Lors d’une réunion d’évaluation du secteur agricole tenue jeudi dernier avec les 58 directeurs des services agricoles, la campagne moisson-battage 2023/2024 était au centre des débats.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural a annoncé, lundi dans un communiqué, que le recensement général de l’agriculture (RGA) débutera le 19 mai prochain et se poursuivra jusqu’au 17 juillet 2024.
L’université Kasdi Merbah de Ouargla, représentée par le professeur Ouiza Jroudi enseignant-chercheur au sein de cette institution et responsable du projet et Mme Halima Khaled, directrice de l’annexe de l’institut technique de développement de l’agriculture saharienne d’El Aghfiane, en tant que partenaire social dans le cadre du projet Quinoa4Med, ont supervisé ces cycles de formation intensifs destinés à la promotion du quinoa chez les femmes rurales oasiennes.
Près de 23 ans après, le recensement général de l’agriculture (RGA) sera lancé dès le mois prochain.
Le président Tebboune a relevé, lors de la réunion du Conseil des ministres, l’impératif d’accorder une grande importance à ce recensement, considéré comme «un mécanisme essentiel» pour la prise de décision.
Les zones de montagnes renferment un véritable trésor inestimable pouvant apporter une valeur ajoutée à l’économie locale si les potentialités existantes sont exploitées d’une façon juste et rationnelle.
Si en janvier, il a été comptabilisé 22,9 mm de précipitations, et d’inespérés 65,1 en février, puis un maigre 1,4 depuis début mars, «on ne désespère pas que d’ici la fin du mois, la situation s’améliore», assure le secrétaire général de la Chambre de l’agriculture.
Passionné pour la collecte des graines, Sadek Amar a exposé pas moins de 37 variétés de semences paysannes de tomates parmi les 201 variétés de sa collection, et ce, à l’occasion de la 2e édition du Salon de l’agriculture de montagne, organisé au village de Sidi Ayad, par l’association « défis pour la solidarité et le développement », en partenariat avec la DSA de la wilaya et la subdivision de l’agriculture de la daïra de Sidi Aïch. Ingénieur en agronomie de formation et Président de l’association de développement de l’agriculture de montagne de Fénaia (El Kseur), il nous parle dans cet entretien des raisons et de l’intérêt de généraliser cette pratique dans le milieu paysan.
Le ministre de l'Hydraulique, Taha Derbal, et celui de l'Agriculture et du Développement rural (MADR), Youcef Cherfa, ont tenu le 5 mars une réunion de coordination consacrée à l'examen des moyens de développer l'exploitation des eaux usées dans l'irrigation agricole.
Le gouvernement s’apprête à lever les obstacles liés à l’investissement dans le secteur agricole. A la faveur d’une réunion dimanche, entre le ministre des Finances, Laaziz Faid, et le ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, ces derniers ont tenu à témoigner de la «détermination à créer un environnement propice à la croissance durable de l’agriculture, favorisant ainsi la sécurité alimentaire nationale».
Le projet vise, entre autres, à réduire le risque de pollution de l’eau et de salinisation des sols en économisant l’eau douce et en minimisant l’utilisation externe des ressources pour la fertilisation des cultures, évitant ainsi une nouvelle contamination des terres et de l’eau.
La Commission européenne a formulé mercredi une proposition visant à prolonger à partir de juin l'exemption des droits de douane pour les produits agricoles entrant dans l'Union européenne. Cette prolongation serait accompagnée de "mécanismes de sauvegarde" pour restreindre les volumes des produits les plus sensibles.
Se dirige-t-on vers de nouvelles réformes dans le secteur agricole, particulièrement pour ce qui est de la question foncière ? La dernière déclaration du ministre de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), Youcef Cherfa, devant les députés, lors de la séance consacrée aux questions orales le 25 janvier, évoque en effet un éventuel changement du cadre législatif régissant le secteur.
Près de 45 exposants, investisseurs dans le domaine agricole, issus de différentes régions du pays, prennent part au deuxième Salon de l’agriculture, de l’industrie manufacturière et de l’élevage ouvert le 14 janvier à El Meniaâ et qui prendra fin aujourd’hui.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a présidé hier une réunion de travail avec les membres du Conseil interprofessionnel de la filière de la pomme de terre, consacrée à l’examen des perspectives de développement de cette filière stratégique, notamment en termes de production et de régulation.
Sur les plans agricole et agroalimentaire, aux perturbations ayant marqué l’année 2023 en matière de distribution de certains produits de base et la flambée des prix qui s’est poursuivie tout au long de cette période poussant l’inflation vers le haut, des changements positifs étaient également au rendez-vous.
Le directeur de l’agriculture de la wilaya de Mascara prévoit de cultiver 61 300 hectares de terres agricoles en céréaliculture, comprenant du blé dur, du blé tendre, de l’orge et de l’avoine, destinés tant à l’alimentation humaine qu’animale ou à des fins de multiplication, au cours de la saison actuelle.
Le ministère de l’Agriculture et du Développement rural compte mettre sur pied un plan national de prévention et de lutte contre les incendies pour 2024. S’exprimant lors d’une réunion avec des cadres du domaine, au siège de la Direction générale des forêts (DGF), le ministre de l’Agriculture, Youcef Cherfa, a souligné, avant-hier, l’impératif de «recenser les moyens matériels et humains nécessaires à la préparation du plan national et parachever le programme d’ouverture de pistes et de tranchées pare-feu».
La première réunion de la Commission nationale de supervision du recensement général de l’agriculture (RGA) a eu lieu, hier, sous la présidence du ministre de l’Agriculture et du Développement rural (MADR), Youcef Cherfa, et la Haut-commissaire à la numérisation avec rang de ministre, Meriem Benmouloud.
Le ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Youcef Cherfa, a appelé les directeurs des services agricoles (DSA) à «assumer leurs responsabilités et à travailler sur le terrain» avec l’objectif d’élargir à 3 millions d’hectares les superficies dédiées à la culture des blés dur et tendre et de l’orge.