L’Entreprise nationale de communication, d’édition et de publicité (ANEP) œuvre à la mise en place d’un projet de plateforme numérique destiné aux auteurs, a-t-on indiqué auprès du groupe ANEP, qui participe à l’exposition nationale du livre, qui s’est poursuivi, samedi, au Musée national d’art moderne et contemporain (MaMo) d’Oran.
Depuis hier et jusqu’au 17 février, Oran abrite son premier Salon national du livre. Organisée par le ministère de la Culture et des Arts, à travers l’Agence algérienne pour le rayonnement culturel (Aarc), cette première édition, qui a pour slogan «El Bahia lit», a pris ses quartiers dans le bel espace du Musée d’art moderne d’Oran (Mamo) en plein centre-ville (rue Larbi Ben M’hidi).
Abdelmadjid Merdaci est de ces auteurs prolifiques dont l’œuvre est à (re)découvrir. Sociologue exigeant, historien passionné, il avait su produire un savoir éclectique sur l’histoire récente du pays.
L’auteur, le musicologue et spécialiste du chaâbi, Abdelkader Bendameche, a présenté, samedi, au niveau de la villa Abdellatif à Alger, son dernier ouvrage intitulé El Hadj M’hamed El Anka au panthéon patrimonial de la chanson chaâbie (ENAG).
l Dans le cadre des «Mercredis du verbe» de l’Etablissement arts et culture de la wilaya d’Alger, l’espace des activités culturelles Bachir Mentouri a accueilli, mercredi dernier, le journaliste, poète et auteur Lazhari Labter pour la présentation de son dernier ouvrage intitulé Anna Gréki ou l’amour avec la rage au cœur, publié par les éditions Koukou en 2024.
L’écrivain historien Rabah Kheddouci ne cesse de tirer la sonnette d’alarme quant à la nécessité de promouvoir l’histoire du pays, surtout auprès des jeunes. «Il est malheureux de constater que les jeunes de Blida et sa région ne connaissent pas que le premier massacre commis en Algérie par le colonisateur français s’est produit au cœur de la Mitidja.
l «Le livre, creuset du savoir et de la science», tel est le thème choisi pour la 1re édition du Salon national du livre, qui doit se tenir du 18 janvier au 21 janvier 2025 à la maison de la culture Issiakhem M’hamed à Relizane.
Riadh Belaïd est un étudiant en journalisme, âgé de 24 ans. Ayant été présent au 27e Salon international du livre d’Alger, pour présenter son second livre et compte mettre sur le marché son troisième livre au début de l’année 2025. Il décide d’écrire ses œuvres en langue de Shakespeare.
Dans son essai Sartre et l’Algérie (Tafat), le jeune auteur Kamal Guerroua évoque avec force détails le parcours anticolonial de l’écrivain et philosophe français. «Sartre-l’Algérien» a été un philosophe antisystème au sens propre du mot : la voix des sans-voix et le grand frère des opprimés», précise-t-il.
Auteur de plusieurs romans, à savoir Parfums d’une femme perdue, Les tranchées de l’imposture et Les rescapés de Pula, l’ex-journaliste et traducteur de l’APS, Saad Saïd, vient de faire paraître aux éditions El Qobia un autre ouvrage intitulé La Gloire des vaincus.
L’auteur Yahia Boubekeur vient tout juste de publier aux éditions TPA son dernier roman intitulé La Fractale. Un livre de 235 pages qui convoque les dates phares de l’histoire de l’Algérie. Dans cet entretien, Yahia Boubekeur nous parle de son livre, de sa façon d’écrire, de son ressenti de la bataille sanglante qu’a enduré le peuple algérien durant la colonisation.
lL’ouvrage du moudjahid Bouzeghoub est un précieux témoignage sur des événements liés à la Guerre de libération mais également aux guerres arabo-israéliennes de juin 1967 et d’octobre 1973.
Il est raconté – mais Allah est plus savant et plus sage et plus puissant et plus bienfaisant – qu’il y avait – dans ce qui s’écoula et se présenta en l’antiquité du temps et le passé de l’âge et du moment – un roi d’entre les rois de Sassan, dans les îles de l’Inde et de la Chine. Il était maître d’armées d’auxiliaires de serviteurs et d’une nombreuse suite.
Terminus Babel est un roman qui raconte l’histoire d’un livre condamné au pilon.
Intitulé Le centenaire de la république de Turquie-Du nationalisme d’Atatürk aux ambitions néo-ottomanes d’Erdogan, Mouloud Hamai, docteur en droit de l’université Paris 2 et diplomate, «synthétise un siècle d’histoire de la Turquie en analysant en profondeur les moments de césure qui ont marqué la trajectoire de ce pays singulier, Mouloud Hamai nous peint un géant aux pieds d’argile, dont les ambitions sont en déphasage total avec sa réalité géopolitique.
Dans son ouvrage La Convergence des consciences, l’auteur Pierre Rabehi aborde avec un sens philosophique les dérives de l’homme, son lucre sans limite et son avidité toujours inassouvie des ressources qu’il puise de la terre sans se sourciller le moindre du monde de sa préservation. Altermondialiste, l’enfant de Kenadsa, qui prône, lors de ses rencontres, un nouveau mode de société, appelle à une insurrection des consciences.
Préparé à base de semoule de blé ou d’orge, roulé avec des plantes médicinales, servis avec un ragoût de légumes et de viande, il y a autant de manières de préparer ce plat national que de régions du vaste pays.
Le dollar reculait légèrement face à l'euro et à la livre, hier, lesté par un retour de l'appétit pour le risque sur les marchés, même si les cambistes se montrent prudents avant la réunion des banquiers centraux à Jackson Hole.
C’est de la fiction, mais il aborde l’éducation, la tolérance, la famille, les valeurs…Des sujets à réflexion. Des thèmes qui s’imposent. Synapses du Destin est le titre du recueil de nouvelles de Arezki Annaris, aux éditions Aframed et qui sera présent au Salon du livre prévu à partir du 19 juillet à Takariets, dans la wilaya de Béjaïa.
Dans son dernier roman, intitulé Les gens du peuplier, l’écrivain, cinéaste et journaliste Arezki Metref continue de triturer la chronologie des souvenirs et de livrer, avec un regard d’enfant, des lieux communs d’une mémoire collective algérienne très contemporaine, prolongés par une success-story improbable, sortie de l’imaginaire d’un cinéphile assidu.