L'Agence internationale pour les énergies renouvelables (IRENA) et l'Organisation mondiale du commerce (OMC) prévoient que l'hydrogène renouvelable et ses dérivés, comme l'ammoniac, le méthanol et le kérosène électronique, joueront un rôle crucial dans la transition énergétique mondiale.
Accompagné du président-directeur général du groupe Sonelgaz et du Commissaire à l’énergie nucléaire Comena, le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, prendra part, aujourd’hui à Rome, à la réunion ministérielle du Groupe mondial pour l’énergie de fusion (WFEG), relevant de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA).
Cet entretien croisé associe deux universitaires de la diaspora, Abdeljalil Belarbi, professeur éminent de l’université de Houston, Texas, et Abdelhafid Khelidj, professeur à l’IUT Saint Nazaire, université de Nantes, responsable de la licence professionnelle et en conduite de projets de travaux publics, selon leurs qualifications académiques respectives.
L’ambassadeur de la République de Corée en Algérie, You Ki-Jun, a souligné, hier à Oran, l’importance du renforcement de la coopération bilatérale entre son pays et l’Algérie dans de nombreux secteurs, notamment l’énergie, la technologie, la pêche et l’enseignement supérieur.
«L’Algérie ambitionne d’augmenter la production de gaz à 110 milliards de mètres cubes par an», a affirmé le ministre, qui intervenait lors de l’ouverture de la Conférence ministérielle du G7 sur le climat.
Le secteur des mines a connu une augmentation de production, notamment pour le fer (+5,6%), le phosphate (+3%), le sel (+21%), le marbre (+23%) et l’or (+6,3%), a affirmé le ministre de l’Enérgie et des Mines, Mohamed Arkab, lundi lors d’une séance d’audition devant la commission des affaires économiques de l’Assemblée populaire nationale (APN), où il a présenté les principales réalisations du secteur en 2023.
L’OPEP+ pourrait envisager de poursuivre ses réductions actuelles de l’approvisionnement en pétrole au cours du second trimestre 2024, dans le but d’éviter une offre excédentaire et soutenir les prix, indiquent des analystes de l’industrie pétrolière.
Dans cet entretien, Dr Mourad Preure analyse l’évolution du marché gazier et le contexte géopolitique mondial dans lequel se déroulera le Sommet du GECF à Alger. Les transformations structurelles, qui touchent l’industrie du gaz, devraient, selon l’expert des questions énergétiques, «renforcer la solidarité entre pays producteurs en valorisant les convergences et les synergies et créer les conditions de partenariats stratégiques…». Le GECF est mis au défi de «maîtriser la complexité des transformations en cours et réunir les pays exportateurs pour en tirer avantage». Mourad Preure rappelle d’ailleurs l’exemple de la réunion d’Alger en novembre 2016, qui avait regroupé les pays producteurs de l’OPEC et dix pays producteurs de pétrole non OPEC et qui avait conduit à la création de l’OPEC+, devenu «un efficace élément stabilisateur du marché et des prix».
Strident coup de gueule de la Chambre africaine de l’énergie (AEC) : à peine quelques jours après la clôture de la 30e édition de l’Investing in African Mining Indaba qui s’est tenue du 5 au 8 février au Cap (Afrique du Sud), cette instance représentant la voix du secteur de l’énergie du Continent africain s’est fendue d’un sévère communiqué où elle «rejette avec véhémence la notion et l’état d’esprit selon lesquels les Africains ne sont en quelque sorte pas qualifiés pour diriger et accueillir des événements importants tels que Investing in African Mining Indaba sur leur propre territoire».
L’Organisation de la coopération et le développement économique (OCDE) a relevé ses prévisions de croissance mondiale pour l’année 2024, mais alerte sur le risque que constituent les fortes tensions géopolitiques à court terme pour l’activité et l’inflation.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a assuré, à partir de Hassi R’mel (wilaya de Laghouat), que l’Algérie «est un fournisseur d’énergie sûr et fiable pour l’Europe».
Des accords énergétiques en échange de l’arrêt des migrations : Giorgia Meloni dévoile ce week-end aux pays africains son «new deal» pour le continent, une approche «d’égal à égal», selon elle. Mais il y a loin des intentions aux actes, préviennent ses détracteurs.
L’année 2024 verra-t-elle l’entrée sur le marché algérien du leader pétrolier américain ExxonMobil ? C’est en tout cas ce que suggère la rencontre qui a eu lieu le 9 janvier 2024 entre le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, et une délégation de la compagnie américaine conduite par son vice-président, John Ardill, chargé de la recherche et de la prospection.
La compagnie britannique Harbour Energy a accepté l’offre d’acquisition des actifs pétroliers et gaziers de Wintershall Dea et ce, dans le cadre d’un accord d’une valeur de 11,2 milliards de dollars en actions et en espèces avec les copropriétaires BASF et LetterOne.
Le ministre de l’Energie et des Mines, Mohamed Arkab, a pris part aux travaux de la 12e Conférence arabe sur l’énergie ouverts, hier, à Doha (Qatar) sous le thème «Energie et coopération arabe», indique un communiqué du ministère.
Siemens Energy enregistre une facture élevée avec une perte annuelle de 4,59 milliards d'euros pour l'exercice décalé 2022/2023, principalement attribuée à des problèmes de qualité persistants dans sa filière éolienne.
Le développement du partenariat dans le domaine de l’hydrogène vert notamment dans le cadre du projet SoutH2 Corridor a constitué l’un des principaux sujets de débat entre les participants à la 5e édition de la journée algéro-allemande de l’énergie, organisée lundi à Alger.
La 13e édition du Salon international de la transition énergétique et des énergies du futur (ERA) se tiendra du 2 au 4 octobre prochain au Centre des conventions d’Oran (CCO), a-t-on appris dimanche des organisateurs.
Tout en appelant les dirigeants du G20, devant se réunir ce week-end en Inde, à assumer leurs responsabilités dans la lutte contre le changement climatique, le secrétaire général des Nations unies, Antonio Guterres a appelé à faire de l’Afrique «une superpuissance des énergies renouvelables».
L’autorité britannique de l’électricité et du gaz, l’Ofgem, a infligé une amende de 5,4 millions de livres à la banque Morgan Stanley pour avoir manqué à ses obligations en termes de communications électroniques par ses courtiers en énergie, selon un communiqué hier.