèle Hamdouche, dans la périphérie de Tlemcen, a abrité une journée d’étude sur les techniques de la culture du tournesol.
Beaucoup d’efforts et de moyens sont déployés par l’État algérien pour l’émergence du secteur de l’agriculture, qui vient en deuxième position après les hydrocarbures avec 14,7 % du produit intérieur brut. Mais cela reste insuffisant et loin des objectifs envisagés par les pouvoirs publics, pourtant l’Algérie était nommée à une certaine époque «le grenier de l’Europe». Pourquoi ça ne décolle pas et où réside exactement le problème ?
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni, a reçu hier le ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et des Forêts de la République italienne, Francesco Lollobrigida, en visite de travail en Algérie à l’invitation de son homologue algérien, avec lequel il a examiné les moyens de renforcer la coopération et le partenariat entre les deux pays dans le domaine agricole.
L’Institut national de la recherche agronomique d’Algérie (INRAA) a recensé plus de 1000 variétés de dattes, dont 766 sortes dans les régions sud-est et ouest du pays, présentant des propriétés physiques et biochimiques de qualité supérieure.
L’Algérie compte plus de 170 variétés de semences céréalières certifiées par le Centre national de contrôle et certification des semences et des plants (CNCC), selon un responsable de l’Institut technique des grandes cultures (ITGC) repris par l’APS.
Le retour des pluies ces derniers jours n’a pas produit l’effet que beaucoup attendaient sur les rendements agricoles.
Lors du dernier Conseil des ministres, le président de la République a soumis au gouvernement une série de recommandations et d’orientations visant une meilleure prise en charge des projets économiques, et ce, dans différents secteurs.
La culture du safran dans les zones montagneuses de l'Algérie s'avère être un succès économique, offrant des perspectives prometteuses pour les habitants de ces régions. Avec des conditions climatiques favorables et des coûts de production peu élevés, cette culture offre des opportunités de revenus supplémentaires pour les agriculteurs locaux, en particulier les femmes, tout en valorisant des produits dérivés, tels que les huiles, les savons et les confitures.
Une session de formation sur la pisciculture intégrée à l’agriculture a été lancée, hier à Béchar, au profit de 27 agriculteurs (femmes et jeunes) à l’initiative conjointe du secteur de la pêche et des productions halieutiques, et la chambre interwilayas de la pêche et de l’aquaculture, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Dans les filières stratégiques, à l’exemple de la céréaliculture, de grands projets ont déjà été lancés pour réaliser de grandes fermes céréalières et des exploitations comptant entre 10 000 et 15 000 bovins.
Le troisième portefeuille du foncier est mis, depuis hier, sur la plateforme de l’Office national de l’agriculture industrielle (ODAS). Il équivaut à 200 000 ha.
Cette première édition a réussi à créer une ambiance qui favorise les contacts et les échanges entre agriculteurs et autres partenaires dans le domaine.