Jugurtha Abbou est spécialiste en psychologie sociale. Il est écrivain et militant politique. Il a été membre du Conseil national puis Secrétaire national à la communication du FFS, ce qui lui a permis de s’imprégner de la pensée de Hocine Aït Ahmed. Il revient dans cet entretien sur son ouvrage intitulé «La pensée de Hocine Aït Ahmed». A travers cette œuvre, Jugurtha Abbou se fixe le but de représenter de façon succincte la vision de Hocine Aït Ahmed et sa pensée politique, économique et identitaire.
L'humoriste Pierre Palmade s'est enfin confié sur l'accident qu'il a provoqué et sur son addiction à la drogue. Lors d'une audition devant une juge d'instruction au tribunal judiciaire de Melun en septembre, l'humoriste a révélé sa prise de conscience quant à la gravité de l'accident.
Excellente nouvelle pour ses nombreux fans qui attendent du nouveau, avec impatience ; la star du pop-rock kabyle, Ali Amran, nous revient avec un album inédit de 12 reprises (et quelles reprises !) du grand maître de chaâbi, l’incomparable Cheikh El Hasnaoui, fondateur de la chanson kabyle «moderne».
L’écrivain guinéen Tierno Monénembo a dialogué avec la romancière camerounaise Calixthe Beyala dans l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) sur l’Afrique, la littérature et l’avenir. Le débat a débuté avec une question provocante : «Qui est l’homme Tierno Monénembo ?»
Le gala de clôture de la 38e édition de la Mostra de València-Cinema del Mediterrani s’est déroulé dans le lieu même où Paolo Sorrentino a reçu la palme d´honneur il y a quelques jours, la Sale Iturbi du Palau de la Música rénovée, avec plusieurs clins d’œil à l’univers du cinéaste italien.
La 10e édition du Forum international sur la vie et l’œuvre de l’écrivain et dramaturge algérien d’expression française, Kateb Yacine (1929-1989), s’est ouverte, le 28 octobre, au centre culturel islamique Boulouh Mbarek de la ville de Guelma.
La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle» était le thème d’une rencontre qui a rassemblé l’écrivain et universitaire béninois Mahougnon Kakpo, la romancière camerounaise Calixthe Beyala, la sociologue sénégalaise Aoua Bocar Ly-Tall, l’éditeur guinéen Sansy Kaba Diakité et l’universitaire algérien Benaouda Lebdai. Le débat a été modéré par l’écrivain camerounais, Jean-Célestin Edjangué.
La romancière camerounaise Calixthe Beyala a plaidé, lors d’un débat sur «La pensée africaine ou l’affirmation de soi aux XXIe siècle», pour l’unification des Africains et a évoqué le nouveau panafricanisme porté par les jeunes.L’Algérie est un pays qui s’est toujours montré à la hauteur des défis.
Que faire ? D’abord des films, des documentaires, ou faire la guerre ou manifester ou encore prier, se mettre en colère ou prendre des cachets. Surtout ne pas regarder la télévision, mais voir des films peut-être.
Né à Bab El Oued un 1er novembre, il est militant politique de gauche, a aussi fondé avec d’autres artistes une troupe de théâtre Ruptures, le CDLD, Comité de défense des libertés démocratique, le CCIC, Comité de citoyens intercommunale puis le groupe Bezzef pour finir par monter à Alger un espace de création artistique, Le Sous-marin, et fonder une association caritative et un cercle d’échanges, Sosta.
Départs Les films redémarrent, le réalisateur Merzak Allouache est en tournage à La Madrague (El Djemila), Alger, pour son dernier film La première ligne, et Karim Moussaoui a entamé à Marseille le tournage de L’effacement, film librement adapté du roman éponyme de Samir Toumi.
Le coup d’envoi du 26e Salon international du livre d’Alger (SILA) a été donné, mercredi soir, au Palais des expositions des Pins maritimes (Safex), à l’ouest d’Alger. Le SILA durera jusqu’au 4 novembre avec la participation de 61 pays. «L’Afrique écrit son avenir» est le slogan choisi cette année pour le salon.
La pensée africaine et l’affirmation de soi au XXIe siècle», intitulé du premier colloque marquant l’ouverture des activités de l’espace africain au 26e Salon international du livre d’Alger (SILA), a été animé, jeudi, à Alger, par un panel d’écrivains et universitaires africains, qui ont plaidé pour la richesse et la pluralité culturelle de l’Afrique, comme «facteur d’unité et de développement autonome».
Je Haut Commissariat à l’amazighité (HCA) participe à la 26e édition du Salon international du livre en Algérie (SILA), qui s’ouvre aujourd’hui, avec de nombreuses nouveautés. «Comme chaque année, le HCA marque sa présence au Salon international du livre d’Alger, à l’instar de nombreuses instances et institutions nationales et de diverses maisons d’édition nationales et étrangères.
La dépouille mortelle du chanteur algérien d’expression kabyle, Cherif Hamani, rapatriée de France, est arrivée mardi dans la wilaya de Tizi Ouzou et a été acheminée vers la maison de la culture Mouloud Mammeri, où un dernier hommage a été rendu au défunt artiste et à l’homme connu pour sa sagesse.
La Vie sur notre planète, nouvelle série documentaire de Netflix produite par Steven Spielberg, ambitionne de retracer l’histoire complète de la présence de la vie sur Terre, dans un format haletant et accrocheur. Diffusé mondialement depuis hier sur la plateforme, le documentaire, en huit épisodes, propose aux spectateurs une plongée dans les cinq précédentes extinctions de masse, recréées à force d’effets spéciaux.
Il a plus de 2700 ans, mais des ailes aux sabots, il est remarquablement conservé : un lamassu, un taureau ailé assyrien, en albâtre aux dimensions «énormes», a été dévoilé en Irak par une mission emmenée par un archéologue français.
L’ancien membre de la troupe artistique du Front de libération nationale (FLN), le moudjahid Brahim Derri, est décédé lundi à l’âge de 87 ans, a-t-on appris auprès de l’Office national des droits d’auteur et des droits voisins (ONDA).
Un nouveau forum culturel appelé «El Wasl Athakafi» (Lien culturel), visant à réunir les hommes de lettres et créateurs dans divers domaines afin de contribuer à la promotion du secteur de la culture, vient de voir le jour dans la wilaya de Djelfa, a-t-on appris mardi auprès de la direction de la maison de la culture «Ibn Rochd».
Une fresque artistique en solidarité avec les victimes et martyrs de l’agression sioniste contre la bande de Ghaza en Palestine occupée a été inaugurée mardi à l’Ecole supérieure des beaux-arts d’Alger Ahmed et Rabah Salim Asselah. Baptisée «Une empreinte, une bouteille d’eau pour Ghaza», cette fresque traduit, à travers des empreintes et signatures inscrites sur une imposante toile, la solidarité des Algériens avec les Palestiniens dans leur tragédie, suite à l’agression sioniste barbare contre la bande de Ghaza qui perdure depuis le 7 octobre.