Nous combattons la corruption, l’argent sale, et les gens de la «chkara». Mais nous avons constaté lors de ces dernières élections portant renouvellement par moitié de la composante du Conseil de la nation que ses pratiques persistent toujours», c’est ce qu’ont confié à El Watan des cadres du Front de libération nationale (FLN). L’ex-parti unique est certes le vainqueur de ce scrutin.
Le Front de libération nationale (FLN) conserve sa première place au Conseil de la nation en remportant 19 sièges, alors que la surprise de ce scrutin, qui a vu 96,32% des grands électeurs y prendre part, émane du Front El Moustakbal qui a raflé dix sièges, qui viennent s’ajouter au 5 qu’il détient déjà, ce qui lui permet de constituer un groupe parlementaire au sein du Sénat. Mais l’autre surprise est le déclin des indépendants.
Ayant vécu à une époque riche en événements, Abdelhadi Benazzouz était connu par sa discrétion et surtout par sa grande humilité. Patriote durant sa jeunesse, il avait choisi avec conviction le dur parcours de militant, jusqu’à l’avènement de l’indépendance. Après une belle aventure dans la presse, il fera carrière comme cadre supérieur de l’Etat, accomplissant son devoir envers son pays et ses concitoyens.
Après avoir rendu l’âme le 18 janvier dernier, l’ancienne combattante de la Révolution, Louisette Mekaouche, veuve Benhamza, que ses anciens compagnons d’armes appelaient «Myriam», a été enterrée jeudi dernier au cimetière de Garidi (Kouba), à Alger, en présence d’une imposante assistance composée de ses compagnons d’armes, dont d’anciens membres de la Fédération de France du FLN, au sein de laquelle elle militait.
Lors de nos nombreuses rencontres, je lui avais demandé un jour quelle sensation il éprouvait à la fin d’un match accompli. «Une prestation sur le terrain, pour être pleine, attrayante et captivante devant des milliers de spectateurs, est une rude tâche, qui se travaille pendant des semaines et des mois dans la souffrance et le sacrifice.
L’installation de cette commission intervient dans un contexte préélectoral lié à la tenue d’une présidentielle anticipée en septembre 2024.
Le Cercle algérianiste a poussé la comparaison un peu loin en faisant une exposition qui confond les victimes de la Guerre d’Algérie avec celles du Hamas en octobre dernier. Sans comparer la violence coloniale française et la barbarie génocidaire israélienne.
Des kasmate du FN ont dénoncé des «irrégularités», des «dépassements» et la «manipulation» de listes au niveau du comité transitoire des mouhafadate du parti. Le président du parti a diligenté des commissions d’enquête dans ces wilayas.
Larbi Khellal, originaire de la commune de Chorfa, à l’est de la wilaya de Bouira, se souvient encore du massacre du 17 Octobre 1961 à Paris. Des milliers d’Algériens et de sympathisants de différentes nationalités avaient répondu à l’appel de la Fédération de France du FLN (FFF) pour manifester pacifiquement contre le couvre-feu instauré par les autorités françaises. Le jeune Larbi Khellal, vingtenaire à l’époque, était connu sous le nom de guerre «Moustique». Il était un élément actif du groupe de choc de la FFF.
Le Front de libération nationale (FLN) a tenu, hier à Alger, la deuxième session ordinaire de son comité central issu du 11e congrès organisé le mois de novembre dernier.
Toute en validant le congrès, le ministère de l’Intérieur a émis des réserves, sur des membres élus du comité central qui doivent donc être remplacés.
S’il est un moment bien oublié de l’histoire de la guerre de Libération nationale, c’est assurément l’action menée par la cellule FLN d’Es Sénia (Oran) contre un avion d’Air France qui effectuait la liaison entre Oran et Paris.
Le Front de Libération nationale (FLN) a finalement réussi à tenir son 11e congrès sans faute, mais parviendra-t-il à tourner la page de près de cinq ans de fronde, de désunion et de tiraillements internes ?
Le Front de libération nationale (FLN) a un nouveau président. Aux termes du troisième jour des travaux du 11e congrès du parti, qui s’est déroulé au Centre international des conférences (CIC) à Alger, les membres du comité central ont plébiscité l’ex-député Abdelmalek Benmbarek nouveau patron du vieux front. Il succède ainsi à Abou El Fadhl Baadji, qui avait annoncé, jeudi dernier, qu’il ne candidaterait pas à sa propre succession.
Pour les militants du vieux parti, l'élection de Abdelkrim Benmebarek en tant que nouveau secrétaire général n'était pas une surprise. En succession à Abou El Fadl Baâdji, Benmebarek aura du pain sur la planche notamment avec les conflits internes au sein du parti et l'enjeu électoral prochain prévu en décembre 2024.
L’actuel secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Abou El Fadhl Baadji, se retire officiellement de la course au poste de secrétaire général du parti.
L’historien Amar Mohand Amer est revenu, lors d’un débat organisé à la salle Tassili, au Palais des expositions des Pins maritimes et modéré par Hassan Arab, sur l’écriture de l’Histoire du mouvement national.
L’historien Amar Mohand-Amer vient de publier aux éditions Frantz Fanon, à Boumerdès, «La crise du FLN de l’été 1962, indépendance nationale et enjeux de pouvoirs(s)». Un ouvrage préfacé et postfacé par les historiens Omar Carlier et Mohammed Harbi.
C’est dans une atmosphère électrique que s’est ouverte hier, au Centre international des conférences (CIC) (Alger), la session du comité central du Front de libération nationale (FLN). La dernière ligne droite avant la tenue du 11e congrès, un rendez-vous statutaire, attendu depuis près de trois ans, et qui se tiendra finalement les 11,12 et 13 novembre prochain.
Dans un communiqué rendu public le week-end dernier, la direction nationale du FLN explique le report de la tenue du 11e congrès par les événements dramatiques de Ghaza.