«Quelque 64 fellahs ont été inscrits en plus des fermes pilotes pour être retenus au titre du plan de culture du tournesol que notre pays compte intégrer cette année alors que cette option constitue un autre défi à même d’atténuer la facture alimentaire et l’autosuffisance en matière d’huiles végétales».
Le manque de pluviosité durant ce mois d’avril pourrait perturber l’année agricole en cours, notamment pour certaines cultures annuelles stratégiques comme celle des céréales.
Le troisième recensement général de l’agriculture sera lancé au mois d’octobre prochain. C’est ce qu’a confirmé Khaled Ben Mohamed, directeur général du Bureau national d’études pour le développement rural (Bneder), qui s’est exprimé hier sur les ondes de la Chaîne 3.
La délivrance des actes de concession aux agriculteurs se fait au compte-goutte dans la wilaya de Boumerdès. Les services concernés ont dénombré 6070 exploitants agricoles, mais près de 2000 d’entre eux n’ont pas encore obtenu le fameux document indispensable pour le développement de leur activité.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni a fait état, le 6 avril dernier, de plus de 208 000 bénéficiaires de contrats de concession.
Retardé pour notamment des contraintes budgétaires, alors qu’il était attendu en 2011 conformément aux orientations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le troisième recensement général de l’agriculture (RGA) sera finalement lancé en octobre prochain.
La CAW (Chambre de l’agriculture de la wilaya) de Tipasa n’a pas trouvé mieux pour vulgariser et informer ses agriculteurs sur la culture du tournesol que d’inviter un jeune exploitant agricole, Amraoui Seif-Eddine, qui active dans une terre agricole dans la daïra de Koléa.
De premiers affrontements ont éclaté samedi entre manifestants et forces de l'ordre autour d'une réserve d'eau contestée en construction à Sainte-Soline, dans le centre-ouest de la France, où des milliers de personnes se sont mobilisées malgré l'interdiction du rassemblement.
La Direction générale des forêts (DGF), à travers sa direction locale, a célébré hier mardi la journée internationale des forêts proposant un large programme d’activités, au niveau de la capitale.
L’Algérie fait face à un immense défi : comment promouvoir une agriculture durable et respectueuse des ressources naturelles et être capable également de nourrir sainement une population croissante.
Vingt entreprises émergentes ont pris part au forum national sur la technologie au service du secteur de l’agriculture, organisé jeudi à Oran, pour exposer des projets dans le domaine de l’utilisation des nouvelles technologies en exploitations agricoles, des solutions innovantes contribuant à assurer l’autosuffisance.
Devant les difficultés que rencontrent les investisseurs agricoles pour financer leurs projets, le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane, a rassuré, jeudi dernier à Alger, quant à la prise en charge de ce dossier appelant les banques à jouer le jeu. Il a même évoqué un éventuel recours aux poursuites judiciaires contre les banques qui refusent de financer des projets sans motifs valables.
Alors que le barrage de Sidi Yacoub et la conduite principale sont juste à côté, la plaine agricole de Sendjas et de Harchoune, au sud de Chlef, sur la route menant à l’Ouarsenis, reste toujours privée d’un projet d’irrigation, en dépit de la demande sans cesse renouvelée par les fellahs de la région.
Vaste programme d’électrification des exploitations agricoles que celui engagé par l’entreprise publique SDC Sonelgaz Tiaret.
Une des particularités de la wilaya de Bouira est qu’elle est, à l’échelle du couloir steppique national, la steppe la plus proche de la mer. Elle est située plus exactement à 90 kilomètres des côtes méditerranéennes. Cet immense espace aride et semi-aride est considéré comme le dernier rempart avant la désertification.
Les aides publiques ont encouragé les agriculteurs à relancer leurs activités dans cette région qui renoue avec sa vocation agricole.
Les agriculteurs engagés dans la culture de colza sont assurés que toute leur production sera écoulée, dans la mesure où une convention a été signée entre la DSA et un transformateur, lequel s’est engagé à acheter la totalité de la récolte.
La superficie agricole dédiée aux céréales est actuellement de l’ordre de 3,3 millions d’hectares, la production est toujours très faible ; sur les cinq dernières années, la moyenne n’a pas excédé les 42 millions de quintaux et demeure très insuffisante, puisqu’elle ne couvre que 30% des besoins nationaux, notamment, en blé tendre
Considérée comme l’un des ambitieux programmes du ministère de l’Agriculture, la culture du colza a connu ces deux dernières années un franc succès. Cette saison, elle est heurtée, à un «problème» géographiquement limité, essentiellement dans la wilaya de Guelma.
Rencontré pour un tour d’horizon sur la situation de l’année agricole, un céréaliculteur, connu pour être parmi les plus frondeurs de la profession, étale une inaccoutumée satisfaction en exhibant pour preuve ses bottes crottées par la gadoue : «Je peux vous assurer que la moisson sera exceptionnelle alors que deux mois auparavant, nous désespérions !» Mohamed descendait des Monts du Tessala qui constituent, sur 100km, une frontière naturelle entre la wilaya de Témouchent et celle de Sidi Bel Abbès.