Lors du dernier Conseil des ministres, le président de la République a soumis au gouvernement une série de recommandations et d’orientations visant une meilleure prise en charge des projets économiques, et ce, dans différents secteurs.
La culture du safran dans les zones montagneuses de l'Algérie s'avère être un succès économique, offrant des perspectives prometteuses pour les habitants de ces régions. Avec des conditions climatiques favorables et des coûts de production peu élevés, cette culture offre des opportunités de revenus supplémentaires pour les agriculteurs locaux, en particulier les femmes, tout en valorisant des produits dérivés, tels que les huiles, les savons et les confitures.
Une session de formation sur la pisciculture intégrée à l’agriculture a été lancée, hier à Béchar, au profit de 27 agriculteurs (femmes et jeunes) à l’initiative conjointe du secteur de la pêche et des productions halieutiques, et la chambre interwilayas de la pêche et de l’aquaculture, a-t-on appris auprès des organisateurs.
Dans les filières stratégiques, à l’exemple de la céréaliculture, de grands projets ont déjà été lancés pour réaliser de grandes fermes céréalières et des exploitations comptant entre 10 000 et 15 000 bovins.
Le troisième portefeuille du foncier est mis, depuis hier, sur la plateforme de l’Office national de l’agriculture industrielle (ODAS). Il équivaut à 200 000 ha.
Cette première édition a réussi à créer une ambiance qui favorise les contacts et les échanges entre agriculteurs et autres partenaires dans le domaine.
La situation de stress hydrique, jamais vécue depuis 1944, risque de compromettre sérieusement la campagne agricole de cette année. Le professeur Arezki Mekliche trace, dans cet entretien, un point de situation et alerte : «Pour cette campagne agricole fortement marquée par un déficit hydrique sans précédent, ayant impacté dangereusement le niveau des barrages, il est difficile d’envisager d’atteindre les objectifs tracés.» Le professeur à l’ENSA suggère, dans son propos, différentes pistes et solutions afin d’éviter de subir le manque de précipitations et estime qu’il «ne faut jamais tenir compte des prévisions climatiques mais suivre la réserve hydrique du sol».
L’ambassadrice des Etats-Unis en Algérie, Elizabeth Moore Aubin, a affirmé jeudi à Aïn Témouchent qu’il existait une «forte volonté» pour renforcer les mécanismes de coopération dans les domaines du tourisme et de l’agriculture, entre les deux pays.
En marge de la visite de travail et d’inspection qui l’a conduit ce mardi dans la wilaya de Relizane, le ministre de l’agriculture et du développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni a souligné que «l’Etat algérien accorde une importance particulière au développement de la culture céréalière» affirmant que son département «a ficelé le dossier de la numérisation et que les opérateurs intéressés par l’investissement dans le secteur pourront désormais utiliser la plateforme numérique pour manifester leur candidature dans la transparence totale».
Des mesures d'urgence en faveur des agriculteurs pour pallier le stress hydrique impactant les périmètres agricoles ont été adoptées hier par le gouvernement, lors de sa réunion hebdomadaire, présidée par le Premier ministre, Aïmene Benabderrahmane.
Dotée de trois filiales et de quatre holdings spécialisés Asmidal a lancé d’importants investissements au cours des trois dernières années.
La Direction des services agricoles (DSA) d’El Bayadh a établi un programme de plantation d’une superficie de 100 hectares (ha) de tournesol comme première expérience dans la wilaya, a-ton appris auprès de cet établissement.
«Quelque 64 fellahs ont été inscrits en plus des fermes pilotes pour être retenus au titre du plan de culture du tournesol que notre pays compte intégrer cette année alors que cette option constitue un autre défi à même d’atténuer la facture alimentaire et l’autosuffisance en matière d’huiles végétales».
Le manque de pluviosité durant ce mois d’avril pourrait perturber l’année agricole en cours, notamment pour certaines cultures annuelles stratégiques comme celle des céréales.
Le troisième recensement général de l’agriculture sera lancé au mois d’octobre prochain. C’est ce qu’a confirmé Khaled Ben Mohamed, directeur général du Bureau national d’études pour le développement rural (Bneder), qui s’est exprimé hier sur les ondes de la Chaîne 3.
La délivrance des actes de concession aux agriculteurs se fait au compte-goutte dans la wilaya de Boumerdès. Les services concernés ont dénombré 6070 exploitants agricoles, mais près de 2000 d’entre eux n’ont pas encore obtenu le fameux document indispensable pour le développement de leur activité.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Mohamed Abdelhafid Henni a fait état, le 6 avril dernier, de plus de 208 000 bénéficiaires de contrats de concession.
Retardé pour notamment des contraintes budgétaires, alors qu’il était attendu en 2011 conformément aux orientations de l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO), le troisième recensement général de l’agriculture (RGA) sera finalement lancé en octobre prochain.
La CAW (Chambre de l’agriculture de la wilaya) de Tipasa n’a pas trouvé mieux pour vulgariser et informer ses agriculteurs sur la culture du tournesol que d’inviter un jeune exploitant agricole, Amraoui Seif-Eddine, qui active dans une terre agricole dans la daïra de Koléa.
De premiers affrontements ont éclaté samedi entre manifestants et forces de l'ordre autour d'une réserve d'eau contestée en construction à Sainte-Soline, dans le centre-ouest de la France, où des milliers de personnes se sont mobilisées malgré l'interdiction du rassemblement.