Mêlé à chaque fois aux luttes pour le pouvoir, le Front de libération nationale traverse, à la veille de chaque élection, notamment la présidentielle, des zones de turbulences sévères.
Le Secrétaire général (SG) du parti du Front de libération nationale (FLN), Abou El Fadhl Baadji, a annoncé dimanche à Alger, la tenue du 11e congrès du parti du 29 au 31 octobre prochain au Centre international des conférence (CIC) «Abdelatif Rehal».
Un bras de fer oppose, depuis le mois de juin 2023, le SG du FLN, Abou El Fadl Baadji, au chef du groupe parlementaire FLN du Conseil de la nation, Latifi Ahmed Salah. Baadji a décidé de traduire son adversaire devant la commission de discipline. Au Conseil de la nation, la quasi-majorité des sénateurs FLN appuie Latafi.
Le parti du Front de libération nationale (FLN) a tenu, hier à Alger, une réunion des présidents des comités transitoires des mouhafadate du parti, présidée par Abou Fadhl Baadji, le secrétaire général du parti, M. Baadji a indiqué dans une allocution à cette occasion que le parti «procédera à partir du 15 mai à la présentation du bilan annuel des assemblées locales élues à travers le territoire national, l'opération devant se poursuivre jusqu'au 30 du même mois».
Le ministère des Moudjahidine et des Ayants droit a organisé jeudi soir une cérémonie de distinction en l'honneur de trois joueurs encore en vie de l'équipe du Front de libération nationale (FLN), et ce, à l'occasion du 65e anniversaire de la création de cette équipe.
Il y a 65 ans, jour pour jour, le 13 avril 1958, des joueurs algériens évoluant au sein de clubs professionnels en France ont répondu à l’appel du FLN et quitté clandestinement la France pour rejoindre Tunis qui a été choisie comme camp de base pour le regroupement permanent de ce qui allait être la glorieuse équipe du FLN.
La malédiction des redressements guette-t-elle à nouveau le Front de libération nationale (FLN) ? Il semblerait que tous les ingrédients sont réunis dans ce sens.
La chambre pénale près la cour de Bouira a acquitté ce jeudi 30 juin, l’actuel sénateur FLN, Samir Zoubiri, dans l’affaire de «dilapidation de deniers publics», «falsification de documents», «mauvaise utilisation de fonction» et «attribution illégale de marchés publics», a-t-on appris de source judicaire.
Le Parlement est plus que jamais à forte domination masculine, puisqu’aux élections législatives du 12 juin dernier, seules 34 femmes ont pu décrocher un siège à l’hémicycle Zighout Youcef.
Le FLN est talonné par les indépendants avec 14 sièges, puis le RND qui a obtenu 12 sièges. Le Front El Moustakbel et le mouvement El Bina viennent en quatrième positon, avec cinq sièges chacun.
Les observateurs de la scène politique donnent comme favori à ce scrutin le FLN, et ce, en dépit de la crise interne qui secoue parti. Toujours selon ces mêmes observateurs, il devrait être suivi par le RND dont les élus tentent de finaliser les alliances afin d’arracher le maximum de sièges.
L’ancien député FLN Ahmed Belkacemi a été condamné à 5 ans de réclusion criminelle pour avoir «collecté et fourni des informations de nature à porter atteinte aux intérêts économiques et sécuritaires du pays», à l’ambassade d’Espagne. Lors de son procès en appel devant la cour d’Alger, il s’est présenté comme victime de la «vengeance» de son épouse qui l’avait dénoncé et du «clan Bouteflika» qui lui reprochait son «ralliement», en 2004, au candidat à la présidentielle Ali Benflis.